• Villeneuve-sur-Lot : ce sont les racailles qui intimident les policiers !


    L’affaire, relatée par la presse locale, n’a surpris personne pour qui habite ou connaît Villeneuve-sur-Lot. En effet, il est notoire que, depuis des années, une bande de « jeunes » « tient », à certaines heures, certains coins du petit centre-ville. La rue des Cieutats, du nom d’un très ancien maire de la cité, et qui abrite la sous-préfecture, est – ironie de l’Histoire – leur zone. Une zone dangereuse. Passants harcelés. Filles importunées. Trafics. Rodéos urbains. Ainsi va la vie dans cette ville du Sud-Ouest par ailleurs ravissante.

    Mais depuis quelques semaines, ces choses que subissent les Villeneuvois, partagés entre fatalisme et révolte, ont pris une autre ampleur car cette bande de racailles, avec ses relais venus d’ailleurs (mystérieuses voitures stationnant ou vrombissant ici ou là), s’en sont directement pris aux… policiers. D’après le quotidien Sud-Ouest« deux agents ont ainsi été suivis jusqu’à leur domicile à l’issue de leur vacation ». Pire : « La semaine dernière, alors qu’il arrivait devant sa maison, située dans un petit village du Villeneuvois, l’un d’eux aurait même fait usage de son arme et tiré deux coups de feu en l’air pour faire fuir une voiture et les hommes qui y avaient pris place avec, selon son témoignage, une arme qu’il aurait aperçue et dont la vision a motivé sa réaction. »

    Oui, vous avez bien lu : ici, à Villeneuve-sur-Lot, ce sont les racailles qui vont intimider, provoquer des agents de police jusque chez eux ou qui les attendent sur le parking de la mairie ou du commissariat à l’heure de la débauche. Quelle est l’étape suivante ?

    Christophe Castaner s’en est-il publiquement ému ? Mais il est vrai que ces racailles n’étaient pas des gilets jaunes.

    Toujours est-il que, dans les jours qui ont suivi, les passants ont pu constater que plusieurs opérations de police étaient en cours et que des interpellations avaient lieu. Selon Sud-Ouest : « Quatre individus, dont trois jeunes majeurs, ont été interpellés. Si deux ont été remis en liberté, le mineur, âgé de 17 ans et demi, a été placé en détention provisoire à Gradignan et sera jugé le 6 juin. Le majeur, lui, jugé en comparution immédiate […] est poursuivi pour acte d’intimidation envers une personne dépositaire de l’autorité publique et violences aggravées. »

    Les leçons de cette histoire ? Nombreuses et inquiétantes.

    D’abord, l’escalade. Ils cherchent l’affrontement. Ils sont de plus en plus nombreux. Ils ont des armes et des voitures.

    Ensuite, l’effet de loupe. S’il en va ainsi dans une petite ville de 20.000 habitants, que penser de la situation de nos banlieues ? Je vous laisse faire l’extrapolation.

    La séquence « gilets jaunes » avait fait oublier cette réalité qui fut pourtant l’une des causes non dites de la révolte. MM. Macron et Castaner ont lancé, sans aucun scrupule, la police dans une répression violente et sans précédent contre ces gilets jaunes, ces “petits Blancs”, ces “déplorables” (et ils ont dit bien pire qu’Hillary Clinton à leur sujet…). La France périphérique et la majorité des Français qui soutiennent encore les gilets jaunes peuvent légitimement exiger une répression exemplaire contre ces racailles. Pour le moment, on ne la voit pas vraiment venir. Police et justice n’ont fait, tardivement, que le service minimum.

    Il ne faudra alors pas s’étonner si la révolte reprend de plus belle.

    Dominique Monthus

    Source : http://bvoltaire.fr


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  • Hausse du carburant : c'est reparti ..


    La hausse de la taxe carbone avait en novembre dernier teinté du jaune de la colère une bonne partie du peuple français.

    Qu'en sera-t-il du niveau record atteint ces dernières semaines par le prix du carburant ?

    Depuis le début de l’année, les prix ne cessent, en effet d'augmenter et frôlent à nouveau des sommets. Le litre de sans-plomb 95 s’affichait ainsi dans les stations-service à 1,60 € en moyenne début mai. Et à 1,50 € pour le diesel. Soit une hausse supérieure à 17 centimes pour le diesel ; et de plus de 10 centimes pour le SP 95. Bref, le sans-plomb n’a jamais été aussi cher depuis avril 2013. Et le diesel frôle son record historique d’octobre 2018. 

    Cette remontée des prix a trois causes :

    • Le prix du pétrole tout d’abord. Depuis le début de l’année, une baisse de la production et un euro faible face au dollar ont largement renchéri les cours du baril de brut. Celui-ci rentre pour un tiers environ dans le niveau du prix d’un litre de carburant, avec le transport et la distribution.
    • Le contexte géopolitique, ensuite. Les incertitudes liées à la guerre commerciale voulue par les États-Unis et la situation de plus en plus menaçante au Moyen-Orient créent les conditions d'une crispation des marchés pétroliers ; une situation que la crise ouverte entre les États-Unis et l’Iran à propos du nucléaire, assortie de menaces militaires US (les Américains ont envoyé un porte-avions, plusieurs dizaines de bombardiers B52, des véhicules amphibies et une batterie de missiles Patriot sur zone), de gesticulations menaçantes de l’Arabie Saoudite, et d'un ultimatum sur 60 jours de Téhéran mettant les Européens devant leurs responsabilités, ne peut qu'aggraver dans la mesure où la France doit importer 99 % du pétrole dont elle a besoin.
    • Le poids de plus en plus lourd de la fiscalité, enfin. Si un tiers du prix du carburant est lié à celui du brut, les deux autres tiers sont intégralement constitués par deux taxes : la TVA et surtout la TICPE (taxe intérieure sur la consommation de produits énergétiques), qui inclut la taxe carbone dont la hausse, rappelons-le, n'a pas été annulée par le gouvernement en décembre dernier comme veut le faire croire la propagande de Matignon, mais seulement reportée au début de l’année prochaine. Résultat : sur un litre de carburant vendu 1,60 € à la pompe, un euro part dans les poches de l’État. Ce qui représente une manne de 34 milliards d’euros (Mds€) par an, dont le gouvernement n’a nullement l’intention de se déposséder (la proposition émise par Macron au mois de février de restaurer la taxe flottante de Lionel Jospin censée faire baisser la fiscalité sur le carburant en fonction de l’augmentation du coût de l'importation du pétrole étant un leurre destiné à tromper les consommateurs : la taxe flottante, si elle a coûté 2,7 milliards d'euros à l'État pendant le court moment où elle fut en vigueur, n'a nullement bénéficié aux automobilistes puisque la baisse du prix à la pompe n'a, à aucun moment, dépassé les 2,2 centimes).

    Pour le Parti de la France, dans ce domaine comme dans tous ceux qui touchent à la fiscalité, seule une baisse significative des dépenses publiques et des économies substantielles réalisées sur le budget de l'État (immigration, mille feuilles administratif, désengorgement de la fonction publique hors domaine régalien, gaspillages, fraude fiscale et sociale…) permettra d’opérer une baisse réelle des impôts des Français et des taxes qui les écrasent, redonnant ainsi à chacun du pouvoir d'achat propice à la consommation et donc à la croissance, et aux entreprises les moyens de leur compétitivité et de leurs initiatives.

    Macron, dans son langage déroutant, déclarait en mars dernier : « le prix du carburant c'est pas bibi ».

    C'est pourtant bien lui qui en encaisse les dividendes.

    Jean-François Touzé - Délégué national du Parti de la France aux Études et Argumentaire


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  • Rennes: Une émeute et un incendie dans un centre de rétention des étrangers

    POLICE Les faits ont débuté lorsque les forces de l'ordre sont venus chercher un étranger pour le renvoyer dans son pays

    e centre de rétention administrative de Saint-Jacques-de-la-Lande, près de Rennes en 2012 — FRANK PERRY / AFP

    Dans la nuit du jeudi à ce vendredi, une dizaine de personnes du centre de rétention administrative de Saint-Jacques-de-la-Lande, près de Rennes, se sont rebellés alors que des policiers venaient pour chercher un étranger renvoyé dans son pays. Ouest-France, qui rapporte l'information, précise que les locaux sont désormais inutilisables et la capacité d’accueil du centre fortement réduite, ne pouvant contenir plus que 25 personnes, contre 40 avant les incidents.

    Environ dix hommes, au centre pour situation irrégulière en France, ont sorti des matelas et du linge de deux bâtiments et allumé un feu. Certains d’entre eux sont même parvenus à monter sur un des toits.

    Des locaux inutilisables

    Les incidents, qui ont commencé vers 3h00, ont été stoppés dans la nuit. Des renforts ont été nécessaires pour maîtriser les émeutiers qui ne voulaient pas descendre du toit. Vers 4h30, tout risque d’incendie était écarté. Mais les deux locaux ont été sérieusement touchés par les fumées, et sont actuellement inutilisables.

    Les deux locaux ont été sérieusement dégradés par les fumées opaques, provoquées par l’incendie dans les matelas. Ils ont été fermés et sont actuellement inutilisables. Vendredi soir, 32 hommes et deux femmes étaient enfermés à Saint-Jacques.

    L’intervention des forces de l’ordre n’a fait aucun blessé Une enquête a été lancée pour identifier les auteurs de la rébellion.

    https://va.news-republic.com


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  • Bénin: 2 militaires morts à cause de 2 connards qui sont allés où c’était déconseillé

    Bénin: 2 militaires morts à cause de 2 connards qui sont allés où c’était déconseillé

    Illustration : admirez-les, ils étaient pleins de vie et de rires, pleins de détermination. Ils sont morts à cause de 2 connards qui voulaient finir leur safari !  Ils avaient 28 et 33 ans.

    Marre de ces connards qui se croient le droit de tout faire et qui viennent pleurer quand ils sont enlevés, pris en otage.

    Ben oui, Ducon 1 et Ducon 2, la France est bonne mère, elle paye les rançons, elle envoie des négociateurs ( qui risquent leur peau), elle envoie ses soldats qui risquent la leur et la perdent, trop souvent.

    Et voilà, Ducon 1 et Ducon2 sont sauvés, libérés. Mais au prix du sang de 2 enfants de la France. 2 militaires tués dans l’assaut. Et pas n’importe qui, ils appartenaient aux forces spéciales, à l’élite. Combien d’années pour former de tels hommes ? Tout ça pour sauver des connards se croyant plus forts que tout, se croyant à l’abri, croyant mieux savoir que le Quai d’Orsay !

    Ces enfants de France s’appelaient le maître Cédric de Pierrepont et le maître Alain Bertoncello, tous deux officiers mariniers au sein du commandement des opérations spéciales

    Et ni Macron ni  Parly ne disent pourquoi ils sont morts, Cédric et Alain. Parce qu’il y a des connards qui voyagent, qui font du tourisme, des « safaris »  dans des zones dangereuses. Non, Macron s’incline avec émotion et gravité devant le sacrifice de nos deux militaires, qui ont donné leur vie pour sauver celles de nos concitoyens ». Tu parles, ils ont donné leur vie qui valait beaucoup parce qu’ils ont en ont reçu l’ordre. Or leur métier c’est de défendre la France et les Français là où ils sont attaqués. Est-ce de mourir pour empêcher des candidats au suicide d’aller jusqu’au bout de  leurs caprices ?

    Et les 2 connards, Patrick Picque et  Laurent Lassimouillas,

    l’un commerçant, l’autre enseignant, sont partis dans le Nord du Bénin bien que ce soit formellement déconseillé par le Quai d’Orsay :

    Et les 2 connards, l’un commerçant, l’autre enseignant, sont partis dans le Nord du Bénin bien que ce soit formellement déconseillé par le Quai d’Orsay :

    Le Bénin, longtemps épargné par le terrorisme, fait figure de havre de paix en Afrique de l’Ouest, région mouvementée où prolifèrent les groupes armés, notamment jihadistes et criminels. Sur son site, le Quai d’Orsay déconseillait toutefois formellement aux voyageurs de se déplacer dans l’extrême-nord du Bénin, frontalier du Burkina et du Niger, « compte tenu de la présence de groupes armés terroristes et du risque d’enlèvement ».

    « La menace était réelle dans ce parc, étant donné sa proximité avec l’est du Burkina. »

    « La menace était réelle dans ce parc, étant donné sa proximité avec l’est du Burkina, en proie àdes attaques armées récurrentes depuis février 2018, estime Rinaldo Depagne, directeur pour l’Afrique de l’Ouest à l’International Crisis Group (ICG). Le parc de la W-Burkina, proche de la Pendjari, avait déjà fait l’objet d’une tentative d’implantation de groupes jihadistes il y a quatre ans, fin 2015, qui a finalement échoué. »

    Pendant ce temps, combien de Béninois, au lieu de faire la guerre chez eux et d’en extirper les terroristes et délinquants, se transforment en « migrants » et viennent, bien à l’abri chez nous, cracher sur la France et sur les Blancs ?

    Ce soir j’ai la rage.

    Ils tuent nos enfants. Nos élites envoient nos enfants se faire tuer, au Bénin comme au Mali…

    Et, en retour, qu’est-ce qu’elle a, la France  ? Une invasion d’ingrats pour une bonne partie.

    Et la haine, en France comme en Afrique.

     

    http://resistancerepublicaine.eu/2019/04/11/renaud-girard-la-france-au-mali-retour-du-piege-colonial/

    Bien envie de dire « chiche « ! On dégage, on rapatrie toutes nos forces en France, on les utilise pour mettre de l’ordre dans les territoires perdus de la République, on renvoie Maliens, Béninois et compagnie chez eux. Ils se démerdent.

    Chacun chez soi, et les vaches seront bien gardées. Et aux moins, nos soldats, s’ils doivent mourir, mourront pour la France et pour des Français qui en valent la peine. Du moins il faut l’espérer.


    Christine Tasin
    Christine Tasin

    Présidente de Résistance républicaine ; professeur agrégé de lettres classiques.


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  • Escroqueries à la CAF : pourquoi le gouvernement reste-t-il si discret sur les fraudes ?


    Si vous prétendez que les fraudes aux allocations familiales sont nombreuses et qu’elles peuvent impliquer des étrangers, vous vous ferez traiter aussitôt de fabulateur ou de xénophobe. Et pourtant, les faits viennent parfois vous donner raison. On apprend ainsi, dans Le Parisien, qu’une bande organisée de Roumains vient d’être démantelée : elle avait escroqué la CAF de Valenciennes d’1,7 million d’euros d’aides sociales.

    Une paille, par rapport au chiffre avoué par les responsables de la Caisse nationale d’allocations familiales (CNAF), pour l’année 2018 : plus de 300 millions d’euros, pour 44.897 cas officiellement détectés ! Mais rassurez-vous : si le chiffre a doublé depuis 2013, ce n’est pas parce que les manœuvres illicites augmentent, c’est, selon le directeur général de la CNAF, « le signe d’un meilleur ciblage des contrôles ». Mince consolation, car on se demande combien de fraudes restent encore inconnues.

    La majorité des fraudes (73 %) proviendraient de fausses déclarations ou d’omissions, 8,5 % de faux et usages de faux, 18,4 % de fraudes à l’isolement (ah, qu’en termes galants ces choses-là sont mises !). Mais cela ne représente que 0,35 % des allocataires : « L’immense majorité des personnes qui se trompent ne sont pas des fraudeurs. » D’où le « droit à l’erreur », introduit par la loi intitulée « pour un État au service d’une société de confiance ». On est content de savoir que les Français ne sont pas des fraudeurs – ce dont on ne doutait pas –, mais, alors, quelle est cette minorité qui parvient à escroquer, en un an, plus de 300 millions d’euros ?

    En l’occurrence, dans l’affaire en question, ce sont des Roumains, deux hommes et leurs compagnes, qui sont soupçonnés d’avoir monté, rien qu’en 2017, 1.200 dossiers frauduleux. Sous le statut d’auto-entrepreneur, de jeunes femmes déclaraient qu’elles étaient enceintes pour toucher des indemnités de la CAF. Apparemment, cette bande comptait des faussaires, puisqu’elle fabriquait de fausses cartes d’identité roumaines et de faux certificats de naissance. Mais notre gouvernement ne va tout de même pas faire preuve de discrimination à l’égard de ressortissants de l’Union européenne.

    Selon Le Parisien, au terme de plus de deux ans d’enquête, la police judiciaire de Lille et la police aux frontières de Valenciennes ont pu appréhender une partie de la bande… dans le Bas-Rhin, où ils montaient une autre affaire. Les donneurs d’ordre ont été arrêtés en Roumanie, en attendant leur transfert devant un juge français. Il ne s’agit pas d’être alarmiste, mais force est de constater que ce sont des étrangers – fussent-ils européens – qui sont les auteurs de ces fraudes.

    Ce genre de pratiques ne recouvre qu’une petite partie des fraudes sociales. Selon la sénatrice centriste Nathalie Goulet, la fraude aux numéros de Sécurité sociale, attribués sur la base de faux documents, serait évaluée à 14 milliards par an. Quand certains comme Nicolas Dupont-Aignan ont dénoncé ce chiffre, voici quelques mois, on les a traités de tous les noms. On ne pouvait en faire autant avec une honorable parlementaire centriste. Le secrétaire d’État au Numérique a, d’ailleurs, assuré de la détermination du gouvernement à « lutter massivement contre la fraude documentaire ». On se demande bien pourquoi, en décembre, l’Assemblée nationale a voté contre la remise d’un rapport d’information sur le sujet.

    Emmanuel Macron et son gouvernement, si sensibles à la lutte contre les fausses nouvelles, ne contribuent-ils pas eux-mêmes à la désinformation en n’exigeant pas une transparence totale sur ces pratiques frauduleuses ?

    Philippe Kerlouan

    Source : http://bvoltaire.fr


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