• 40 % des SDF ne bénéficient d’aucune prestation sociale

    Une majorité de personnes sans domicile fixe voient un médecin ou un travailleur social dans l’année, mais 40% ne bénéficient d’aucune prestation sociale, a révélé lundi une étude de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees).

    Beaucoup ne bénéficient pas de prestations sociales. En 2012, 40% des personnes sans domicile n’avaient perçu aucune prestation sociale dans le mois précédant l’enquête. Un tiers de ceux non couverts par une prestation percevaient des revenus du travail (mais près de la moitié gagnent moins de 600 euros par mois), et 56% n’avaient aucune ressource. Ceux-là vivent principalement de dons de familles ou amis (17%), de dons d’associations (15%) ou de la mendicité (14%). Ils sont le plus souvent de nationalité étrangère et jeunes (plus du tiers a moins de 30 ans).
    Des conditions d’éligibilité à revoir ? Plus d’un sans-domicile sur dix ne remplit pas les conditions d’éligibilité aux prestations sociales, comme la nécessité d’une stabilité de résidence sur le territoire français depuis au moins trois mois, mais aussi certains critères d’âge, pour le RSA par exemple. Le RSA est la principale prestation perçue par les SDF qui ont droit à une ou plusieurs prestations (34%), devant les allocations logement (19%), pour ceux qui vivent en logement accompagné. Arrivent ensuite les prestations familiales (14%), et les allocations chômage (9%).

    Source : http://www.europe1.fr/societe/40-des-sdf-ne-beneficient-daucune-prestation-sociale-1372945#utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter


    votre commentaire
  • 14 août 1480 : les Turcs massacrent 800 chrétiens d’Otrante qui refusent de se convertir à l’islam

    Publié le 15 août 2015 par Dominique CHALARD

    Il est bon ton de dire que l’Islamisme n’est pas l’Islam et que l’islamisme que nous connaissons aujourd’hui n’a rien à voir à ce qu’a été de tout temps l’Islam, une religion de paix et d’amour…Il y a un peu plus d’un demi-siècle, les Turcs ne firent pas différemment que les musulmans de l’Etat Islamique aujourd’hui, en massacrant 800 habitants d’Otrante qui refusaient de se faire musulmans. Otrante est en Italie, les européens semblent avoir oublié aujourd’hui les horreurs commises par l’Islam sur nos terres.

    Source : levangileauquotidien.org

    Les Saints Martyrs d’Otrante (province de Lecce dans les Pouilles, en Italie) sont les 800 habitants de cette ville du Salento tués le 14 août 1480 par les Turcs conduits par Gedik Ahmed Pacha pour avoir refusé de se convertir à l’islam après la chute de leur ville.
    Le 28 juillet 1480, une armée turque, venant de Valona (ville portuaire d’Albanie), forte de 90 galères, 40 galiotes et 20 autres navires (18.000 soldats au total) se présenta sous les murs d’Otrante.
    La ville résista de toutes ses forces aux attaques, mais sa population composée seulement de 6.000 habitants ne put s’opposer longtemps au bombardement de l’artillerie turque. En définitive, le 29 juillet la garnison et tous les habitants abandonnèrent le bourg aux mains des Turcs en se retirant dans la citadelle tandis que ceux-ci commencèrent leur razzia, même dans les habitations avoisinantes.

    Quand Gedik Ahmed Pacha demanda aux défenseurs de se rendre, ceux-ci refusèrent, et l’artillerie turque reprit le bombardement. Le 11 août, après 15 jours de siège, Gedik Ahmed Pacha donna l’ordre de l’attaque finale et réussit à enfoncer les défenses et à prendre le château.
    Un terrible massacre s’ensuivit. Tous les hommes de plus de quinze ans furent tués et les femmes et les enfants réduits en esclavage. Selon certains rapports historiques, les tués furent 12.000 et les personnes réduites en esclavage 5.000, mais la taille de la ville ne semble pas confirmer ces estimations.
    Les rescapés et le clergé s’étaient réfugiés à l’intérieur de la cathédrale afin de prier avec l’archevêque Stefano Agricoli. Gedik Ahmed Pacha leur ordonna de renier leur foi chrétienne, recevant un refus net, il pénétra avec ses hommes dans la cathédrale et les fit prisonniers. Ils furent tous tués et l’église fut transformée en étable à chevaux.

    L’assassinat du vieil archevêque Stefano Agricoli fut particulièrement barbare, alors qu’il incitait les mourants à s’en remettre à Dieu, il fut décapité, dépecé à coups de cimeterres, sa tête fut embrochée sur une pique et portée par les rues de la ville. Le commandant de la garnison Francesco Largo fut scié vivant. L’un des premiers à être exécuté fut le tailleur Antonio Pezzulla, dit le Primaldo qui, à la tête des Otrantins, le 12 août 1480, avait refusé la conversion à l’Islam. Le 14 août Ahmed fit attacher le reste des survivants et les fit traîner au col de la Minerva. Là il en fit décapiter au moins 800 en obligeant leurs proches à assister à l’exécution.

    Les chroniques rapportent que, pendant le massacre, un Turc nommé Bersabei, impressionné par la façon dont les Otrantins mouraient pour leur foi, se convertit à la religion chrétienne et il fut empalé par ses compagnons d’armes.
    Toutes les personnes massacrées furent reconnues martyrs de l’Église et vénérés comme bienheureux martyrs d’Otrante. La plus grande partie de leurs ossements se trouve dans sept grandes armoires en bois dans la chapelle des Martyrs bâtie dans l’abside droite de la cathédrale d’Otrante. Sur le col de la Minerve fut construite une petite église qui leur fut dédiée, Sainte Marie des Martyrs.

    Treize mois après, Otrante fut reconquise par les Aragonais.
    Le 13 octobre 1481, les corps des Otrantins massacrés furent trouvés indemnes par Alphonse d’Aragon et furent transférés à la Cathédrale des Bienheureux Martyrs d’Otrante.
    À partir de 1485, une partie des restes des martyrs fut transférée à Naples et reposa dans l’église de Sainte-Catherine à Formiello. Ils furent déposés sous l’autel de la Madone du Rosaire (qui commémore la victoire définitive des troupes chrétiennes sur les Ottomans lors de la bataille de Lepante en 1571). Par la suite les restes furent déposés dans la chapelle des reliques, consacrée par le pape Benoît XIII, depuis 1901, ils se trouvaient sous l’autel.
    Une reconnaissance canonique effectuée entre 2002 et 2003, en a confirmé l’authenticité.
    Les reliques des martyrs sont vénérées dans de nombreux lieux des Pouilles, à Venise et en Espagne.

    Un procès en canonisation commencé en 1539 se termina le 14 décembre 1771, quand le pape Clément XIV déclara bienheureux les 800 victimes du col de la Minerve et en autorisa le culte. Depuis ils sont les protecteurs d’Otrante.

    source Médias-Presse-Info


    votre commentaire
  • RODÉO BARBARE DANS UN PRÉ EN HAUTE-SAÔNE : DE L'ACHARNEMENT GRATUIT ?

    Publié le 13 août 2015 par Dominique CHALARD

    Acharnement gratuit ou actes de cruauté destinés à voler de la viande ? Après la découverte mardi soir de trois vaches gravement blessées dans un champ en Haute-Saône, entre Pesmes et Marnay, les gendarmes penchent pour la première hypothèse.

    RODÉO BARBARE DANS UN PRÉ EN HAUTE-SAÔNE : DE L'ACHARNEMENT GRATUIT ?
    RODÉO BARBARE DANS UN PRÉ EN HAUTE-SAÔNE : DE L'ACHARNEMENT GRATUIT ?

    Depuis trente ans qu’il exerce à Motey-Besuche (Haute-Saône), cet exploitant agricole n’avait jamais vu ça. Mardi soir, Serge Baussaint a découvert avec stupeur le sort qui a été réservé à trois de ses animaux. Dans un champ près de la départementale entre Vesoul et Dole, ils ont été percutés par une voiture puis entaillés, encore vivants, à l’aide d’un objet tranchant. « Quand on est arrivé, les vaches essayaient de se relever, mais elles ne pouvaient plus », raconte l’éleveur. « On était particulièrement choqué. »

    L’exploitant avait été alerté vers 22 h d’un incendie dans une de ses parcelles à la sortie du village. Sur place, Serge Baussaint et ses proches ont découvert une voiture brûlée dans le champ. Une cinquantaine de mètres de clôture avait été arrachée par le véhicule. « Les traces montrent qu’il a roulé 150 mètres dans la pâture puis a fait des arcs de cercle pour taper les animaux », poursuit l’éleveur. « Ce n’était pas un accident. Il y a une vache qui était trois mètres devant la voiture, les deux autres disséminées à une vingtaine de mètres. »

    Selon l’éleveur, une des montbéliardes a été projetée au-delà de la clôture. Les trois animaux avaient plusieurs pattes cassées ; le vétérinaire qui est intervenu en urgence a dû les euthanasier. Il a aussi constaté que d’autres blessures avaient été infligées aux vaches par les auteurs des violences. Des entailles ont été découvertes selon les cas au niveau des cuisses, dans l’encolure derrière la tête ou au niveau du museau, probablement réalisées avec un objet tranchant, type couteau ou machette. Une « violence folle » qui a ému Serge Baussaint. « Ces animaux ne demandaient rien à personne », témoigne-t-il. « On n’arrive pas à comprendre. On ne sait pas s’il s’agit d‘un acharnement gratuit ou si le but était de prélever la viande, mais on n’avait pas besoin de ça en ce moment. » Détail supplémentaire dans l’horreur : les trois montbéliardes étaient pleines, à la veille de vêler.

    Au vu des blessures, les gendarmes de la communauté de brigades de Marnay penchent plutôt pour l’hypothèse des actes de cruauté gratuits. Les enquêteurs ont aussi établi que le véhicule brûlé dans le champ, un utilitaire, avait été volé le soir même à Pesmes. Prévenus de ce vol par des témoins vers 20 h 30, les forces de l’ordre avaient aussitôt mis un dispositif de recherches en place : une trentaine de gendarmes de Haute-Saône et du Doubs avaient été mobilisés.

    Repéré par une patrouille, l’utilitaire avait été pris en chasse pendant une quinzaine de kilomètres entre Chancey et Marnay avant de fausser compagnie à ses poursuivants. Les gendarmes l’ont retrouvé peu après à Motey-Besuche, calciné dans le champ où il venait de servir au rodéo barbare. Un deuxième véhicule, un monospace dérobé lundi à Avrigney, a peut-être été aussi utilisé mardi soir par les auteurs des actes de cruauté pour prendre la fuite.

    D’autres vols de voiture ou tentatives ont été constatés depuis le début de la semaine dans ce secteur de la Haute-Saône, ainsi que non loin de là dans le Doubs, à Saint-Vit. Les gendarmes vérifient si des liens existent entre ces différents méfaits.

    Guillaume MINAUX avec notre correspondante locale Francine DEFOIN

    source L'EST REPUBLICAIN


    votre commentaire
  •  Dubaï:  il laisse sa fille se noyer pour lui éviter tout "contact" avec les sauveteurs

     
    Une plage à Dubaï
     
    A Dubaï, une fille est morte noyée après que son père eut refusé de laisser les sauveteurs intervenir au motif qu'elle aurait été "déshonorée", a constaté le site Emirates247.com.
     
    Des vacanciers sur une plage de Dubaï ont été témoins d'une tragédie: une jeune fille de 20 ans a été laissée noyée par son propre père.
    Celui-ci a refusé que des sauveteurs lui viennent en aide et la sauvent de la noyade de peur qu'elle soit déshonorée par un contact avec des étrangers.
    Une famille est venue aux Émirats Arabes Unis en vacances et le père de famille a décidé d'emmener ses enfants et son épouse faire un piquenique sur une des plages de Dubaï.
     Alors que les enfants nageaient, une de ses filles a commencé à se noyer.
    Deux sauveteurs l'ont aperçu et, logiquement, ont voulu lui porter secours.
     
    Le seul obstacle auquel ils se sont heurtés, a été le père de famille.
    Il est devenu violent et s'est interposé pour les empêcher d'intervenir.
     L'homme, un expatrié d'origine asiatique, ne souhaitait pas que sa fille soit touchée par un homme autre qu'une personne de sa famille.
    Il a motivé ses actions par le fait qu'il "préférerait voir sa fille mourir que touchée par une horde d'étrangers" et ainsi "déshonorée," a expliqué le lieutenant Ahmed Burqibah, chef de la section de recherche et de sauvetage de la police de Dubaï.

    Finalement, après quelques minutes, les sauveteurs ont pu intervenir, mais trop tard pour sauver la jeune fille.

    Selon Ahmed Burqibah, la jeune fille avait toutes les chances d'éviter la mort.
    "C'est un accident que personne ne pourra oublier," a-t-il déclaré.
    L'homme en question a été arrêté par la police de Dubaï et sera poursuivi.
     
    http://fr.sputniknews.com/insolite/20150810/1017463351.html#ixzz3iRfi0Wze

    votre commentaire
  • ÉVA BOURSEAU, MASSACRÉE À TOULOUSE PAR DEUX AFRO-MAGHRÉBINS AUX ORDRES D’UN VIETNAMIEN

    Publié le 10 août 2015 par Dominique CHALARD..

    Elle fut la parfaite incarnation de ce que leur société républicaine rêve pour les fils et les filles de France : aucune ambition sinon celle de parvenir à une vie bourgeoise, petite cadre bien-pensante, droguée, trafiquante à ses heures, votant pour Mélenchon et sûre d’avoir vécu la plus belle des vies ; en attendant, aucune morale, aucune limite, aucune passion, sinon celle de « jouir » : boire, se droguer, « s’amuser ». Et vint le prix à payer.

    Éva Bourseau a été violemment assassinée dans la nuit du 26 au 27 juillet par deux criminels étrangers, Taha et Zakariya. Ils ont tous les deux avoué le meurtre. Ils affirment avoir agi sur ordre d’un troisième criminel étranger, ‘Guillaume’, un Asiatique à papiers français. Les deux premiers ont été mis en examen pour assassinat, trafic de stupéfiants et vol aggravé. Une jeune femme, qui a déjà été libérée, l’a été pour trafic de drogues. Le Vietnamien a été incarcéré ; il est poursuivi pour complicité d’assassinat par instigation, trafic de stupéfiants et vol aggravé.

    Ils sont âgés de 19 à 23 ans et sont présentés comme des étudiants « sans problème », de la filière de mathématiques.

    Le jour du drame, ils se sont retrouvés chez Éva Bourseau, et ont tous consommé diverses drogues, du speed, de l’atropine, des amphétamines, de la cocaïne, de l’ecstasy. Taha et Zakariya avaient déjà décidé de tuer leur hôte et de la voler. La jeune femme a alors été la cible d’un déchaînement de violence inhumain, ses meurtriers utilisant un poing américain et un pied de biche notamment pour lui assener de nombreux coups à la tête.

    Les deux criminels d’outre-Méditerranée ont ensuite imaginé faire disparaître le corps en utilisant de l’acide chlorhydrique. Ils avaient déjà plongé le corps dans une malle contenant ce produit corrosif quand les faits ont été découverts. Ils avaient pensé faire croire à un départ à l’étranger de la jeune étudiante, décrite comme une « reine de la nuit ».

    Consciencieusement, entre le 27 et le 3 août, les criminels sont revenus régulièrement dans l’appartement de leur victime, ont volé divers objets, nettoyé les lieux et surveiller l’évolution de leur ignoble projet.

    Tous faisaient partie du même réseau de trafic de drogues dirigé, selon les meurtriers afro-maghrébins, par l’Asiatique – considéré comme « dangereux et violent », mais pourtant présent sur le territoire français, en liberté, et libre d’organiser et de diriger un réseau de trafic de drogues au vu et au su de tous sans la moindre réaction des autorités –, auquel Éva Bourseau devait 6 000 euros.

    Jean Dupont est l'un des principaux contributeurs de Jeune nation, spécialisé dans l'actualité nationale notamment. Il est le coordinateur du journal quotidien.

    source Jeune Nation


    votre commentaire