• Villejuif : abattue dans sa voiture...

    Par:Le Parisien (Presse)

    © Le Parisien Le corps d’Aurélie C., 33 ans, était criblé de trois balles lorsqu’il a été retrouvé par les pompiers, hier, dans son véhicule stationné à Villejuif (Val-de-Marne).

    Une professeur de fitness du Nord, mère de famille, a été retrouvée morte hier matin à Villejuif. Elle devait y suivre un stage.

    Le mystère demeurait, dimanche soir, après la découverte au cours de la matinée du corps d'une jeune femme, dans sa voiture stationnée à Villejuif (Val-de-Marne).

    Vers 8 h 40, les pompiers ont été alertés par deux passants ayant aperçu de la fumée à l'intérieur d'un Renault Scénic garé dans une rue située juste derrière l'Institut Gustave-Roussy. Les soldats du feu ont brisé une vitre avant de découvrir le cadavre d'une femme, assise sur le siège passager. Aurélie C., 33 ans, originaire de la commune de Caudry dans le Nord, présentait trois blessures par balle, au niveau de l'épaule droite. Les pompiers ont tenté de la ranimer. En vain. Une enquête pour homicide volontaire a été ouverte, confiée à la brigade criminelle.

    « La fumée provenait non pas d'un incendie allumé volontairement dans l'habitacle, mais de la surchauffe d'un ordinateur branché sur l'allume-cigare, confie une source proche de l'affaire. Par ailleurs, il semblerait que le corps ait été déplacé, puisque des traces de sang ont été découvertes à d'autres endroits dans ce véhicule. »

    Aurélie C., maman d'une petite fille de 5 ans, était arrivée la veille en région parisienne. « Elle avait prévu de suivre un stage de Pilates, organisé dans un hôtel à Villejuif, confie son père, la voix étranglée par les sanglots. Elle devait rester du dimanche au dimanche. Samedi soir, vers 22 heures, elle nous avait appelés pour nous dire qu'elle était bien arrivée. C'est horrible... »

    Descendue pour une nuit dans un hôtel de Clamart (Hauts-de-Seine), à quelques kilomètres du lieu de la découverte de son corps, la victime, professeur de fitness, avait réservé une autre chambre dans un établissement de Villejuif pour une semaine.

    « C'était une fille géniale, témoigne encore son père. On ne lui connaissait pas d'ennemi. Elle était séparée du père de sa fille, mais ils étaient restés en très bons termes. Elle était appréciée de tous ici et faisait tout pour les jeunes de la ville. C'est atroce et insupportable de se dire qu'elle a été tuée comme ça. On a perdu notre fille, et une petite fille a perdu sa mère... »

    « J'ai entendu comme un pétard dans la matinée lorsque j'ai ouvert ma fenêtre », rapporte une habitante de la rue dans laquelle Aurélie C. a été retrouvée. « J'ai vu le corps par terre. Il y avait des policiers autour d'elle », indique, bouleversée, une salariée de l'hôtel Villa Bellagio, établissement qui donne lui aussi sur les lieux du drame.

    Mauvaise rencontre sur la route, agression alors que la victime attendait le début de ses cours de Pilates ? Toutes les hypothèses sont, pour l'heure, envisagées. L'autopsie sera quant à elle pratiquée aujourd'hui.


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  • Le paradis thaï des dealeurs de banlieue

    Par Valérie Mahaut, envoyée spéciale en Thaïlande
    Photos Ian Teh / Agence Vu

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    Durant l’hiver parisien, les jeunes des cités franciliennes partent faire la fête à Phuket, une île du sud de la Thaïlande. Ils dépensent des sommes colossales, souvent d’origines douteuses.

    Patong beach, île de Phuket, Thaïlande.
     Ses néons, ses couleurs, ses décibels assourdissants, ses gogo danseuses, ses plages, ses touristes venus s’encanailler… et ses airs de cité de banlieue parisienne.
     « Un nouveau département de France », s’exclamait mi-mars, entre deux bars de Bangla Road, la rue où bat le cœur de Patong, un vacancier français.
     Pendant l’hiver, les jeunes des cités grises de la petite couronne investissent ce coin de l’île de Phuket, centre névralgique du tourisme sexuel et festif.
     A plus de 10 000 kilomètres de chez eux, ils y ont créé leur autre banlieue.
    Qu’ils y passent de simples vacances ou viennent y dépenser l’argent du trafic de cannabis, loin des brigades des stups, ils se retrouvent dans les mêmes bars, les mêmes boîtes de nuit, les mêmes hôtels et sur les mêmes plages.
     La cité et les codes de ceux que les Thaïlandais de Phuket appellent les French Arabics (Arabes français) y sont reconstitués.
     D’ailleurs, un quartier entier de Patong est rebaptisé « Les 4 000 », du nom d’une cité de La Courneuve, en Seine-Saint-Denis.
    Au cœur d’une dizaine de blocs d’immeubles de cinq étages qui abritent des hôtels bon marché et des restaurants, on retrouve l’esprit et les habitudes des cités.
     En rentrant de la plage en fin de journée, il convient de parader torse nu sur des motos louées à la journée pour 8 à 15 euros.
     Et de se retrouver au pied des bâtiments, entre le salon de massage La Mamounia, les hôtels restaurants Paris Milan, le Garden Phuket Hotel… tenus par des Français, comme la plupart des établissements des « 4 000 » de Thaïlande.
    Sur Nanai Road, même ambiance.
    Les restaurants halal français s’alignent entre les guesthouses (chambres d’hôtes), les coiffeurs proposant « la coupe française » et les bars à chicha.
     A la carte du Green Ice 2, adresse incontournable de cette rue sinueuse : escalope de poulet halal, burger frites et salade à la sauce algérienne.
     Le bar est la réplique du Green Ice de La Courneuve, sandwicherie appartenant officieusement aux Houmani, redoutable fratrie de dealeurs du 93, arrêtés en mai 2014.
    Au Gossip, sur Bangla Road, on sirote du whisky ou de la vodka en fumant la chicha.
    « En mai, juin, on ne verra plus les gens des cités jusqu’à l’hiver », commente Laurent, un salarié.
    Ici, c’est « ambiance lounge », avec tables basses, poufs, musique à un niveau sonore normal.
     Le service de sécurité s’applique à « éviter les problèmes avec ceux des banlieues qui se croient chez eux et n’ont pas d’éducation », précise le gérant.
    Au bruyant rez-de-chaussée du bar de Seth Gueko, ouvert par le rappeur du Val-d’Oise, même son de cloche sur l’attitude des Français.
     Ce 14 mars, perché sur un tabouret, un œil sur la danseuse, Liès profite de la soirée.
     « Nous, on ne se mélange pas avec ceux qui font des histoires », lâche ce Toulonnais de 30 ans. Deux tables plus loin, Julien et ses copains s’apprêtent à aller en boîte.
     Ils sont en vacances à Patong, « parce que c’est incontournable ».
    « Et comme on écoute du rap, on s’est arrêté au Seth Gueko Bar », précise ce trentenaire originaire de l’Essonne.
     
    Des concerts de rap dans les boîtes
     
    La clientèle des cités est si importante à Phuket que les rappeurs français viennent s’y produire.
    Le 11 mars, la nouvelle coqueluche des amateurs de rap, Gradur, fait un concert au Seduction, la discothèque la plus prisée.
    A 24 ans, « L’Homme au bob », du nom de son album, se devait de se produire à Patong, « qui fait désormais partie du circuit de la réussite, autant que certaines salles de la région parisienne, de Marseille ou de Lyon », explique Alex Kirchhoff, directeur de son label, Millenium Barclay.
     « En Thaïlande, les jeunes de banlieue fréquentent des établissements tenus par des Français, qui font venir les rappeurs parce qu’ils ont le public », poursuit-il.
    Le lendemain du concert de Gradur, l’Illuzion, l’autre grosse discothèque de Bangla Road, riposte en accueillant sur scène le rappeur franco‑algérien Rim’K et la chanteuse de R’n’B Kayna Samet.
     
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    Fidèle réplique d’une sandwicherie de La Courneuve, le Green Ice 2 de Patong sert des escalopes de poulet halal et des salades à la sauce algérienne. © Ian Teh.Les Thaïlandais présents, eux, sont barmen ou chargés de la sécurité.
     Les femmes, prêtes à monnayer leurs charmes, savent, elles, que ces Français ont de l’argent, « certaines apprécient leur côté bad boy », selon un client.
     Entre les morceaux qu’ils connaissent par cœur et les selfies en série, les spectateurs hurlent quand les stars chauffent la salle en s’assurant que « les Parisiens, les Marseillais, les Algériens, les Marocains, le 9-2, le 9-3… sont bien là ? »
    Sur scène, Rim’K chante, comme Gradur, devant un écran géant diffusant ses clips tournés en Thaïlande, remplis de grosses voitures, flingues, billets de banque et filles.
     « Les mêmes vidéos, avec villas, jet-skis et hélicoptères coûteraient quatre fois plus en France, justifie Alex Kirchhoff.
     Et les gens sont contents de voir des images de la Thaïlande qu’ils connaissent. »
     
    Dépenser à Phuket l’argent du trafic
     
    Si une partie des vacanciers a économisé pour s’offrir deux ou trois semaines au soleil, d’autres dépensent à Phuket l’argent du trafic de drogue.
    Depuis une dizaine d’années, les enquêteurs français de la brigade des stupéfiants entendent, sur les écoutes téléphoniques, les suspects évoquer leurs voyages et en trouvent des traces lors de perquisitions.
    « Patong, c’est aussi le tourisme mafieux », constate le manager du Gueko Bar.
    Chez un dealeur présumé arrêté à Noël, à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine), dans un appartement où était stockée 1,2 tonne de haschich, la police a trouvé des billets d’avion pour Phuket.
     « On déniche souvent des photos qui attestent ces voyages, commente un enquêteur. Les trafiquants de drogue prennent la pose sur les plages, sur des motos ou avec des kalachnikovs. »

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    Au bar du rappeur Seth Gueko (dont le portrait orne le mur), des Thaïlandaises accueillent des clients fortunés. © Ian Teh.Car en Thaïlande, les stands de tir sont ouverts à tous, et proposent des armes qui circulent souvent en France sur le marché parallèle.
     « Les photos sont aussi postées sur Facebook pour montrer à la cité qu’ils y sont allés », précise l’enquêteur.
    S’ils savent que les séjours à Phuket permettent de dépenser incognito l’argent du trafic, les enquêteurs ne peuvent pas pister les suspects à l’autre bout du monde.
    « Il faudrait des moyens que nous n’avons pas », explique un commissaire de région parisienne.
     « De toute façon, là-bas, ils peuvent dépenser ce qu’ils veulent, ça ne peut pas leur être reproché », ajoute un autre.
     Ceux qui investissent là-bas n’ont pas de souci à se faire non plus : « Nous savons que les gros dealeurs “placent” dans l’immobilier, mais pour les affaires financières, la coopération n’est pas simple avec la Thaïlande », souligne un juge parisien, spécialiste du crime organisé.
     
    « Si t’as pas vu Patong, t’as pas vécu »
     
    « L’argent du trafic est surtout flambé en Thaïlande », confirme l’une de ses collègues.
     Flamber, c’est le mot.
     Au Seduction, on mesure les fortunes au nombre de magnums de vodka commandés.
     En cette nuit de mars, certains habitués, biceps moulés dans des tee-shirts siglés, pochette Burberry en bandoulière, rejoignent leurs tables réservées dans la salle VIP.
    Sur celle de Mehdi*, trentenaire des Hauts-de-Seine, trône un mathusalem (six litres) de vodka, entouré de bouteilles plus petites.
     Derrière le bar, les serveurs thaïlandais préfèrent oublier que ce flacon à 1 300 euros coûte cinq fois leur salaire mensuel.
    « On a des tables à 15 000 euros », confie le patron du lieu, évaluant la part de l’argent issu du « deal de shit » (trafic de cannabis) à 50 % de son chiffre d’affaires.
    Avec un sourire entendu, Mehdi confirme que son argent provient de cette activité avant de rejoindre le deuxième étage, où l’on accueille les super-VIP, qui dépenseront encore davantage.
    « Dans les années 1980, les trafiquants venaient pour l’héroïne du Triangle d’or constitué par la Thaïlande, le Laos et la Birmanie », relève le juge d’instruction spécialiste du crime organisé.
     Dix ans plus tard, c’est le muay-thaï (la boxe thaï) qui a attiré les jeunes de banlieue au pays du sourire.
     Ils admiraient Dida Diafat, qui a quitté Villiers-le-Bel (Val-d’Oise) pour s’entraîner en Thaïlande et devenir champion du monde.
     « Nous, on vient depuis 1996-1997, raconte Mehdi. On avait de l’argent, on nous avait parlé de la Thaïlande, voilà. »
     Un enquêteur parisien se souvient des premiers voyages, notamment celui d’une équipe de dealeurs qui avait braqué 500 kilos de cannabis à ses concurrents.
    Puis « les petits » ont suivi.
     Aujourd’hui, « il faut pouvoir dire aux amis : j’y suis allé. Si t’as pas vu Patong, t’as pas vécu », résume Morad, d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis).
     
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    Les plages de Patong sont aussi des planques pour certains délinquants français. © Ian Teh. 
    Une mise au vert pour les délinquants
     
    Destination plaisir, destination blanchiment, Phuket est aussi un « lieu de travail » pour les spécialistes des arnaques à la carte bancaire et une possibilité de repli pour les voyous.
    « Avec tous les établissements tenus par des Français, les délinquants ont des réseaux sur place, qui leur permettent de se “mettre au vert” », relève un commissaire parisien.

    C’est ce qu’avait fait Hassen Belferroum, l’un des braqueurs condamnés fin février pour les braquages de la bijouterie Harry Winston, avenue Montaigne, à Paris (8e).

     C’est ce qu’avait prévu Bouchaïb El Kacimi, condamné en octobre à vingt ans de prison pour trafic de cannabis.
     Membre du réseau Furax, qui a rapporté du Maroc, en go-fast, 50 tonnes de drogue en deux ans, il a été arrêté à Roissy en 2010, alors qu’il s’apprêtait à partir en Thaïlande, avec 30 000 euros.
    Il avait réservé un séjour pour deux à 14 000 euros…
     
    Quand certains débarquent à Phuket avec des liasses de billets de 500 euros, d’autres se servent sur place en piratant les distributeurs de billets de banque.
     Le 28 février, cinq personnes ont été arrêtées par la police thaïlandaise.
    Les deux principaux suspects, âgés de 29 ans, sont originaires de Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne) et sont sous le coup d’un mandat d’arrêt délivré par un juge parisien dans un dossier de fraudes à la carte bancaire.
    Pour l’heure, tous sont incarcérés à la prison de Phuket.
     Pour eux, les vacances sont finies.
     
    * Le prénom a été modifié.

    Les locaux parlent des Français

    Propriétaire d’un bar restaurant sur la plage de Laem Sing Beach depuis trente ans, le Thaïlandais Ali observe ces Français qui fréquentent tant sa plage qu’elle a été rebaptisée « La Plage des Français ».
     « Certains sont des gangsters qui se tirent dessus chez eux, mais ici, je le vois, ils sont amis », remarquait-il en 2014, évoquant les règlements de compte marseillais.
    Ali constate la richesse de ses clients, « surtout les French Blacks, qui portent les plus belles montres et dépensent beaucoup. »
    Les touristes des cités peuvent soudoyer la police quand ils sont arrêtés, parfois juste parce qu’ils ne portent pas de casque à moto.
    « Les French Arabics ne respectent pas les règles, mais ont peur d’aller en prison, donc ils paient. »Non loin de Bangla Road, un commerçant ne s’émeut pas de savoir certains Français en prison.
     
     « Ils ont un mauvais comportement, ne respectent pas leurs femmes, qu’ils laissent dans leur pays, ni les Thaïlandaises prostituées qu’ils viennent voir », s’emporte-t-il.

    source

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  • Par Pieds Noirs 9A.. Des paroles ,des paroles ,toujours des paroles ..

    Article N°1904 du 15 Février 2015..

    Une profanation de cimetière chrétien ,tous les jours dans le monde ..

    Une profanation de cimetière chrétien ,tous les jours dans le monde ..Une profanation de cimetière chrétien ,tous les jours dans le monde et bien sur nos petits penseurs se réveillent que quand cela ce passe en France .. Et nous voyons Des paroles ,des paroles ,toujours des paroles ..

    Pour nos politiques de la Bienne pensante.  Les cimetières  chrétiens profané en terre qui était Française d'outre mer ne compte pas ..

    Deux poids ..Deux mesures !!! et cela on en parle pas ..C'est cela le respect de l'autre ..

    Cimetières

    Il est temps de remettre sur la table la hiérarchie des crimes et des délits, pour redonner de la légitimité aux pouvoirs policiers et judiciaires.
    Nous ne pouvons que nous moquer à leurs côtés d'un tel déséquilibre des peines.

    A quel moment de l'histoire le rapport de nos sociétés à la culture a-t-il dérapé au point qu'aujourd'hui, un jeune de 15/17 ans puisse se retrouver jugé par un tribunal pour avoir téléchargé et partagé une vingtaine de films ?? Nous le disions il ya deux ans à propos du premier ministre britannique David Cameron, qui expliquait les émeutes par un "effondrement moral" de la société : il ne peut y avoir d'échelle morale respectable et donc respectée dans une société qui fait de l'échange d'œuvres culturelles un délit pénal aussi grave que le vol ou l'agression physique. Numérama se faisait alors une joie maligne de constater le désordre qui semble régner dans la hiérarchie des peines, qui juge finalement moins grave de profaner un cimetière ou d'abandonner sa famille (1 an de prison), que de copier un film (3 ans de prison). Dont deux poids deux mesures

    C'est honteux, je suis athée et la France est un pays soit disant laïque, pourtant c'est la première fois que je suis informé de ce genre d'acte en grande pompe dans toutes les presses Françaises , je n'ai jamais autant vu de sujet à propos de ce sujet dans les journaux télévisés, pourtant j'ai souvent entendu parlé de profanation de cimetières musulmans et juifs, il faudrait peut-être penser à relayer l'information de la même manière dans tous les cas ..Puisque nous somme sous une république que je pense encore ..QUOI QUE ???.

    HKcemetary
    Comme nous voyons un cimetière chrétien profané ?? tout le monde s'en fout,  autres cimetière profané ?? ..Cela fait la une des journaux le gouvernement de Valls monte au créneau…C'est marrant pas d'association pour monter au créneau et crier leur indignation.Bizarre !!! ,cela marche toujours que dans un sens de la politique en cours ,enfin qui dure maintenant depuis après la deuxième guerre mondiale et les Français s'en lassent pas ...Ahhh !!!! Les nouvelles circulent vîtes dans le Figaro par exemple : des chiffres de 2008. Il y a longtemps que ça se sait. Mais il ne s'agit  pas de cimetière Chrétien , donc ce n'est pas politiquement correct d'en parler... Et si demain c'était au tour de Notre Dame d'être saccagée, qui de notre gouvernement se rendrait sur les lieux et présenteraient des excuses ?? Au lieu toujours de ce repentir dans le mauvais sens  ..Amusant quand même de constater que, lorsqu'il s'agit de profanation de cimetières chrétiens ceux qui agissent sont de "pauvres types sans idéologie précise qui font ça par désœuvrement". Lorsqu'il s'agit de mosquée ou de synagogue ,se sont des actes raciste voir des "SS"   Alors que Hitler était socialiste ,c'est beau et bon d'inversé les rôles   ..Donc, dans tous les cas, ces faits sont accomplis par des franco-franchouillards (sans doute) et/ou vraisemblablement d'extrême droite mais jamais par d’autres religions ..Bizarre NON ??..

    Tous ces faits et bien d'autres dénotent le niveau de décadence de notre société. Plus rien n'est respecté et bien depuis longtemps ,même plus la liberté de dire bonjour ou bonsoir,plus rien qui compte , ben alors tant pis pour nous!!! puisque nous acceptons tout et n'importe quoi, nous acceptons de nous faire manipuler par les médias du système , les syndicalistes et les politicards, dont nous acceptons de nous faire plumer, nous acceptons de nous faire dicter notre façon de penser, et de vivre , nous acceptons de n'avoir aucune conviction, nous acceptons de n' avoir aucune ambition, nous acceptons ,par dessus tout ,de n'avoir aucun courage....car nous acceptons toutes les interdictions, égoïste mais c'est tellement plus confortable.

    Monsieur le ministre l'intérieur, fait quoi alors?? A part des paroles dans un micro .. Il n’est pas ministre de l'intérieur, et des cultes ??..En France, tout les deux jours on attaque la religion chrétienne , les Eglises, mais bien entendu, il y a rien derrière d'anticléricale, d'anti chrétien, ou autre...bien sur.....Quand aux média..que font ils??.. que veut dire cette omerta sur ces faits ?? Un seul incident sur des tombes juives ou autres, et on parle de suite de racisme, et autres,....Y aurait il plus de respect dans cette nation, même pour nos morts, et la religion... Pour les croyant donc !!La fille ainée de l'Eglise que fait-elle ...quand au Ministre j'aimerais savoir ce qu'il en pense?? C'est honteux de voir tout ceci...HONTEUX!!! Et pourquoi honteux, Parce-que les Français ont choisit de mettent dans les urnes ,leurs convictions d’avoir la paix ..

    Remarquez  que Numérama a fait un excellent article, relevé par le journal Sud-Ouest, au sujet de la hiérarchie des crimes et des délits, en réaction à la mésaventure d'un adolescent de 15 ans qui a atterri au tribunal pour avoir partagé 20 films (et dénoncé par sa directrice d'école), et en écho aux émois du premier ministre anglais David Cameron qui expliquait les récentes émeutes anglaises par une perte des repères et un "effondrement moral" de la société. Numérama se faisait alors une joie maligne de constater le désordre qui semble régner dans la hiérarchie des peines, qui juge finalement moins grave de profaner un cimetière ou d'abandonner sa famille (1 an de prison), que de copier un film (3 ans de prison).En  2011 Profaner un cimetière est pénalement moins grave que le téléchargement illégal ..Pieds Noirs 9A..


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  • « Je vous prédis, moi, que vous aurez l’Algérie de Tamanrasset à Dunkerque »

    Par:José Castano ..

     La Gauche continu a détruire la France ..« Le temps des mille ans s’achève. Voilà que sortent les nations qui sont aux quatre coins de la terre et qui égalent en nombre le sable de la mer. Elles partiront en expédition sur la surface de la terre, elles investiront le camp des saints et la ville bien-aimée » (XXe chant de l’Apocalypse)

    Printemps 1491. Après sept siècles de luttes contre l’occupant Musulman, la « Reconquista » sous la conduite des rois catholiques, Isabelle de Castille et Ferdinand d’Aragon, est sur le point d’aboutir. Le 26 avril commence le siège final de Grenade, seule province espagnole encore aux mains des Maures commandés par le Sultan Boabdil. Les réserves de nourriture s’épuisant et le moral de ses hommes étant au plus bas, Boadbil, comprenant que la fin était proche, négocia, dans le souci de conserver sa vie, celle de sa famille et de sa cour, les 1 et 2 janvier 1492 sa reddition qui prévoyait un départ en exil vers l’Afrique du Nord.

    Le 2 janvier au matin, les Espagnols avec à leur tête les Rois catholiques, entraient sans combattre dans Grenade. Aussitôt, la bannière de Castille et la Croix chrétienne furent hissées sur la forteresse de l’Alhambra, bijou architectural maure.

    Dans le même temps, arrivé avec sa troupe sur les hauteurs d’un col surplombant Grenade d’où l’Alhambra se dessinait majestueusement, Boadbil, dans un instant de dépressive mélancolie se mit à pleurer. Le surprenant en larmes, sa mère Aïcha El Horra, s’exclama sur un ton de reproches : « Llora como mujer lo que no supiste guardar y defender como un hombre ». (Pleure comme une femme ce que tu n’as pas su défendre comme un homme). Depuis lors, on appelle ce col « El Suspiro del Moro », « Le Soupir du Maure ». Ce moment historique est particulièrement bien relaté par Chateaubriand dans sa nouvelle « Les aventures du dernier Abencerage».

    Je vous prédis, moi, que vous aurez l’Algérie de Tamanrasset à Dunkerque

    Pourquoi cette anecdote historique ? Parce qu’elle préfigure parfaitement ce qui pourrait advenir de semblable, demain, des Nations européennes (particulièrement la France) si elles persistaient dans leur entreprise d’asservissement et d’autodestruction. Souvenons-nous à cet effet de cette prédiction que Larbi ben M’Hidi, redoutable terroriste du FLN, avait lancée à la face des parachutistes français venus l’arrêter en 1957 lors de la « bataille d’Alger » : « Vous voulez la France de Dunkerque à Tamanrasset, je vous prédis, moi, que vous aurez l’Algérie de Tamanrasset à Dunkerque ».

    Honneur aux pays qui se lèvent et honte aux pays qui se couchent ! »

    Aujourd’hui, l’histoire se répète, sauf que cette fois c’est le monde occidental qui est en passe d’être confronté à une défaite dans le déshonneur total, comme celle que l’on doit à la trahison de gouvernants veules, de chefs de partis aveuglés par de maigres illusions qui s’entredéchirent pour une meilleure place à la mangeoire, de dirigeants qui exfiltrent des centaines de milliers d’euros vers leur compte de « là-bas » en prévision du grand séisme qu’ils vont eux-mêmes provoquer, d’une pseudo élite qui s’aplatit devant des rustres pour de piètres privilèges avec, en prime, la corruption politique, le mépris du gouvernement pour le peuple, l’arrogance des oligarques… tous vivant dans une impudique sérénité se riant du blâme lancé, jadis, par Châteaubriant : « Honneur aux pays qui se lèvent et honte aux pays qui se couchent ! »

    Comme, hier en Algérie, la tactique dite du « salami » est, aujourd’hui, utilisée (notamment en France) et il se trouve toujours des responsables politiques de tous bords, des usuriers à l’affut du gain ou simplement des opportunistes du « show biz » pour faire digérer chaque tranche à une opinion publique assoupie depuis des lustres. « Ce peuple que tu as trahi, il oubliera jusqu’à ton nom » écrivait le poète Arnulf Overland… sauf que, ces gens là seront, à leur tour, défenestrés et l’Histoire traînera leurs noms dans la fange. Mais ce sera une piètre consolation pour un peuple enchaîné. Jamais la prophétie de Lénine n’a été aussi véridique et sur le point de se réaliser : « L’Occident nous vendra la corde pour le pendre ».

    Peuple indifférent à son propre sort

    Le plus triste cependant, c’est de voir ce peuple indifférent à son propre sort, qui regarde mourir sa nation. « L’Europe s’aperçoit en frémissant que par sa sombre indifférence une puissance destructrice a fait irruption chez elle, puissance qui paralysera ses forces pendant des siècles » vitupérait Stephan Zweig.

    Et dans ce terrifiant augure, très peu discernent l’imminence de l’inéluctable naufrage. La majorité silencieuse se contente de vivoter, de courir après de pathétiques leurres, lorsqu’elle ne s’enferme pas dans de ridicules tours d’ivoire qui s’écrouleront au premier coup de massue. Et Jean Raspail de dénoncer ce comportement en ces termes : « Ce que je ne parviens pas à comprendre et qui me plonge dans un abîme de perplexité navrée, c’est pourquoi et comment tant de Français avertis et tant d’hommes politiques français concourent sciemment, méthodiquement, je n’ose dire cyniquement, à l’immolation d’une certaine France sur l’autel de l’humanisme utopique exacerbé ».

    Et c’est ainsi que nous regardons, impuissants, notre monde s’effriter par pans entiers jusqu’au jour où, poussés sans combattre vers l’exil mais ne sachant où aller, nous connaîtrons à notre tour la dépressive nostalgie de Boadbil et laisserons nos larmes couler sur ce qui fut, jadis, notre raison de vivre. Alors, la juste sentence de Aïcha, s’appliquera dans son implacable rigueur : « Pleure comme une femme ce royaume que tu n’as pas su défendre comme un homme ! »

    © José Castano


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  • Par :Pieds Noirs 9A..La clairvoyance de Vladimir Poutine pour son pays clair et net !!!La clairvoyance de Vladimir Poutine pour son pays clair et net !!!Fier de l'être..

    "La clairvoyance de Vladimir Poutine ! il ne mâche pas ses mots !!" Voila un mec qui en a, en France, c'est pour quand ??Probablement jamais, avec les glandus que nous avons ! !

    La clairvoyance de Vladimir Poutine pour son pays clair et net !!!

    La clairvoyance de Vladimir Poutine

    LE DISCOURS LE PLUS COURT JAMAIS PRONONCE par Vladimir Poutine

     Le temps est venu pour nos leaders élus de prêter attention au conseil de Vladimir Poutine. Est-ce si effrayant que cela ?

    Vladimir Poutine, le président russe, s’est adressé à la Dūmā relativement aux rapports tendus avec des minorités en Russie :

     "En Russie chacun doit vivre comme des russes. N'importe quelle minorité, de n'importe où, si elle veut vivre en Russie, marcher et manger en Russie, devrait parler le russe et devrait respecter les lois russes.

    S' ils préfèrent la Loi de la Sharia et vivre selon les préceptes musulmans alors nous leur conseillons d'aller vivre là où telle est la loi nationale.

    La Russie n'a pas besoin de minorités musulmanes.

    Les minorités ont besoin de la Russie et nous ne leur accorderons pas de privilèges spéciaux ni n’essaierons de changer nos lois pour les adapter à leurs désirs, peu importe leurs hurlements contre notre prétendue 'discrimination'.

    Nous ne tolérerons pas de manque de respect à notre culture russe.

    Nous devrions savoir tirer les conséquences des suicides de l'Amérique, l'Angleterre, la Hollande et la France, si nous voulons survivre en tant que nation.

    Les musulmans reprennent ces pays mais ils ne prendront pas le contrôle de la Russie..

    Les coutumes russes et nos traditions ne sont pas compatibles avec leur manque de culture ou leurs coutumes primitives.

    Lorsque cette honorable assemblée pense à créer de nouvelles lois, elle doit prendre essentiellement en considération l’intérêt national russe et, considérant que les minorités musulmanes ne sont pas des russes, elle ne doit pas prendre en compte la Sharia, la loi des musulmans. »

     C’est par une ovation debout de cinq minutes que les membres de la Dūmā ont salué ce discours de Vladimir Poutine..


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