Les profanations, agressions, accusations mensongères et autres délits commis par les différents membres des FEMEN n’ont pas suffi à aliéner au groupe de prostituées internationales ses soutiens à l’extrême gauche et parmi les ennemis de l’Europe.
« Quand elle utilise des mots d’une violence exceptionnelle […] pour s’en prendre à moi, pour s’en prendre à d’autres membres du gouvernement, Marine Le Pen ne fait pas non plus dans la mesure. Elles [les prostituées] étaient sur un balcon privatif, elles s’expriment » a déclaré l’étrangère.
La même justifiait ces derniers mois les agressions des flics républicains contre les défenseurs de la famille et contre les nationalistes : la liberté d’expression est à géométrie très variable vue du Maroc. Elle a également ces derniers mois menacé et empêché de s’exprimer en brandissant notamment des menaces judiciaires de nombreux parents qui refusaient l’enseignement de l’idéologie du genre à l’école.