• Soutien à l’Ukraine : Ils n’iront jamais au front ces politiques

    Soutien à l’Ukraine : Ils n’iront jamais au front ces politics

    Texte qui a reçu le soutien d’une majorité de députés : 372 voix pour, 99 contre. Le Gaby Attal, pour convaincre les Playmobils, leur a donné de l'envolée lyrique à la tribune : « Voter contre, c’est signifier à nos alliés que la France tourne le dos à son engagement et à son histoire. (…) S’abstenir, c’est fuir ses responsabilités devant l’histoire, trahir ce qui nous est de plus cher. » Détaillons donc le panégyrique : D’abord, « nos alliés » ne sont pas très chauds pour continuer d’envoyer des sous, des armes et encore moins des soldats. Les U.S eux ont coupé les vivres il y a un temps, et Trump qui a de grandes chances d’être élu mettra fin à la partie du jeu de la mort ; donc mon Gaby, « oh Gaby, tu devrais pas m'laisser la nuit - J'peux pas dormir, j'fais qu'des conneries. »[i] - « Son engagement et son histoire » ? De quoi parle-t-il ? Quel « engagement » ? Celui ânonné par Macron depuis deux ans suite à la grande table poutinienne. Ça lui est resté au fond de la gorge et depuis il « engage » pet sec le petiot, en envoyant sans consulter personne des canons avec leurs servants français instructeurs pour l’armée ukrainienne, des chars un peu bidon qui se font dégommer en deux temps trois mouvements, des obus qui vident les réserves de ce qui reste de l’armée française, tout ça couronné par des embrassades enamourées avec le Volodymyr. De plus, nous n’avons aucune histoire commune avec l’Ukraine, à part un Richelieu qui fut envoyé par le Tsar de Russie en 1803 comme gouverneur d’Odessa.[ii] « S’abstenir, c’est fuir ses responsabilités devant l’histoire. » Une fois de plus de quoi parle-t-il ? Cette succession de mots enflammés pourrait s’appliquer à n’importe quelle situation de géopolitique, ce n’est juste que de la rhétorique guerrière digne d’un ancien combattant des tranchées. « Trahir ce qui nous est de plus cher. » ? Plus cher à toi et ta caste qui depuis toujours veut envoyer au casse-pipe la plèbe afin qu’une bonne fois pour tout, elle la boucle ? Car, pour le commun, ce qu’il y a de plus cher, ce sont les enfants, la santé, la famille, les anciens, la sécurité, le pouvoir d’achat et si possible des vacances au soleil pour oublier tous les mensonges venant de ces élus… Mouais, je te l’accorde, pour les tiens ce n’est pas très woke et va-t-en-guerre ces « ambitions populaires ». Dire que c’est avec ce blabla digne d’un vieux grumpy que l’Attal a fait passer cette loi par plus des deux tiers des députés présents, montre combien cette bande organisée veut sauver ses meubles et masquer ses incapacités…

    Le bidule se nomme : Accord Bilatéral de Sécurité entre la France et l’Ukraine. Vous remarquerez qu’il n’est pas multilatéral cet accord… L’accord prévoit un engagement de dix ans de la France envers l’Ukraine, avec notamment 3 milliards d’euros de soutien militaire programmés dès 2024. Les élus du camp présidentiel, les socialistes et Les Républicains (LR) ont quasiment tous voté pour. En revanche, ceux de La France insoumise (LFI) et du Parti communiste ont voté contre ; le RN s’est abstenu.[iii] Petite parenthèse, les héritiers du pauvre Jean Jaurès assassiné en 1914, car il prônait la paix et surtout pas une guerre contre l’Allemagne, eh bien ces « socialistes » 2024, eux sont à fond avec les macaronistes pour continuer la guerre pendant 10 ans ! On n'est jamais mieux trahi que par les siens, n’est-ce pas !

    Reprenons la litanie Attalesque - Fatalesque : « La Russie est une menace non seulement pour l’Ukraine, mais aussi directement pour nous, pour l’Europe, pour la France, pour le peuple français. » Celle-là, tous les « allons Zenfants de la patrie »  répètent la litanie en boucle sur tous les médias, là pour faire monter la sauce, le stress et la peur. Les armées slaves vont débarquer à Paris et puisque que leurs athlètes ne sont pas invités aux jeux, que l’Hidalgo refuse de souhaiter la bienvenue à ceux sous bannière internationale (Alors que le tapis rouge sera déroulé pour ceux d’Israël) et bien, la soldatesque ruskofs, très fâchée s’installera à l’Élysée et organisera des barbecues de viande d’ours tout en essuyant leurs couteaux ensanglantés dans les beaux rideaux que Brigitte avait commandé. Il continue le Gaby : « Le message du président de la République a été très clair : nous n’abandonnerons pas l’Ukraine et nous n’excluons par principe aucune option.»[iv] Y’a pas d’option Dupont ! Avec quoi, qui, comment, quel argent, quel équipement ? C’est un peu moi allant chercher des noises à Tyson et étant étonné que seulement en éternuant le Mike me foute KO. Okay Gaby !

    Ne gâtons pas notre plaisir : notre Gaby-gabegie termine par une envolée si dithyrambique, que tous les locataires du Panthéon sont debout. « Si l'Ukraine perd, nous perdons nous aussi. Nous ne laisserons pas la Russie gagner. La France ne peut s'effacer devant ses responsabilités. Je le dis du plus profond de mes tripes qui se nouent autour de l'intérêt des Français, Slava Ukraini ! »[v] Et bé ! Fait gaffe, car quand les « tripes se nouent » c’est peut-être aussi la gastro, tu y as pensé ? Quant à « gagner et perdre », on dirait que tu parles d’un match de hockey. Fait attention, sont super balèzes sous ces cieux en ce qui concerne triturer la crosse et le palet…

    Quant au vote du sénat : oh surprise, une très large majorité a voté en faveur de l'accord de coopération entre la France et l'Ukraine. 293 élus, pour et 22 contre.[vi] 

    Nos deux naze.emblées sont d’accord, l’Europe, c'est la paix, et ceuces qui pensent le contraire sont des poutinolâtres indécrottables comme la gadoue sibérienne qui colle aux chausses des moujiks pleins de vodka.

    Ti détail de fin : « Ce vote n’a aucune valeur juridique (art 50-1) comme d’ailleurs ce traité Ukraine/France qui ne sera opposable aux Tiers et aux français que s'il est ratifié par une loi Art 53 ! Du Vent ! Du Vent ! L’esprit Emmanuel Macron qui manipule le Parlement qui se laisse faire ! »[vii] Prononcé et prédit par Yves Pozzo di Borgo, homme politique et selon Conspiracy Watch, Yves Pozzo di Borgo relaie depuis 2019 des théories complotistes… Ce qui est un gage de grande moralité lorsque vous êtes fiché par sir anti complot Rudy Reichstadt, roi des subventions.

    Gaby !
    Gaby !
    Alors à quoi ça sert la frite si t'as pas les moules,
    Ça sert à quoi l'cochonnet si t'as pas les boules?

    (Rip Alain, t’es surement mieux où tu es maintenant que de subir l’Attal)

    Georges ZETER/mars 2024


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  • Le chef désarmé !

    18% des sondé voteront pour lui aux Européennes. «Qu’environ 9% des Français préservent leur soutien au parti présidentiel malgré l’épouvantable faillite d’une politique qui sombre jour après jour dans un abîme de ridicule ne doit pas surprendre: il se trouve toujours une minorité, notamment chez les plus âgés et d’un faible niveau intellectuel pour céder à la logique légitimiste de l’allégeance au chef quel qu’il soit (Maxime Tandonnet).Léon Bloy: «Et ce cortège est contemplé par un peuple immense, mais si prodigieusement imbécile qu’on peut lui casser les dents à coups de maillet et l’émasculer avec des tenailles de forgeur de fer, avant qu’il s’aperçoive seulement qu’il a des maîtres, — les épouvantables maîtres qu’il tolère et qu’il s’est choisis….Toutes les formes imaginables de l’imprécation ou du sarcasme furent appliquées inutilement à cet Achille du mensonge qu’on supposait invulnérable, et qui avait fini par décourager le Mépris.» 


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  • La Russie a confisqué 400 avions étrangers… la bataille judiciaire est épique !

    Le 24 février 2022 au début de la guerre en Ukraine, la Russie a pris en otage 400 avions étrangers, et maintenant les assureurs s’arrachent les cheveux, car « les grands constructeurs aéronautiques européens et américains ont perdu la main sur près de 400 avions qu’ils louaient à des compagnies aériennes russes. Deux ans après le début de la guerre, les assureurs refusent d’indemniser les constructeurs. Résultat : une perte de plusieurs milliards de dollars. »

    On estime entre 10 et 15 milliards de dollars le prix de ces avions, et cela fait une petite perte tout de même qui traîne dans quelques bilans et qui n’est pas forcément très bien provisionnée, si vous voyez ce que je veux dire, mais je n’en dirais pas plus, bien que je n’en pense pas moins.

    Il y a peu de chance que l’on revoit un jour ces avions, surtout que les Russes ne sont pas prêts de revoir les centaines milliards d’euros qu’ils avaient sous forme d’avoirs dans le monde occidental, l’Union Européenne ayant annoncé que les avoirs russes gelés allaient être utilisés pour financer les armes nécessaires à l’Ukraine pour lutter contre l’attaque russe.

    …. Alors les 400 avions risquent fort de passer par pertes et profits… et surtout par pertes !

    Les assurance ne veulent jamais payer !

    Vous connaissez le modèle économique des assurances. Les primes ne sont pas très élevées, sinon personne n’irait s’assurer, donc les compagnies gagnent avec les petits caractères en essayant généralement de ne pas payer quand le sinistre est là !

    Si « Airbus, Boeing et les entreprises intermédiaires de location essaient désormais de se faire indemniser pour cette perte financière immense. Mais la situation assurantielle autour des appareils fait débat. Lors de la location, les compagnies locales sont censées souscrire une assurance au niveau local. Les constructeurs, de leur côté, sont également assurés, notamment en cas de guerre.

    Les assureurs russes sont prêts à payer

    Les assurances des constructeurs estiment aujourd’hui ne pas avoir à indemniser leurs clients. La première raison avancée repose sur l’enchaînement des événements. Les constructeurs ont officiellement cessé leur contrat d’assurance en Russie après l’invasion, mais avant qu’ils ne comprennent que leurs avions étaient coincés sur le sol russe. Un délai de quelques jours tout au plus qui pourrait leur être préjudiciable.

    Les assureurs souhaitent également avancer l’exclusion d’assurance parce qu’ils estiment que les États-Unis et l’Europe sont eux-mêmes en guerre. S’ils ne se battent pas directement contre Moscou, leur soutien à l’Ukraine, notamment à travers la fourniture d’armes et de munitions, indiquerait une implication significative.

    De leur côté, les assureurs locaux en Russie ont déjà proposé des accords aux entreprises intermédiaires de location d’appareils. Plusieurs milliards de dollars ont donc été envoyés à certaines d’entre elles en échange d’un abandon des poursuites et pour que les avions restent en Russie. Une forme de rachat d’appareils, à prix cassés, qui n’empêchera pas la bataille juridique avec les assurances occidentales. »

    Un conflit économique qui risque de durer aussi longtemps que l’affaire des emprunts russes.

    Charles SANNAT

    Source l’Opinion ici


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