• Le pire est devant nous…

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    Quel que soit le vainqueur de l’élection présidentielle, le pire est devant nous.

    Macron, dit-on, l’emporterait au deuxième tour, mais les législatives de juin donneraient probablement la majorité à la droite parlementaire, d’où une cohabitation rendant impossible toute réforme sérieuse.

    Alors, pratiquement, que se passerait-il ? C’est très simple. Il ne se passerait rien. C’est-à-dire que, comme précédemment, tout augmenterait : l’immigration, et donc l’insécurité, le chômage, la dette et surtout la fiscalité, avec une seule diminution, celle du pouvoir d’achat. Et, si, d’aventure, une majorité se formait, non pas sur son programme (Macron n’en a pas !), mais sur son nom, ce serait pire. À la question : « Baisserez-vous les impôts qui écrasent les ménages et ruinent l’économie ? », je n’ai toujours pas eu de réponse.

    Je rappelle que les deux derniers quinquennats, ceux de Sarkozy et Hollande, ont été financièrement désastreux : une dette passée de 1 253 milliards d’euros à plus de 2 200 milliards. 600 milliards supplémentaires sont dus à Sarkozy et 350 milliards à Hollande. C’est ce que vient de publier Agnès Verdier-Molinié, directrice de l’Ifrap.

    Ces deux présidents ont augmenté les impôts de 76,2 milliards (Sarkozy) et de 79,7 (Hollande). Matraquer et appauvrir les Français, c’est tout ce qu’ont su faire ces deux politiciens démagogues, incompétents, mais qui en ont bien profité sur le dos des Français.

    En outre, cette interminable campagne présidentielle cacophonique et nauséabonde a révélé une faille très grave du système politique français : la politisation de la justice. Les poursuites engagées contre le candidat Fillon, largement décrites par une presse généralement subventionnée, le démontrent amplement. Contre ceux, affichés sur un mur, le « mur des cons », c’est la présomption de culpabilité qui s’applique avec mise en examen et perquisitions à répétition. Les magistrats de gauche et syndiqués disent rendre une justice sociale. En URSS aussi, on rendait une justice sociale !

    « Une dénonciation via un journal visiblement alimenté de bonne source, écrit l’ancien procureur général près la cour d’appel de Paris, dans Le Monde du 3 mars, l’engagement, le jour même, d’une enquête illustrée de fuites bien informées et orientées d’éléments du dossier, l’ouverture d’une information judiciaire en quelques semaines, une convocation quasi immédiate… Combien de justiciables attendent bien plutôt des mois ou des années dans une douloureuse incertitude ? Des millions de Français sont convaincus qu’on veut leur voler leur élection au mépris de la présomption d’innocence. » On ne peut être plus clair.

    Une justice absolument impartiale est le fondement de la sécurité des citoyens et de la démocratie. Force est de constater que, maintenant, en France, il n’y a ni sécurité, ni démocratie.

    Autre constat. L’agression politique et diplomatique du Turc Erdogan contre les Pays-Bas et, de façon générale, contre l’Europe chrétienne, est très significative de l’évolution générale dans le monde et, plus particulièrement, en Europe. Malgré un chaos apparent, cette politique démontre, en effet, l’invasion méthodique par les foules musulmanes de l’Europe où l’on compte déjà quelque 5 millions de Turcs et au moins 40 millions de musulmans, la France étant le pays le plus atteint.

    Dans son dernier ouvrage, « Républicains, osez ! », Alain Mathieu, président honoraire de « Contribuables associés », a fort bien décrit le processus d’invasion : « Tant que la population musulmane ne dépasse pas 2 % de la population d’un pays, les musulmans y sont considérés comme une minorité pacifique et non comme une menace. C’est le cas des États-Unis, du Canada, de l’Australie, etc. De 2 à 5 %, ils commencent à exercer un prosélytisme envers les autres minorités ethniques, recrutant souvent parmi les détenus et les bandes urbaines. C’est ce qui se passe au Royaume-Uni, en Allemagne, etc. Au-delà de 5 %, ils exigent l’introduction de nourriture halal. Ils font pression sur la grande distribution pour qu’elle fasse figurer des produits halal dans ses rayons. Ils exigent que leurs femmes ne soient pas soignées par des hommes, demandent des heures d’ouverture spéciales pour les femmes dans les piscines. Dans les entreprises, ils demandent des pauses pour la prière et des menus spéciaux dans les cantines. Les fêtes musulmanes doivent devenir chômées. Des tribunaux spéciaux appliquant la charia sont demandés. La construction de mosquées se multiplie. En France, il y en avait 4 en 1965, plus de 2 500 maintenant. Et on en manque toujours. Comme le dit Dalil Boubakeur [recteur algérien de la Grande mosquée de Paris] “pour les 7 millions de musulmans de France, les mosquées actuelles ne suffisent pas”. »

    Qui va arrêter cette invasion, alors que la gouvernance française est, de facto, complice des envahisseurs, parce qu’un musulman ayant reçu la nationalité française, distribuée surabondamment, votera socialiste ?
    La France est bradée par des politiciens avides de privilèges et souvent ne maîtrisant pas leur langage – l’un d’entre eux, candidat connu, ne vient-il pas, dans un pays musulman, d’accuser les Français de crimes contre l’humanité et de barbarie. Comment élire à la tête du pays un démagogue hostile à la France et à son histoire ?
    Telles sont les perspectives dans un pays en état d’anarchie dont la politique politicienne méprisable et destructrice est l’une des formes les plus apparentes de la décadence évidente qui le fera disparaître.

     

    Source : les4verites


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  • Le 49-3 envisagé par le gouvernement pour imposer la réforme des retraites


    Après avoir fait savoir aux organisations syndicales et patronales qu'il était disposé à retirer provisoirement l'âge pivot du projet de loi sur la réforme des retraites, l'exécutif envisagerait-il le recours à l'alinéa 3 de l'article 49 de la Constitution ?

    Selon une information rapportée ce 12 janvier par Le JDD, «l'opportunité» d'utiliser ledit article 49-3 pour faire passer la réforme des retraites serait actuellement «débattue au plus haut niveau de l'exécutif». La procédure en question permet au gouvernement de faire passer un texte de loi sans le vote des parlementaires, qui ont alors 24 heures pour voter une motion de censure forçant le gouvernement à démissionner.
    «A-t‑on vraiment envie de se taper une réforme des retraites qui dure des mois et des mois ?»

    Un tel scénario aurait en effet été évoqué à l'occasion d'un dîner politique à l'Elysée le 7 janvier. «Pas parce que la majorité est trop courte et le vote de la réforme incertain, mais pour s'éviter un feuilleton politique dangereux», explique le journal hebdomadaire dominical, qui cite à ce sujet un proche d'Emmanuel Macron : «Plutôt que de se payer une guérilla parlementaire majeure à quinze jours des municipales, on pourrait passer d'un coup. Mais c'est extrêmement brutal pour les oppositions.»

    Egalement cité par Le JDD, un ministre, dont le nom n'est pas révélé, aurait abondé en faveur de l'utilisation du 49-3, en ces termes : «On entre dans les municipales, les régionales, les départementales ; on se rapproche de la présidentielle… A-t‑on vraiment envie de se taper une réforme des retraites qui dure des mois et des mois ?».

    Toujours selon les informations de l'hebdomadaire, l'option n'aurait toutefois pas encore convaincu Edouard Philippe.

    Inscrite dans les recommandations de la Commission européenne adressées à la France en juin 2019, la réforme portée par le gouvernement continue de faire l'objet d'une vive contestation en France. En effet, visiblement peu convaincus par la récente position du gouvernement qui s'est dit «disposé à retirer provisoirement» l'âge pivot de la réforme, ses opposants se montrent pour l'heure toujours déterminés à obtenir son retrait. En tout état de cause, un potentiel recours au 49-3 en pleine crise sociale présage de nombreuses réactions du côté des opposants à la réforme des retraites.
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  • « Solidarité : retrouvons le chemin salutaire de l'égoïsme national »

    Jean-François Touzé, Délégué général du Parti de la France, réagit à la création d'un énième centre d'accueil pour les pseudo-réfugiés à Paris.

    Jean-François Touzé@JeanFranoisTou1

    Nouveau Centre d'accueil" pour à Paris. Les Français pauvres, eux, peuvent crever dans le ruisseau. Notre seul devoir, c'est la solidarité française à laquelle j'ajouterai l'empathie européenne.
    Retrouvons le chemin salutaire de l'égoïsme national.

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  • Quand Charlie Hebdo défendait la pédophilie


    Comme une partie de la presse libertaire de l’époque, le journal satirique a soutenu, en 1977, trois pédocriminels, accusés d’avoir abusé de mineurs, avant d'être condamnés.

    « Matzneff et l’air du temps. » C’est le titre d’un article, publié ce mercredi dans Charlie Hebdo et rédigé par son rédacteur en chef Gérard Biard. « Un peu embarrassé que l’écrivain Gabriel Matzneff, pédophile notoire et revendiqué aujourd’hui au cœur de l’actualité pour un livre écrit non par lui mais par une de ses anciennes proies, ait eu durant des années son rond de serviette sur le plateau d’Apostrophes, Bernard Pivot se défausse sur l’air du temps », écrit le journaliste, qualifiant ses agissements de « crimes ». Et de poursuivre plus loin : « Le dandysme et l’entre-soi mondain qui […] fournissaient des signatures prestigieuses quand il publiait des lettres ouvertes demandant la libération de pédophiles emprisonnés, vont se nicher ailleurs. Il est vrai que cet air du temps-là est un peu fripé. »

    Embarrassé, l’hebdomadaire satirique devrait pourtant l’être aussi, qui a soutenu, avec une partie de la presse libertaire, la pédophilie dans ses pages, au cours des années 70 et 80. Car si Matzneff a largement bénéficié d’une mansuétude médiatique coupable, de gauche à droite, Charlie Hebdo est allé jusqu'à défendre les trois pédocriminels de « l’affaire de Versailles», au lendemain d’une pétition parue dans Le Monde et rédigée par… Matzneff lui-même. A l’époque, s’ouvre le procès de ces trois hommes, jugés pour « attentats à la pudeur sans violence sur mineurs de moins de 15 ans » et placés en détention préventive depuis trois ans. Le journal, dirigé alors par le professeur Choron, publie le 27 janvier 1977, un article, titré « Mœurs » et signé par Victoria Thérame, passée aussi par le quotidien communiste L’Humanité.

    En voici le texte : « Si vous aimez les petites filles et les petits garçons quand ils ont encore le cartable dans le dos, si vous les suivez dans la rue, si, eux, vous regardent, vous attendent à la station du bus, s'ils viennent s'asseoir juste en face de vous, s'ils frôlent vos genoux comme par mégarde mais ne s’excusent pas, si vous les retrouvez à la sortie de l'école, si vous leur parlez, s'ils viennent dans votre chambre, si vous découvrez les ciels de cuisses tendres et sans duvet, leur trouble et le vôtre, quand ils vous disent "tu" et êtes leur ami-confiance, leur ami-plénitude, si vous allez ensemble au bois, à la clairière, derrière les volets où la lumière filtre à point, si vous les photographiez pour prolonger la vie, pour la fixer, parce qu'elle est fugitive et trop courte et que vous êtes trop amoureux, allez défendre Bernard Dejager, Jean-Claude Gallien et Jean Burckardt, emprisonnés depuis trois ans, qui passent devant la cour d'Assises de Versailles les 27, 28 et 29 janvier à 13 h et risquent cinq à dix ans de réclusion criminelle pour amour à enfant. »

     
    Finalement, les prévenus seront condamnés à cinq ans de prison avec sursis (et donc libérés) pour leur crime, fait de masturbations et fellations réciproques, d’orgies et de sodomies sur des enfants de 12 et 13 ans. Quelques années plus tard, le futur patron du journal (1992-2009), Philippe Val, signera aussi avec son ami et chroniqueur à Charlie Hebdo, Patrick Font, avec qui il forme le « duo comique » Font et Val (1970-1995), une pétition réclamant, en 1982, la libération de Claude Sigala, impliqué dans l’affaire de pédophilie du Coral (il sera condamné à 30 mois de prison avec sursis en appel), qualifiée de « sinistre comédie », avec Copi, dessinateur pour Charlie, et d’autres militants pro-pédophilie, dont le philosophe Gilles Deleuze, le psychanalyste Félix Guattari et le journaliste de Libération Guy Hocquenghem, comme l’a relevé le youtubeur et « lanceur d’alerte », Jean-Christophe Rabiller.

    Enfin, en 1998, Patrick Font sera même condamné, à son tour, à six ans de prison ferme pour attouchements sur mineurs. Quant à son compère, Philippe Val, il prétendra n’avoir jamais été au courant de ses penchants. Pourtant, Eric Martin, ancien rédacteur en chef du magazine satirique Zoo (1997-2000), auquel ont collaboré des journalistes de Charlie Hebdo, déclarait dans une interview accordée aux éditions Hermaphrodite, en 2006 : « Dans Charlie, ils ont carrément passé une lettre de Patrick Font disant que Philippe Val n’était pas au courant, ça sentait pas le mec qui avait téléphoné pour lui dire : ‘Putain Patrick, je suis dans la merde, tu peux pas m’écrire une lettre pour me dédouaner ?’. En plus je ne vois même pas comment Val peut dire qu’il n’était pas au courant, parce qu’en 1991, quand on faisait Canicule, on avait déjà entendu des rumeurs sur les penchants de Patrick Font. Ce que je trouve dommage, c’est que dans le duo Font et Val, ce soit le plus drôle qui soit parti en tôle, j’aurais préféré que ce soit l’autre. »

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  • Magnifique prestation d’indifférence de Nicole Belloubet devant des avocats en colère

     
    Règle numéro 1 d’un bon ministre macronisé : savoir garder son sang-froid en toutes circonstances.
    Qu’il pleuve, qu’il vente, qu’il gèle à pierre fendre ou bien encore que la planète se réchauffe, le VRP du « en même temps » reste stoïque.

    Droit dans ses bottines, majestueux, quasi statufié.
    Venue au palais de justice de Caen présenter ses très bons vœux à la magistrature,  a fait la démonstration de cette imperturbabilité, qui fait l’admiration des artistes de rue gris métallisé figés durant des heures devant les passants des rues piétonnes.
    Alors que le ministre s’apprête à lancer son grand message d’espoir pour l’année qui s’annonce… une formule galvanisante du genre : « Cette année, les gars, c’est la bonne, nous étions jusqu’à présent dans un galop d’essai mais… 2020, ouh la la, on est remonté », voilà que les avocats réunis pour la circonstance se mettent à lancer leur robe au sol en signe de protestation contre la réforme des retraites.
    Nicole Belloubet semble n’avoir rien vu.
    Aucun signe extérieur de trouble, d’agacement ou de joie ne s’échappe du comportement du garde des Sceaux.
    D’autres robes surgissent du fond du groupe et c’est bientôt un monticule de tenues noires qui sépare le ministre des magistrats.
    Impassible, apparemment convaincue que tout se passe normalement, Nicole Belloubet débute sa présentation de vœux.
    Un petit détail la tracasse néanmoins : elle n’a pas de micro.
    Zut, alors ! Tout se passait si bien…
    Allez, tant pis, ne faisons pas attendre plus longtemps ces hommes et femmes de loi venus se repaître de bons vœux pour 2020.
    Et comme si de rien n’était, elle entame sa déclaration : « Je voudrais simplement dans un premier temps présenter mes vœux aux z’uns et aux z’autres, à l’ensemble de la communauté judiciaire (une de plus !) qu’il s’agisse évidemment des magistrats, de l’ensemble des personnes de greffe, etc. »
    Pas un mot sur le tas de robes qui gît à ses pieds.
    Après tout, nous sommes en période de soldes.
    Le noir s’est sans doute mal vendu, cette année.
    Après le discours, pourquoi ne pas fouiller pour trouver la bonne taille ?
    Les manches sont un peu larges mais, à ce prix-là, on ne va pas faire sa difficile.
    Saluons, ici, le tour de force de l’envoyée gouvernementale qui parvient à ignorer royalement le mécontentement de concitoyens placés à 3,50 mètres de sa personne.
    Un comportement dans la droite ligne de son mentor qui affiche une totale indifférence face aux divers mouvements de protestation.
    Fort de son règne assuré jusqu’en mai 2022, l’homme tient son détachement de cette assurance d’être réélu dans un fauteuil à l’échéance dite.
    Dans cette perspective,  estime sans doute qu’il faudrait être fou pour se préoccuper de ces jeteurs de robes et autres CGTistes, qui n’hésiteront pas une seconde à le préférer à tout autre candidat, le moment venu.
    De manière subliminale, Nicole Belloubet était porteuse de ce message auprès des magistrats.
    La force tranquille du fonctionnaire invirable.

    Jany Leroy

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