• Mounir a brûlé sa femme...

    Le musulman Mounir a brûlé sa femme : selon le Yéti, forcément un fou !

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    « Je suis totalement contre l’idée que l’on puisse juger les fous. C’est ce que l’on faisait au Moyen Âge. Les fous, il faut les soigner », selon le ministre de la Justice et garde des Sceaux Dupond-Moretti !

    Ainsi, ils pourront être éventuellement relâchés et pourront récidiver, sans aucune responsabilité des médecins qui les auront jugés « guéris » et moins dangereux pour la société.

    Ce sera, peut-être, le cas de l’assassin de Sarah Halimi, non jugé parce que sous l’influence de stupéfiants : qui lui auraient causé « une bouffée délirante » à l’instant de commettre son acte barbare.

    Cela aurait pu être le cas de l’assassin de Stéphanie Monfermé, la policière de Rambouillet, dont l’avocat de la défense aurait sans aucun doute évoqué « sa bouffée délirante » au moment de commettre son acte abominable, s’il n’avait pas été abattu par les policiers.

    N’est-ce pas le cas de Mounir Boutaa ? N’a-t-il pas agi à cause « d’une bouffée délirante, et peut-être après avoir consommé des stupéfiants, quand il a tiré à deux reprises sur son ex-conjointe, Chahinez, 31 ans, puis, alors qu’elle était blessée et allongée sur la voie publique, près de son domicile, à Mérignac (33), l’a arrosée d’un liquide inflammable et brûlée vive ?

    Déjà condamné, en juin dernier, à trois mois de prison « pour lui avoir écrasé le larynx », Chahinez avait de nouveau porté plainte le 15 mars dernier, après une nouvelle agression, mais Mounir était « introuvable ».

    Pourtant il n’avait pas le droit de s’approcher de son ex mais il était, semble-t-il, inutile de lui faire porter un bracelet électronique afin de le surveiller ! Alors qu’il était très défavorablement connu des services de police et de l’autorité judiciaire !

    Mounir a quitté les lieux à pied, avant d’être interpellé, vers 18 h 45, par la BAC, rue Léon Blum, à Pessac.

    Ce sera, peut-être, l’avis des psychiatres, tant son crime était horrible.

    Et que penseront, ces mêmes psychiatres, lorsqu’ils examineront le dealer qui a tiré et tué Éric, ce policier de 36 ans, marié et père de deux enfants, alors qu’il intervenait dans une affaire de stupéfiants, en plein cœur de la cité des papes, à Avignon (84) ?

    A-t-il été pris soudainement « d’une bouffée délirante » quand il a compris qu’il allait être appréhendé ? Sans doute était-il sous l’emprise de stupéfiants, ce qui atténuerait sa responsabilité dans ce meurtre ?

    Il a pris la fuite en trottinette, paraît-il selon certains témoignages, avec un complice.

    J’aimerais que l’on m’explique pourquoi il n’a pas été abattu par les collègues d’Éric, sans doute armés, avant qu’il ne s’enfuie ? Ont-ils hésité de peur qu’on ne les accuse d’une « bavure » ?

    Déjà les avocats de la défense (de ces assassins) espèrent que le jugement de la Cour de cassation fera jurisprudence, ainsi l’avocat de Ali R., qui avait poignardé à mort un enseignant, en décembre 2018, à La Défense, ne sera pas jugé « car irresponsable », comme bien d’autres !

    On n’a pas le droit de juger les « fous », soit, mais ces assassins ne sont pas tous des « fous », mais on a le droit de juger les policiers qui, eux, ne sont pas « fous » mais ont « peur », peur d’être abattus par des « fous » !

    La « légitime défense » n’est jamais évoquée pour ceux qui se défendent mais toujours plaidée pour les agresseurs, les voleurs, quand ils sont « neutralisés » !

    Mais l’Union syndicale des magistrats estime « qu’il n’y a aucun intérêt de dénoncer le dysfonctionnement de la justice. Dont acte !

    Mais soyons rassuré car, tout de même, des mesures importantes sont prises par le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin : il a expulsé l’individu qui a poussé une femme dans les escaliers du métro « Celui qui a commis cet acte abominable n’a pas sa place en France ». 

    Il serait, paraît-il, de nationalité espagnole et c’est vers l’Espagne qu’il a été expulsé.

    J’aimerais bien connaître son identité car il avait une drôle de tête d’Espagnol, cet Espagnol !

    En revanche, les quelques milliers qui ont commis des actes bien moins graves, comme des agressions, des vols, des viols et même des meurtres, ces récidivistes, eux, ont le droit de rester sur notre sol… ils ne sont pas « Espagnols » !

    Manuel Gomez


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