• Arrêter de vivre entre blancs privilégiés

    12 choses que les gauchistes devraient arrêter de faire pour être en accord avec leurs idées

    Notre époque baigne dans un niveau d’hypocrisie jamais atteint auparavant. Les réseaux sociaux permettent de passer pour quelqu’un de bien sans débourser un centime : une simple phrase, une démonstration vertueuse, un petit mot d’amour du prochain, un petit clic engagé sur le bouton « partager » et on se sent bien.

    Mais ceci a exacerbé un fléau qui touchait déjà largement notre société : l’explosion du nombre de gauchistes croyants non pratiquants.

    1- Ne plus jamais dire que vous n’êtes pas racistes

    Dire que vous n’êtes pas raciste, c’est déjà du racisme. Point. Tous vos amis peuvent être noirs, arabes, asiatiques… vous serez toujours un raciste. Tel le spéciste qui ose manger des pauvres vaches alors qu’il est ami avec son chat et qu’il refuse de manger son chien, les plus gros racistes de tous les temps ont toujours des amis d’autres couleurs.

    2- Cesser de prendre l’avion

    Les voyages en avion sont extrêmement polluants. Or vous vous préoccupez de la planète, si vous avez le cœur à gauche, contrairement aux inhumains de droite. Alors oubliez Bombay, Bali et Machu Pichu. Ou alors allez-y écologiquement, c’est-à-dire en voile et à la rame.

    3- Arrêter immédiatement toute appropriation culturelle

    Les dreadlocks des nobles rastafari dans vos cheveux de sale blanc privilégié génétiquement ? Pas le droit. Les masques africains accrochés sur le mur blanc ? Encore moins ! Cette tendance gauchiste renvoie à l’époque coloniale et rappellera à n’importe quel ex-colonisé le pillage des sages Africains par les hordes de blancs arriérés et violents venus les faire régresser jusqu’à l’ère moderne, les antibiotiques, l’électricité et l’eau courante.

    4- Arrêter de vivre entre blancs privilégiés

    Tous ces tartufes, dans leurs beaux quartiers de blancs favorisés, prônant le vivre ensemble derrière un mur de caméras, de grillages et de digicode… Le beauf le plus raciste est plus ouvert à l’étranger qu’un blanc gauchiste. Factuellement.

    Il est insupportable que les gauchistes passent leur temps à se plaindre de la domination blanche et de la consanguinité, alors qu’il n’y a pas plus blanc et consanguin que leurs milieux. Leurs femmes finissent toutes avec un blanc de leur milieu, si bien que dans 20 générations, ils seront toujours 100% blancs et 100% antiracistes croyants non-pratiquants.

    Libération, le journal blanc de la République. Beaucoup de gauchistes croyants, très peu de pratiquants. Leur poing en l’air fait davantage penser à « White Power » qu’à Black Panther…

    5- Se métisser réellement, pas juste le conseiller aux autres

    Attention, on ne parle pas des ignobles blancs afrofétichistes qui harcèlent les jeunes Africaines de bonne famille sur internet. Non, il s’agit de se métisser dans le bon sens, celui que la publicité et les livres scolaires nous apprennent : une femme blanche et un homme racisé. Pourquoi ? Il faut vraiment être un blanc oppresseur pour se poser la question. Parce que monopoliser le ventre d’une femme racisée, c’est de l’oppression blantriarcale, pardi !

    Vous avez des sœurs et des filles, pourquoi ne pas leur présenter Mamadou et Ibrahim ? Vous n’avez aucune excuse : il suffit de faire 15 minutes de métro, et vous voilà à Saint Denis. Ne nous dites pas que dans cette ville aux x mosquées et aux x nationalités, vous ne trouverez pas votre prince des Mille et une Nuits ou le guerrier ébène qui comblera votre sœur.

    En cas de séparation, vous ne créerez aucun mal. Ils pourront faire des enfants à des femmes de leur communauté, vous ne les encombrerez pas avec votre demi-blanc élevé par votre insolente éducation de blanc privilégié. Si vous aimez les racisés, aimez-les libres : laissez leurs femmes tranquilles, il y a des solutions plus humaines pour se métisser. Les banques de sperme et l’insémination artificielle, par exemple.

    6- Mieux : ne pas faire d’enfant et adopter

    Il y a des millions d’enfants mal aimés dans le monde, et vous osez vouloir en faire davantage ? Adoptez. Si vous êtes enceinte, avortez. Avortez et adoptez. Mais ne vous reproduisez pas du tout, c’est beaucoup plus conscient et engagé d’élever les enfants d’un autre. Ça c’est de l’altruisme, du vrai. De l’abnégation de gauche cohérente avec toutes les idées qu’on nous a enseignées. On est trop nombreux sur la planète. Ne cherchez pas à savoir qui est trop nombreux sur la planète : commencez par ne plus avoir d’enfants. Genre plus du tout. Et adoptez. L’amour n’a rien à voir avec le sang et tout le tralala. Et puis comme les gènes ne veulent rien dire et qu’un Ougandais au hasard est plus proche de vous que votre propre frère.

    7- Accueillir au moins un migrant chez soi

    Nous sommes presque 8 milliards d’individus, et les seules ressources sont toujours détenues par quelques millions de blancs retranchés dans leurs pays. Au nom de QUOI vous pouvez refuser à l’Autre de venir chez vous ? Quelle ségrégation, quelle infâme ghettoïsation du monde favoriseriez-vous en restant les bras croisés, vous, gens de bien, face à l’infamie des frontières de l’Europe ?

    N’oubliez pas que 6 millions de petits Africains sont morts en Méditerranée et gisent dans les fosses marines de cet océan d’eau glacée déchiré par les tempêtes, les tourbillons et les monstres marins. Ils sont morts parce que des blancs comme vous ferment leur porte au lieu d’inviter un réfugié à vous rendre visite, prendre l’avion et acquérir la nationalité française grâce à vous. Tous citoyens du monde, mais tous avec des papiers français surtout !

    8- Refusez le repli sur soi et laissez votre porte ouverte

    Militer pour l’ouverture des frontières n’a aucun sens si c’est pour que le citoyen du monde se retrouve nez à nez avec votre porte. Pourquoi fermez-vous votre porte ? De quoi avez-vous peur ? De l’autre ? Si les frontières ne protègent d’aucun mal, pourquoi cette porte est-elle fermée à clef ? Dans les villages africains, point de serrure. Le réfugié africain prend donc pour une insulte votre porte impudemment verrouillée par un tour de clé suspicieux. Avez-vous chez vous des choses que vous ne voulez pas partager ? Ce n’est pas une posture de droite, ça ?

    Partage bien ordonné commence par soi-même. Était-ce Jacques Prévert ou Jean-Luc Mélenchon qui disait que le contenu d’une cacahuète est suffisant pour être partagée à deux ?

    9- Ne plus appeler la police. Jamais.

    Lorsque vous avez un contentieux, tout peut se régler avec des mots. La violence est inutile. Dans ce cas, pourquoi appelez-vous la police ? La police est armée, et les armes c’est le mal, ça ne peut faire que dégénérer une situation. Donc pourquoi vous appelez la police, si vous êtes un gauchiste convaincu ? Cette attitude égoïste et blanche privilégiée vous fait oublier les luttes de nos anciens. A chaque fois que vous recourrez à la police, vous piétinez les corps sans vie des nombreux étudiants de Mai 68, massacrés par la police, expirant dans un dernier cri de liberté : « CRS = SS… »

    10- Mettre la main à la poche quand il s’agit de faire de véritables excuses au monde

    Il y a beaucoup trop de gauchistes croyants non pratiquants parmi les classes les plus riches du peuple. Les excuses au nom de tous les blancs, c’est gentil, mais l’Africain et l’Arabe préféreraient recevoir des excuses matérielles de la part des blancs de gauche.

    11- N’embaucher que des racisés dans vos entreprises

    Les blancs sont en effet déjà suffisamment favorisés sur le marché du travail, alors que comme les différences de QI, tout ceci n’a aucun fondement. Les entreprises, occupées à ne générer que du profit, préfèrent subitement payer plus cher un mauvais blanc plutôt qu’un racisé efficace. Essayez d’améliorer le Monde en n’embauchant que des racisés ! L’égalité, la vraie, celle de gauche, ça passe par le rejet de la préférence raciale et sociale, et aussi par la

    12- Appeler un facho un facho

    Une fois que vous avez changé de vie en appliquant tous les points ci-dessus, le travail n’est pas terminé. Il faut faire circuler ces idées en appelant un chat un chat : vos amis gauchistes qui n’appliquent pas les points évoqués sont des fachos. Traitez-les comme tels s’ils ne changent pas drastiquement leur façon de vivre grâce à cet article.

    Yann Merkado

    Source : http://suavelos.eu


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