• Veaux, vaches, cochons, couvée… nouveaux martyrs de la bêtise humaine ?



    Plagiant ce brave La Fontaine, fin limier de la bêtise humaine, on pourrait écrire :
    « Un mal qui répand la terreur,
    Mal que le Ciel en sa fureur
    Inventa pour punir les crimes de la terre
    L’Écologie (puisqu’il faut l’appeler par son nom)
    Capable d’enrichir en un jour l’Achéron,
    Faisait aux animaux la guerre. »

    Comme de la peste sa cousine,
    « Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés. »

    Comment ? Quoi ? Que dit-elle encore, cette illuminée ? 
    Elle dit la vérité. 
    À savoir que de pseudo-écolos, choisissant la campagne pour y passer qui des vacances, qui une retraite heureuse, n’en supportent pas la nature naturelle et livrent une guerre sans merci aux animaux qui n’en peuvent mais.
    La liste est longue et de plus en plus sidérante de ces affaires qui encombrent la Justice. 
    Ces prétendus amoureux de la nature la voudraient en papier glacé ; pardon, en selfie : moi devant un champ de pâquerettes, moi dans une cour de ferme bien ripolinée, moi devant une meule de foin… Un joli décor, rien de plus. 
    Pas la vie, juste la représentation proprette que les crétins s’en font.
    Se multiplient donc les démarches pour interdire ici le chant du coq, là le coassement des grenouilles, à côté les abeilles dont les déjections ont souillé un salon de jardin ; en Provence ou dans le Sud-Ouest, on prétend faire taire les cigales à grand renfort d’insecticide, ailleurs, c’est le bruit du tracteur qui dérange le vacancier dans sa grasse matinée, quand celui-ci ne réclame pas carrément qu’on reporte la moisson pour cause de nuisance sonore. 
    On ne compte plus les grincheux qui demandent l’arrêt des cloches, quand bien même ils ont posé leurs valises dans l’annexe du presbytère, et ceux qui voudraient que les vaches ne meuglent point et que les ânes ravalassent leurs braiements…
    Pour couper court à ces requêtes et procédures délirantes qui, hélas, se multiplient, le maire de la commune de Gajac, en Gironde, avait adressé en mai dernier une lettre aux parlementaires français pour que « les bruits ruraux » soient inscrits au patrimoine national.
    Face aux grincheux incultes, le maire qui porte le joli nom de Bruno Dionis du Séjour, patronyme paradisiaque s’il en est, pointait alors « l’égocentrisme de ses nouveaux concitoyens, d’origine urbaine la plupart du temps, et découvrant la campagne comme le sot découvre que les œufs ne se cueillent pas dans les arbres ».
    Eh oui, la vie, c’est bruyant. 
    Au début était le Verbe, dit la Genèse ; l’univers est né dans une onde sonore, good vibration… 
    Les abrutis des générations X, Y, Z croient qu’elle se maîtrise derrière un écran : onoffreset
    Se référant à l’article 11 de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, M. Dionis du Séjour souligne qu’« il appartient à chaque État partie de prendre les mesures nécessaires pour assurer la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel présent sur son territoire ».
    Il a été entendu. 
    Le député de Lozère (UDI) Pierre Morel-À-L’Huissier vient d’annoncer qu’il entendait déposer une proposition de loi dans ce sens sous forme de résolution dans les jours qui viennent.

    Alors, chers amis lecteurs, je le clame haut et fort : soutenons ces défenseurs du patrimoine rural dans leur démarche !

    Faisons la chasse aux crétins plutôt qu’aux cigales. 

    Que les veaux, vaches, cochons, couvée puissent à leur aise meugler, bêler, grouiner, couiner, vrombir, glapir, grisoller, braire, cancaner, piauler, hululer ou hennir en toute quiétude, c’est tout ce qu’on leur souhaite. 

    Marie Delarue

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  • « À Nantes, en 2019, la police blesse et tue des personnes qui dansent »

    Qui a tué Steve ? Nous relayons ce communiqué de Nantes Révoltée : « Ces gens, du bas en haut de la chaîne de commandement, sont responsables. Ils portent aussi la responsabilité de la mort de deux autres nantais, Aboubakar et Abou ! L'institution judiciaire, et l'impunité qu'elle organise, est, elle aussi largement responsable de la disparition de Steve. »

    Crédit photo et source du communiqué : Nantes Révoltée

    QUI A TUÉ STEVE ?

    « Il ne peut être établi de lien entre l’intervention des forces de police et la disparition de Steve Maia Caniço », Édouard Philippe, Premier Ministre, 30 juillet.

    Le corps de Steve reposait depuis 38 jours dans le lit de la Loire, à quelques mètres seulement de la terrible charge policière du 21 juin. Juste en contrebas de la grande grue jaune, des jeux d’enfants et des attractions touristiques de l’île de Nantes. C’est un bateau navette de transport en commun qui l’a retrouvé. Ce sont les Nantais qui l’on retrouvé. Pas les autorités, qui étaient chargées de le faire depuis des semaines.

    A Nantes, en 2019, la police blesse et tue des personnes qui dansent, le soir de la fête de la musique. Le pouvoir est en guerre contre la jeunesse. Contre la fête. Contre la joie. Contre la lutte. Contre la vie même.

    Aujourd’hui, on ne peut que s’incliner face à l’immense douleur de la famille et des amis du défunt, et espérer qu’ils puissent trouver des réponses.

    Ce mardi 30 juillet, à 16H20, le premier ministre Edouard Philippe intervient sur les écrans. Toute honte bue, dans une intervention laconique, sur un ton monocorde, il assène : « Il ne peut être établi de lien entre l’intervention des forces de police et la disparition de Steve Maia Caniço ». Un nouveau mensonge d’État. Un crachat au visage des proches du défunt. Un mensonge auquel personne ne croit, pas même le gouvernement.

    Qu’est-ce qui aurait pu pousser un jeune de 24 ans à se jeter dans l’eau noire et glacée d’un fleuve dangereux, au moment d’une charge policière, alors qu’il ne sait pas nager ? Quoi, sinon l’attaque de la police ?

    C’est la question qui se pose à présent : qui a tué Steve ? Les responsabilités sont multiples.

    - La BAC de Nantes et la Compagnie Départementale d’Intervention. Ces agents ont tiré, tabassé, gazé, insulté les jeunes qui dansaient. Provoquant des chutes dans la Loire. Comme dans un état second, grisés par leur violence, ils ont continué à tirer alors même que plusieurs personnes leur hurlaient « il y a des gens dans la Loire ». A aucun moment ils n’ont été en danger. Une fois leur forfait commis, ils sont repartis. Laissant derrière eux une foule en état de choc. Des blessés, et un mort.

    - Grégoire Chassaing, commissaire notoirement connu pour la répression féroce qu’il mène à Nantes, et son engagement à l’extrême droite. Il a donné l’ordre de charger. Juste après qu’un DJ ait commis le crime de passer une ultime chanson, hostile au Front National.

    - Claude d’Harcourt, préfet de Nantes, en poste depuis moins d’un an. Il a réprimé les manifestations avec une violence inouïe, et a insulté les jeunes danseurs du quai Wilson dès le lendemain de la disparition de Steve, dans les médias.

    - Christophe Castaner, ministre de l’intérieur, qui a les mains couvertes de sang. Du sang de la jeunesse, du sang des Gilets Jaunes, du sang des habitants des quartiers. C’est lui qui donne, depuis des mois, carte blanche et impunité totale à une police ultra-violente.

    - Le pouvoir en place, qui ne se maintient plus que par la force brute d’une police surarmée.

    Ces gens, du bas en haut de la chaîne de commandement, sont responsables. Ils portent aussi la responsabilité de la mort de deux autres nantais, Aboubakar et Abou, tués il y a quelques mois seulement dans la seule ville de Nantes ! L’institution judiciaire, et l’impunité qu’elle organise, est, elle aussi largement responsable de la disparition de Steve.

    Justice !


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  • Chronopost exploite des sans-papiers : nouvelle manifestation pour la régularisation !

    En grève depuis le 11 juin dernier, les travailleurs sans-papiers de Chronopost d’Alfortville manifestaient ce jeudi devant le siège de la Banque Postale, direction symbolique du groupe La Poste, pour exiger leur régularisation et protester contre la filiale qui profite de leur situation pour en faire une main d’œuvre à bas coût et corvéable à merci.

    Crédits photos : LP/Marion Ducrocq pour Le Parisien

    Voilà près de deux mois que les travailleurs sans-papiers de Chronopost d’Alfortville sont en grève afin d’exiger leur régularisation et protester contre leurs conditions de travail. Une quarantaine de jeunes travailleurs immigrés campent devant l’agence.

    Ces derniers ont manifesté jeudi 1er août devant le siège de la Banque Postale à Paris, l’un des hauts lieux de direction du groupe La Poste, à l’appel du collectif de travailleurs sans-papiers de Vitry, et de plusieurs organisations syndicales dont la CGT, SudPTT et Solidaires.

    Chronopost profite de leur situation d’irrégularité

    Et pour cause, ceux-ci dénoncent l’attitude de la direction du groupe et de sa filiale Chronopost, qui profitent de leur situation d’irrégularité pour imposer des conditions de travail précaires : des cadences très rapides, le port de colis de plusieurs kilos, le travail de nuit, etc. pour des salaires atteignant rarement les 700 euros par mois. Ainsi, Amadou Fofana, porte-parole des grévistes, expliquait au micro de Radio Parleur « ceux qui ont leurs papiers, ils refusent de le faire parce que c’est trop dur. Voilà pourquoi ils ne nous régularisent pas. »

    Ce sont les agences d’intérim qui envoient ces travailleurs vers Chronopost, cette dernière tente par la suite de ne pas leur faire cumuler trop d’heures de travail ou de les garder trop longtemps afin de complexifier leur demande de régularisation. Selon Jean-Louis Marziani, responsable départemental de Solidaires Val-de-Marne « Il y a quelque chose qui s’appelle la circulaire Valls qui permet de demander la régularisation. Chronopost fait donc tourner les employés, pour pas qu’il y ait de cumul  ».

    Les travailleurs avaient déjà mené de nombreuses actions au cours de l’été, notamment devant le siège de Chronopost avec le soutien de nombreux élus, militants politiques et syndicaux, devant la direction régionale des entreprises, liée au ministère du Travail à Créteil, et qui avait refusé de les recevoir, ainsi que la direction de La Poste. La préfecture du Val-de-Marne avait également refusé de les recevoir.

    A la suite du rassemblement de jeudi, la direction de la Banque Postale demeure sourde aux revendications des grévistes. Mais les grévistes ainsi que leurs soutiens se disent déterminés à continuer. Un rassemblement contre les violences policières et pour la régularisation des sans-papiers est à ce titre prévu samedi à Montreuil.

    La répression systématique des migrants, crédo du patronat et de l’Etat français

    La situation des travailleurs sans-papiers de Chronopost est représentative du traitement mené par le patronat et l’Etat français à l’égard des migrants. Alors que la France, troisième exportatrice d’armes au monde, continue de mener des guerres au Moyen-Orient et en Afrique et d’en piller les ressources, tout en réprimant les migrants sur son propre sol, à l’image de la répression inouïe menée à l’encontre des réfugiés qui avaient occupé le Panthéon au début du mois de juillet pour exiger leur régularisation, celle-ci profite de la situation des travailleurs pour leur imposer des conditions d’exploitation. En effet, la plupart des travailleurs sans-papiers se retrouvent dans des secteurs très précaires comme le nettoyage, le BTP, l’agriculture, à travailler pour des salaires de misère.

    A cela s’ajoute le harcèlement policier, ainsi que l’expulsion systématique des migrants, comme c’est le cas actuellement à Bordeaux où la préfète A. Buccio, en poste auparavant à Calais, mène une politique d’expulsion des squats et menace près de deux mille personnes de se retrouver à la rue, en majorité de personnes réfugiées dont des familles avec enfants.

    Il est plus que jamais nécessaire de dénoncer la politique raciste et impérialiste de l’Etat français, d’exiger la régularisation de toutes et tous les travailleurs sans-papiers, des conditions de travail et un logement digne, ainsi que la liberté de circulation et d’installation !

     


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  • Par Pieds Noirs 9A..

    La France pas encore islamo-musulmane,mais ça vient !...

    Rappelez-vous le coup d’envoi de ce fameux match "Algérie-Nigéria"  faut voir… Pour un jour de fête nationale le (14 juillet ) voilà qui tombe assez mal, y a pas à tortiller! Au risque de me faire plein de petits ennemis vachement dangereux, ses anti-France susceptibles de venir en hordes sauvages détruire et massacrer des gens poliment installer ,exemple un mort vers Rouen lui faire la peau tout simplement ,et ce n'est que le début de leurs conquêtes...

    Seulement voilà, la majorité des algériens ,dont a chaque manifestation ça déclenche la pagaille , lesquels se terminent systématiquement par d’épouvantables saccages,cette plaisanterie dure maintenant depuis un demi siècle et nos gouvernants ne réagissent pas a ses attaques de provocation pour dominer un territoire  possèdent deux nationalités et qu'ils ne seront jamais Français ils vous combattrons , pas la peine de préciser plus que ça ! Or en ce beau jour,nos fêtes n'est pas du tout leur truc ,et qu'une idée en tête détruire lepays et foute dehors les chrétiens.

    Alors, si en plus d’un Quatorze Juillet propre à faire à cette catégorie de concitoyens l’effet de la muleta sur le pauvre taureau, vous ajoutez une victoire footeuse de nature à conduire le pays du regretté Bouteflika en finale de la Coupe d’Afrique, là, pour le coup, vous plantez la banderille! Le fauve alors bondit, fonce en avant et détruit tout sur son passage, lequel emprunte toujours nos centres-villes avec une dilection affirmée pour les Champs-Élysées, centre de gravité emblématique de l’impie Réputé Franchouille, Allahou Akbar!. Brandir fièrement le drapeau du du FLN sur les Champs, équivaut à cracher à la gueule de ces saloperies de Kouffar,  pourquoi s’en priver, pas vrai, surtout si en même temps ce n'est pas interdit par Macron et ses ministres, comme le Castaner, le pistachier de l’Intérieur, et surtout si c’est le 14 Juillet!, foutre le feu à quelques bagnoles dans leurs banlieues de non droit. Mais là on reste dans le quotidien, la banalité, les affaires courantes. Quand on se prend a son propre peuple le premier ministre et Castaner ne la ramène pas, même chez ces gens là cela demeure la règle…alors que c'est plus facile de matraquer son propre peuple Français de France comme les Gilets jaunes par-exemple...

    Sur tous les plateaux de télé, devant tous les micros des radios hexagonales, on invite, bien sûr, des représentants du R.N., ex FN de sinistre mémoire, le moyen de faire autrement, hein? Ils existent ces cochons-là, si malheureux que cela puisse être, ils enregistrent  des résultats électoraux à faire baver d’envie tous les Gauchiste pro Islam de la politicards de chez nous! Alors pas moyen de faire autrement, on les invite. Et ces infects tiennent désormais des discours empreints de calme et de modération, les duretés du PAF (non, pas celui-là, c’est hélas une autre paire de…manches) leur ont enseigné irréprochablement et ils l’ont apprise à merveille, les jeunes surtout. Par suite, ils disent calmement des choses qui sont tellement la vérité que tous les autres leur tombent sur le paletot en les traitant de fieffés menteurs....

    Enfin, on ne peut pas la laisser passer, la vérité, quand elle dit des trucs contre l’immigration, les immigrés, les voyous des quartiers, les Gilets Noirs qui envahissent le Panthéon et chient partout, les réfugiés Syriens qui violent et qui tuent des jeune filles et femmes , tout ça pour se montrer au dessus de nous ,le petit blanc !, le puant qui la sort (oui le Facho)on lui fait fermer sa sale gueule, fissa, à grands coups de « vous mentez », sans plus, ça suffit, quand vous avez quatre ou cinq contradicteurs qui vous hurlent dessus des affirmations de ce calibre, vous n’avez plus qu’à vous écraser, ce n’est pas vous qu’on croira ,car dans l'enseignement les profs comme ils sont la majorité gaucho enseigne la fausse vérité a leurs élèves ,comme pour l'histoire de l'Algérie Française fut détourner pour mieux trahir leur propre pays et surtout nos enfants et petit enfants à venir ... 

    Je le répète encore une fois, on est vraiment mal barré ! La France va subir son destin ... 

    Pieds Noirs 9A..

     


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  • La production d'automobiles en France s’apprête à s’effondrer en 2020

     
     
    Après quelques années d’éclaircie, l’industrie automobile française va connaître une brutale chute de 22% en 2020, selon Les Échos. Une conséquence directe des décisions de PSA-Renault de délocaliser la production de certains modèles, comme les Peugeot 208 et 2008.

    Selon les données compilées par le cabinet IHS pour le journal Les Échos, la France fabriquera seulement 1,7 million de véhicules en 2020 contre 2,21 millions en 2019. Ce sera plus de deux fois moins que le record historique de 2004, où les usines françaises avaient produit 3,66 millions d’exemplaires. 

    Cette baisse subite de près de 22 % entre 2019 et 2020 est due au fait que PSA-Renault a décidé de délocaliser la production de certains modèles. Ainsi, le groupe PSA va transférer la production de son modèle Peugeot 2008 vers Vigo en Espagne, aux dépens du site PSA de Mulhouse (Haut-Rhin), ce qui constitue 146.220 unités qui ne seront pas produites en France en 2020. Quant à la Peugeot 208, la fabrication de sa nouvelle version (98.151 véhicules) sera transférée dans la nouvelle usine de Kenitra au Maroc. Sans oublier que la Renault Clio (41.339 unités), actuellement assemblée par la Turquie, sera également en partie produite en Slovénie.
    Situation contrastée pour des marques étrangères en France 

    L’usine Smart, située en Moselle, va se convertir à la fabrication de véhicules électriques, ce qui entraînera une perte sèche dans le volume global des usines françaises, lequel atteindrait 37.000 véhicules l’an prochain, soit un tiers de son volume annuel, ajoute le cabinet. En revanche, le japonais Toyota, qui produit sa Yaris à Onnaing (Nord), va augmenter sa capacité de production de 50.000 véhicules par an, pour pouvoir sortir 300.000 voitures chaque année. 

    Cependant, le cabinet IHS voit plus là une turbulence qu’une baisse durable. En effet, si la production doit sombrer pour arriver à 1,7 million d’unités en 2020, grâce aux constructeurs étrangers elle remontera pour se stabiliser autour des deux millions de véhicules fabriqués par an.

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