• Messaoudene: pourquoi nous empêcherait on de transformer la France en pays musulman?

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    Pour tous ceux qui ont de la complaisance vis à vis de la marche de dimanche, et tous ceux qui l'ont soutenue, petit florilège des propos tenus par les organisateurs.
     Majid Messaoudene, élu de Saint Denis, avait fait des plaisanteries douteuses lors de l'affaire Merah, et affirmé à plusieurs reprises que rien ne peut empêcher la volonté de transformer la France en terre d'Islam.
    Yassine Bellattar a lui suggéré à un ministre, Blanquer, de ne plus aller dans le 93 pour avoir dit que le voile n'était pas souhaitable.
    Le 93 est donc l'un des premiers territoires conquis par l'Islam en France, dixit Benattar, et la liberté d'expression n'y a plus cours, apparemment.
    Ne parlons même pas de ces imams qui affirment que la femme est l'objet de son mari, et que la musique est oeuvre de Satan.
    Messieurs Melenchon, Coquerel, Corbiere, mesdames Benbassa, Autain, qui sans le vote musulman ne prendraient que des gamelles électorales, sont des islamo-collabos prêts à vendre la France à l'Islam, contre un strapontin à l'Assemblée.

     
    Que les gens de gauche sincères, qui ont voté pour eux jusqu'ici, en soient désormais pleinement conscients.

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  • Ils n’ont pas honte ?

     
    Visiblement, non.
     
    Il ne demandait pas grand-chose : une minute. Une petite minute.
    Une minute de silence à la mémoire des victimes du Bataclan.
    130 morts, 450 blessés. Quatre ans après.
    Mais on le lui a refusé.
    « Il », c’est Jérôme Rivière, président de la délégation française du groupe Identité et Démocratie au Parlement européen.
    « On », c’est David Sassoli, le président du Parlement européen, issu du Parti démocrate italien, celui de Matteo Renzi.
    Sans doute parce qu’« ils » ont décidé de « mettre en quarantaine » les députés « populistes ».
    Mais lorsque l’on lit l’interview du président Sassoli donnée à Euronews le jour même, on comprend encore mieux ce refus.
    Résumé.
    La journaliste qui l’interroge sur « la distance entre les institutions européennes et les citoyens » qui fut « l’un des principaux thèmes abordés par les eurosceptiques… » se voit répondre par Sassoli : « Lors de la campagne électorale pour les élections européennes, ils ont déclaré qu’ils allaient détruire l’Europe… » Carrément.
    Nouvelle question de la journaliste : « Le Parlement européen a décidé de mettre en quarantaine les eurodéputés d’extrême droite. Pensez-vous qu’isoler une partie du Parlement, qui a été élue par des citoyens, est une mesure raisonnable ? »
    Réponse du président : « Ce n’est pas un acte d’abus, c’est simplement de la démocratie. »
    On se pince.
    Ce grand démocrate se pince le nez et, donc, « les partis pro-européens ont décidé que les nationalistes devaient être tenus à distance. Parce que le nationalisme est un virus… »
    Inutile d’aller plus loin dans la lecture de cette interview.
    Tout est dit. Tenons à distance les députés « nationalistes » porteurs de virus et, par voie de conséquence, les millions d’électeurs qui ont voté pour eux.
    Et demain, si un député « populiste » déclare qu’il fait jour à minuit et nuit à midi, on balaiera par le mépris cette déclaration.
    De même, si ce même député pointe du doigt le danger du terrorisme islamiste qui menace notre continent…
    Du coup, on comprend mieux alors le refus de cette minute de silence.
    On le comprend d’autant plus lorsqu’on intègre le fait que ceux qui sont aux commandes de l’Union européenne (Parlement, Commission) ne semblent, au fond, pas avoir pour souci principal la protection des citoyens de cette Union.
    La polémique sur l’intitulé du « portefeuille » en charge de l’immigration à la Commission est sur ce point révélatrice.
    La présidente de la Commission, l’Allemande von der Leyen, voulait lui coller l’étiquette « Protection du mode de vie européen ».
    Passons sur l’expression « mode de vie ».
    « Culture », « civilisation », cela faisait sans doute trop typé.
    Le président sortant, son petit camarade du PPE, le Luxembourgeois Juncker, avait alors déclaré : « Je n’aime pas l’idée que le mode de vie européen s’oppose à la migration. Accepter ceux qui viennent de loin fait partie du mode de vie européen. »
    On parlera désormais non pas de « protection » mais de « promotion ».
    Donc, va pour la promotion des migrations.
    Cela dit, c’est dans la lignée du pacte de Marrakech.
    D’ailleurs, ils s’y connaissent, en promotion, vu qu’ils raisonnent en parts de marché.
    Une Europe qui protège, qu’ils disaient.
    Qui protège contre quoi, contre qui ?
    Si on bannit le mot « protection », on écarte du coup le risque, le danger potentiel, c’est logique.
    Notons que le Parlement européen marqua une minute de silence en hommage aux migrants victimes d’un naufrage au large de Lampedusa en 2015, à la mémoire des victimes d’Utrecht, de Christchurch, du cyclone Ida et des déportations de 1949 dans les États baltes occupés par l’URSS, tout cela dans la même minute, en mars dernier.
    Ou encore lors du décès de Jacques Chirac. Tout cela est juste et bon. Certes.

    Et le Bataclan ? Non. Ils n’ont pas honte ? Visiblement, non.

    Georges Michel

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  • Annecy : Un gros incendie en cours au sein de la mairie

    FEU Depuis le début d’après-midi, de nombreux pompiers sont mobilisés à Annecy pour venir à bout des flammes qui ravagent une partie de l’hôtel de ville 

    La mairie d'Annecy est en flammes, le 14 novembre 2019.

    A suivre sur https://www.20minutes.fr/societe/2651539-20191114-annecy-gros-incendie-cours-sein-mairie


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  • Le face à face : polémiques autour de la marche contre l'islamophobie à Paris


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  • Les funérailles de Jean-Luc Mélenchon


    Faut reconnaître que Mélenchon a eu un bel enterrement. Quasiment des funérailles nationales. Pas comme celles de Mitterrand qu’il admirait tant, mais pas loin. Il est vrai qu’on en avait peut-être fait un peu trop, pour le Président charentais. André Santini, à l’époque, avait même trouvé qu’on n’en avait pas fait autant pour Giscard ! Certes, entre la Bastille et la Nation, cela aurait eu plus de gueule – de sens, on sait pas, mais de gueule, c’est sûr. Le convoi funéraire avait quand même pour destination finale Nation, c’est déjà ça. Pas mal, comme endroit, pour se faire enterrer de son vivant.

    Du monde ? Pas mal. On dit autour de 13.500 personnes. Ça ne serait pas entré dans Notre-Dame ou Saint-Sulpice, mais vu que Jean-Luc est un laïque de stricte observance, pas de regrets à avoir, du coup. À part les regrets éternels, évidemment. Et l’ambiance, pas trop lourde, l’ambiance ? Pas du tout. Un enterrement comme on aimerait en avoir un : pas compassé pour un sou, bon enfant, convivial, j’allais dire primesautier. On chantait, on tapait dans les mains, on rigolait. Pour paraphraser le délicieux Ludwig von Apfelstrudel, si, place de la Nation, ça n’a pas fini en farandole en chantant des tyroliennes (c’était pas trop le genre), faut reconnaître qu’on n’a pas dû regretter son après-midi. Clémentine n’avait même pas mis le voile noir qui sied pourtant si bien au chœur des pleureuses en ces tristes circonstances. Mais cela faisait ressortir d’autant la belle chevelure blonde d’Autain.

    Et sinon, la gauche avait envoyé des délégations pour tenir les cordons du poêle et signer les registres à la fin des obsèques ? La gauche, c’est-à-dire ? Le Parti socialiste, par exemple. Euh, non. Personne. Faut dire, déjà, qu’ils ne sont plus très nombreux : entre les morts, les morts-vivants et ceux qui ont refait leur vie chez Macron. Certes, « mort, même l’ennemi a droit au respect », disait récemment Jean-Marie Le Pen à propos de Jacques Chirac, mais ils avaient peut-être bien compris qu’assister à l’enterrement de Mélenchon entouré d’une telle pompe funèbre, c’eût été finir de s’enterrer eux-mêmes. Cette lucidité des derniers instants !

    Georges Michel

    Source : http://bvoltaire.fr


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