• Paris : Fathia R. manque de percuter deux jeunes filles, le ton monte, elle les poignarde et la foule tente de la lyncher !

    Les faits se sont déroulés rue du Colisée lundi dans le 8ème arrondissement de Paris.

    Une femme, âgée de 41 ans, se trouvait au volant de sa voiture lorsqu’elle a failli renverser deux jeunes filles qui marchaient sur la chaussée. Une violente altercation a alors éclaté.

    Folle de rage, la conductrice est sortie de son véhicule avec un couteau à la main et a poignardé les deux jeunes femmes.

    La première, très sérieusement atteinte au thorax, a été prise en charge à l’hôpital Bichat, avec un pronostic vital engagé. L’autre, légèrement blessée, a été transférée à Lariboisière.

    La conductrice et sa passagère sont ensuite remontées dans leur voiture pour tenter de prendre la fuite mais, bloquées dans le trafic à cause d’un feu rouge, elles ont été maîtrisées par une vingtaine de passants.

    Tout le monde criait et voulait en découdre avec les deux femmes. Arrivés très rapidement sur place, les policiers ont interpellé la conductrice et sa passagère, les sauvant ainsi d’un possible lynchage.

    La conductrice, positive à l’opium, est déjà très défavorablement connue des services de police.

    Vu ici


    votre commentaire

  • votre commentaire
  • Par: Pieds Noirs 9A..

    Le patriotisme et le grand courage des Pieds-Noirs, mythe ou réalité ? 

    Réalité bien sûr, attestée aujourd'hui par les historiens les plus sérieux. Les archives ont parlé.

    Pierre Darmon écrivait dans son livre L'Algérie de Pétain : « En 1939, les conscrits algériens sont partis en guerre le cœur léger et avec la volonté d’en découdre avec les « Boches » alors que les métropolitains ont bouclé leur paquetage avec une résignation docile. Le contrôle postal confirme cet état d’esprit. Des lettres de soldats que ronge l’inaction sont émaillées d’envolées patriotiques ». Un autre historien, Frédéric Harymbat écrit qu'au lendemain du débarquement allié de novembre 1942, Alger « connaît comme toute l'Afrique du Nord une mobilisation sans précédent de sa population d'origine européenne, les jeunes des Chantiers devançant l'appel en masse au grand étonnement des autorités qui sont complètement débordées par l'afflux de volontaires » (dans L'algérianiste de septembre 2017).

    A ces jeunes soldats libérateurs de la Patrie et de l'Europe face au nazisme, De Gaulle rendra plus tard un vibrant hommage de honte : "Qu'est-ce que c'est que tous ces Fernandez, ces Lopez et autres Segura qui se voudraient français ?".

    Nous voyons aujourd'hui ou nous en sommes par la trahison de certains hommes ! .Comme le dernier qui en a remis une couche ...


    votre commentaire
  • Le préfet du Morbihan annonce la réquisition « d’un logement par commune » pour y installer des migrants

    Le programme de remplacement de la population française par des colons afro-musulmans est enfin assumée publiquement et explicitement par l’État Français. Il s’agit d’une politique systématique désormais totalement assumée au plus haut niveau gouvernemental.

    Ouest-France (source) :

    En visite à Pontivy, ce lundi 2 décembre 2019, le préfet du Morbihan a souhaité la création d’un logement par commune pour « mieux accueillir et mieux intégrer les réfugiés en situation régulière ». Patrice Faure a annoncé lancer une « manifestation d’intérêt général ».

    Le gouvernement organise en province le déversement systématique et étroitement coordonné de populations du tiers-monde inassimilables de coloration islamique.

    Le principe étant annoncé, on ne voit pas ce qui empêchera l'État de passer d’« un logement par commune » à dix puis cent quand le régime républicain l’aura décidé.

    La guerre pour la survie biologique du peuple français s’intensifie.

    Source : http://breizatao.com


    votre commentaire
  • Fraude massive : des retraites françaises sont versées à des morts au Maghreb !

    Résultat de recherche d'images pour "cimetière musulmans au maghreb"
    Ce qui est impossible en France serait courant en Afrique du Nord : à leur retour au pays, des veuves «oublient» de déclarer la mort de leurs maris décédés, continuant ainsi de percevoir leur pension française, écrit Capital en se référant à une enquête.

    Des centaines de millions d’euros auraient été versées annuellement par le système de protection sociale française en Afrique du Nord à des personnes… mortes, informe Capital.

    Comme le rappelle le magazine, c’est Rolande Ruellan, l’ancienne présidente de la 6e chambre de la Cour des comptes qui a pointé le problème en 2010. Mme Ruellan a notamment évoqué la «longévité des ressortissants algériens bénéficiant d’une retraite française en Algérie». Plus que ça, «le nombre de pensionnés algériens centenaires enregistrés dans nos caisses de retraite» était parfois supérieur à celui des centenaires recensés par l'Algérie, a-t-elle tenu à souligner.

    En 2017, une enquête à ce sujet a été dévoilée par la 6e chambre de la Cour des comptes. Elle confirme l’existence de plusieurs retraités âgés de plus de 115 ans en Algérie. Le document mis à la disposition de Capital parle également de nombreuses «incohérences qui émaillent» les fichiers des caisses sociales françaises, ainsi que «la faiblesse des contrôles diligentés».
    Un total de 6,5 milliards d'euros

    D’après Capital, 1,25 million de retraités aidés par la Sécurité sociale vivent à l'étranger, dont près de 40% au Maghreb. Chaque année, Paris leur verse un total de 6,5 milliards d'euros.

    En vue de soulever d’éventuelles fraudes, la Caisse nationale d’assurance vieillesse (Cnav) a effectué deux tests. Le premier a entraîné la suspension de 30 versements sur une centaine d’assurés contrôlés. Le second avait presque les mêmes résultats.
    «Ce n’est pas étonnant», écrit Capital précisant que, selon la loi française, envoyer annuellement un simple «certificat de vie» aux caisses est suffisant pour continuer à recevoir sa retraite à l’étranger. Les documents en question sont délivrés par les autorités locales «mais certaines sont complices et les filières se donnent le mot», raconte un fonctionnaire algérien cité par le magazine.

    «Parfois, ce n’est même pas la peine d’aller au guichet, c'est au bistrot qu'on règle tout ça…», ajoute-t-il. 
    Quelle est l’ampleur?

    Il est toutefois difficile d’évaluer avec précision l’ampleur de la fraude. La société Excellcium, qui se charge de la lutte contre la fraude pour le compte de banques, d'assurances et d'organismes de retraite complémentaire, a effectué une mission sur le terrain en Europe du Sud et en Afrique du Nord.

    «À chacune des étapes de nos enquêtes, on nous a mis des bâtons dans les roues: défaut de transmission de données d’état civil, refus d’accès aux archives des caisses françaises, délais de réponse anormalement longs des administrations locales. Nous avons dû nous battre pour obtenir les informations», a indiqué à Capital Pierre-Alexandre Rocoffort de Vinnière, le président d’Excellcium.
    Source

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique