• Alors, les Charlie d’un jour, on n’est pas Mila ?

     


    Anne-Sophie Chazaud

    Mila a 16 ans, elle est Lyonnaise.

    En 2020, à Lyon, ce qu’on pense, on ne l’envoie pas dire.

     Une semaine après les larmoiements et discours convenus de circonstance Je suis Charlie, aussitôt versés aussitôt oubliés, elle a osé, avec un langage fleuri que les gens convenables ne manqueront pas de lui reprocher, dire qu’elle n’aimait pas l’islam, auquel elle reproche son homophobie et sa misogynie sexiste dont elle est l’objet.
    Mila est désormais en danger de mort, a dû être déscolarisée d’urgence, cible d’appels au lynchage sanglant.
    Alors voilà, être Charlie, en 2020, c’est avoir son courage.
    Ce n’est pas chanter des débilités sur Jésus qui est pédé avec l’argent du contribuable à l’abri dans un studio.
    Elle, elle se bat, seule, avec son aplomb et son bon sens de belle gamine de 16 ans.

    Où sont les associations LGBT pour la défendre contre l’insupportable  lesbophobie dont elle fait l’objet par une meute islamisée assoiffée de sang et de bêtise ?
    Où est Madame Schiappa, si soucieuse de lutter contre les discriminations  ?
    Où est Roxana Maracineanu si inquiète que des supporters de foot prononcent des gros mots jugés homophobes dans leurs traditionnels chants paillards mais qui n’en pipera mot auprès du Qatar pour la prochaine coupe du Monde, trop risqué ?
    Vous avez piscine, les Charlie de circonstance ?
    J’ajoute, pour finir, que Mila a l’intelligence d’affirmer pouvoir critiquer l’islam, comme toute autre religion, et que ce droit de critiquer une religion est un droit fondamental qui ne relève en rien du racisme.
    Pour ceux qui essaient, depuis des années, de nous entourlouper en feignant de confondre le retour archaïque d’un délit de blasphème avec un quelconque acte raciste : prenez-en de la graine.

    votre commentaire
  • "Les Grandes Gueules" de RMC annulent leur tour de France craignant de nouvelles manifestations contre la réforme des retraites et des incidents

    L'émission phare de RMC et RMC Story "Les Grandes Gueules" a annoncé mardi le report de son "Tour de Gaule", des déplacements prévus dans plusieurs grandes villes à l'occasion des municipales, après les incidents de vendredi à Béziers (voir vidéo ci-dessus) où des manifestants contre la réforme des retraites ont interrompu sa diffusion.

    "Suite aux violents incidents survenus vendredi 17 janvier à Béziers lors du show des Grandes Gueules (...) et afin d'assurer la sécurité des équipes de l'antenne, du public, de la production et des techniciens, les directions de RMC et RMC Story ont pris la décision d'interrompre et de reporter la tournée débutée le 10 janvier", annoncent la radio et la chaîne TNT du groupe Altice, qui codiffusent l'émission quotidienne. Les diffuseurs ajoutent qu'ils "communiqueront prochainement les nouvelles dates de la tournée", et condamnent une nouvelle fois les incidents qui ont conduit à interrompre l'émission lors de son déplacement à Béziers.

    "RMC et RMC Story renouvellent leur profonde indignation de ne pouvoir exercer leur droit d'organiser des débats d'opinions quotidiens avec la volonté d'ouvrir leurs antennes à tous les courants d'expression qui respectent le débat démocratique et républicain", soulignent-ils.

    Des manifestants opposés à la réforme des retraites avaient perturbé puis interrompu vendredi matin l'émission les "Grandes Gueules" délocalisée aux Halles de Béziers (Hérault), selon la police et RMC. Ces personnes, parmi lesquels des cheminots, des avocats, des enseignants ou des "gilets jaunes", ont commencé à manifester dès le début du direct, puis certains ont débranché le câble du car-régie et allumé des pétards artisanaux, obligeant les techniciens à arrêter la diffusion. Le "Tour de Gaule" des Grandes Gueules, entamé le 10 janvier à Lyon, aurait du se poursuivre après Béziers au Havre le 24, Lille le 31 et enfin Grenoble le 7 février, à chaque fois en direct et en public.

    https://www.jeanmarcmorandini.com/


    votre commentaire
  • Tournée des GG annulée - Gilles-William Goldnadel : "C'est une défaite de la liberté !"


    votre commentaire
  • Quand Libé, Le Monde et la gôche morale défendaient la pédophilie

    Rédigé par lesoufflet 

    A la fin des années 70, les mêmes bien-pensants progressistes qui soutiennent actuellement la loi pour l’homoparentalité, le mariage homo et la PMA (procréation médicalement assistée), défendaient, au nom de la liberté, de l’égalité et contre les vilains réactionnaires, la pédophilie. 24heuresactu a retrouvé les signataires et leurs revendications concernant la sexualité avec les enfants. Quand l’histoire se répète.

    Libération, le Nouvel Obs, Le Monde, le PS : tels sont les actuels défenseurs des lois prométhèennes sur la négation de l’altérité via l’homoparentalité. En 1977, c’étaient déjà les mêmes qui signaient des pétitions pour soutenir la pédophilie, au nom de la liberté et du progrès. On ne change pas une équipe qui gagne !

    Les leçons de morale sont toujours les mêmes : seuls les obscurantistes, les réacs, les fachos peuvent vouloir ralentir l’inéluctable chemin vers la modernité, le progrès, le lucre, et la jouissance sans entrave.

    Ainsi, Le Monde publiait, le 26 janvier 1977, une célèbre lettre ouverte aux Parlementaires, relayée, évidemment, par Libération, pour défendre dans “l’affaire de Versailles”, 3 hommes qui étaient accusés de pédophilie, pour avoir couché avec des mineurs et pris des photos de leurs intimités. Les intellectuels progressistes parisiens s’étaient émus de cette entrave à la jouissance et à la consommation du corps. Comment une société peut-elle être heureuse si l’on fixe des limites morales au plaisir sexuel ?

    Le texte ignoble précisait ainsi que les enfants étaient “consentants”, avant d’aller encore plus loin dans le progrès sociétal : “Si une fille de 13 ans a droit à la pilule, c’est pour quoi faire ?” et “trois ans pour des baisers et des caresses, ça suffit”. Ça a le mérite d’être clair !

    Voici donc la liste des 60 signataires de cette pétition, qui font quasiment tous partie des fervents défenseurs du mariage pour tous et qui continuent à militer, sans honte, pour la marchandisation du corps. On y retrouve évidement toutes les idoles de nos bons vieux bobos soixante-huitards et quelques socialistes devenus ministres entre-temps. Une liste à garder en mémoire :

    • Alain Cuny
    • André Glucksmann
    • Anne Querrien
    • Bernard Dort
    • Dr Bernard Kouchner
    • Dr Bernard Muldworf
    • Bertrand Boulin
    • Catherine Millet
    • Catherine Valabrègue
    • Christian Hennion
    • Christiane Rochefort
    • Dr Claire Gellman
    • Claude d’Allonnes
    • Copi
    • Daniel Guérin
    • Danielle Sallenave
    • Dionys Mascolo
    • Fanny Deleuze
    • Félix Guattari
    • Francis Ponge
    • François Châtelet
    • François Régnault
    • Françoise d’Eaubonne
    • Françoise Laborie
    • Gabriel Matzneff
    • Georges Lapassade
    • Gérard Soulier
    • Dr Gérard Vallès
    • Gilles Deleuze
    • Gilles Sandier
    • Grisélidis Réal
    • Guy Hocquenghem
    • Hélène Védrine
    • Jack Lang
    • Jacques Henric
    • Jean-François Lyotard
    • Jean-Louis Bory
    • Jean-Luc Henning
    • Jean-Marie Vincent
    • Jean-Michel Wilheim
    • Jean-Paul Sartre
    • Jean-Pierre Colin
    • Jean-Pierre Faye
    • Judith Belladona
    • Louis Aragon
    • Madeleine Laïk
    • Marc Pierret
    • Marie Thonon
    • Dr Maurice Erne
    • Michel Bon
    • Michel Cressole
    • Michel Leyris
    • Négrepont
    • Olivier Revault d’Allonnes
    • Patrice Chéreau
    • Philippe Gavi
    • Philippe Sollers
    • Dr Pierre-Edmond Gay
    • Pierre Guyotat
    • Pierre Hahn
    • Pierre Samuel
    • Dr. Pierrette Garrou
    • Raymond Lepoutre
    • René Schérer
    • Dr Robert Gellman
    • Roland Barthes
    • Simone de Beauvoir
    • Victoria Therame
    • Vincent Montail

    Bref, tous les symboles et les modèles de la pensée de Mai 68. Depuis, quasiment tous ont pris position pour la mariage homosexuel et l’homoparentalité. Vous avez dit décadence ? Nihilisme ? Perversion ? La source idéologique de toute cette folie hédoniste est évidemment à aller chercher du côté de mai 68.

    La même année, Libération publiait également un appel à participation pour une réunion afin de constituer le FLIP (Front de libération des pédophiles). Il est beau leur progrès sociétal, elle est belle leur émancipation sexuelle !

    Cette pétition n’est qu’un élément parmi de nombreuses lettres ouvertes, autres pétitions, et tribunes publiées par Libé, Le Nouvel Obs et Le Monde à la fin des années 70. La dernière pétition de Libération en faveur de la pédophilie date de 1979… Il n’y a pas si longtemps…

    On se souvient tous du représentant de Mai 68, Daniel Cohn Bendit, qui publiait en 1975 un livre, “grand bazar”, où il consacrait un chapitre à la “sexualité des enfants”.

    daniel_cohn_bendit_eelv

    En 1979, Jacques Dugué est arrêté pour pédophilie et soupçonné de faire partie d’un réseau de pédophiles. Il publie une tribune dans Libération où il dresse une apologie de la “sodomisation” des enfants. Il y explique que “l’enfant qui aime un adulte […] aime ressentir dans son corps le membre viril de celui qu’il aime, d’être uni à lui, par la chair”. Il y exige “qu’on arrête de persécuter ceux qui aiment les enfants, même s’ils les aiment aussi avec leur corps”. C’est pas du Pulvar mais c’est presque aussi tolérant envers la différence. Puisque toutes les pratiques sexuelles se valent…

    Pendant cette période, les groupes d’extrême gauche comme la LCR de Besancenot (il n’y était pas encore, concédons lui cela) soutiennent officiellement la pédophilie contre les interdits religieux et moraux de la société conservatrice. D’autres groupes informels d’extrême-gauche ou organisations plus importantes, comme la Ligue communiste révolutionnaire soutiennent alors les pédophiles contre les tabous moraux imposés par la société conservatrice réactionnaire. Les discours ambigus sur la “sexualité infantile” sont considérés comme une libération du carcan de la morale…

    L’historienne Anne-Claude Ambroise-Rendu a décrit cette période et ce discours selon lequel “les enfants ont aussi droit à la sexualité”. Selon elle, cette idée correspond parfaitement à l’idéologie soixante-huitarde ambiante “à l’ombre des mouvement alternatifs, de l’antipsychiatrie et du militantisme homosexuel. Du Front homosexuel d’action révolutionnaire (FHAR) créé en 1971 au magazine Le Gai Pied lancé en février 1979, tous réclament, avec Michel Foucault, la reconnaissance des “sexualités périphériques””.

    pierre_berge_francois_hollande

    On nous fait croire qu’il y a une marche en avant, que les évolutions sur lesquelles la société débat finissent toujours pas donner raison à ceux qui sont du côté de l’évolution, mais non, cela ne marche pas comme cela. Au cours de l’Histoire, de nombreuses idéologies progressistes en vogue à une époque ont été rejetées massivement pour leurs effets nocifs, comme ce fut le cas à la fin des années 70 avec la pédophilie et comme cela devrait être le cas actuellement. Dans 30 ans, espérons que nos enfants riront en apprenant qu’à une époque, les hommes voulaient se substituer à la Nature et qu’un état voulait autoriser les couples homosexuels à adopter des enfants, à se marier et à louer les ventres des roumaines miséreuses (voir la position de Pierre Bergé, propriétaire du Monde et leader du combat pour l’homoparentalité).

    On le voit bien avec ces pétitions : les méthodes totalitaires des élites intellectuelles, qui veulent imposer au peuple, en le culpabilisant (vous êtes désormais homophobes si vous refusez que l’on puisse louer des ventres), leurs évolutions sociétales formidables à coups de lettres ouvertes et de pétition (Les Inrocks récemment) sont les mêmes que celles des pro-pédophilie des années 70. Et il n’y a rien de surprenant car ce sont à peu près les mêmes personnes et surtout exactement la même idéologie post-soixante-huitarde : foutons la morale à la poubelle afin qu’il n’existe plus de frein à notre jouissance sexuelle, car la consommation du corps, quelle qu’elle soit, doit être la priorité absolue de notre civilisation. Jouissons sans entrave, remplaçons la morale par le fric et le cul : l’Homme s’en trouvera élevé !

    Sodome et Gomorrhe (Babel, Babylone…), c’est maintenant !

    Voir les liens ci-dessous, qui sont très instructifs sur le “progrès social” vendu par nos bons journalistes…

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Apologie_de_la_p%C3%A9dophilie

    http://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A9titions_fran%C3%A7aises_contre_la_majorit%C3%A9_sexuelle

    https://24heuresactu.com/


    votre commentaire
  • La longue liste des intellos qui ont plébiscité la pédophilie après 1968 ..

    Par Sophie Durand..

    (capture d’écran conservée de l’article de 2004 que Libé a effacé)

    Après 1968, il est devenu interdit d’interdire, même la pédophilie. Pour les intellos, la pédophilie, c’était le must. L’année 2020 s’annonce mouvementée pour les pédophiles et c’est tant mieux.

    Gabriel Matzneff a fait part de sa « tristesse » devant la parution, en janvier 2020, d’un livre qui le dénonce comme pédophile. Il n’a toujours pas compris, puisqu’il étale son propre désarroi, que la jeune fille en question ait un aussi mauvais souvenir de leurs magnifiques « ébats ». Peut-être que tout simplement elle n’était pas tout à fait consentante, Gabriel Matzneff ?… Mais c’était tellement à la mode que la gent intellectuelle presque toute entière s’inclinait à l’époque…

    http://www.fdesouche.com/1317033-pedophilie-comme-gabriel-matzneff-le-tout-paris-des-annees-70-defendait-le-sexe-entre-adultes-et-enfants

    D’ailleurs Libé a effacé l’article mettant en cause Matzneff en 2004. Mais de petits malins ont conservé la capture d’écran.

    N’oublions jamais que le 26 janvier 1977, Gabriel Matzneff a été l’auteur d’une tribune dans le Monde, qui prenait la défense de trois cinéastes ayant tourné des films pédophiles, avec leur propre participation physique. Cette tribune qui prétendait que tout était normal a été signée par 69 personnes.

    Ici figure la liste complète de ces 69 personnalités qui ont signé cet appel pour faire libérer les trois pédophiles qui allaient être jugés :

    https://pedocriminel.blogspot.com/2012/01/affaire-de-versailles-1977.html

    Parmi les 69 signataires, on trouve Louis Aragon, le sémiologue Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Jean-Paul Sartre, le cinéaste Patrice Chéreau, le philosophe Gilles Deleuze, André Glucksmann, Bernard Kouchner., l’ineffable Jack Lang qui n’a jamais été inquiété malgré de graves soupçons pesant de manière continue sur lui.

    (Sartre)

    Que figurent Sartre et Beauvoir, qui avaient l’esprit quand même un peu tordu, et pratiquaient déjà l’échangisme au sein de leur couple, n’est pas vraiment étonnant.

    Que figurent Gilles Deleuze et Felix Guattari, dont on dit qu’ils étaient compagnons à la ville, dont la prétendue philosophie est toujours étudiée dans une admiration béate de connivence en faculté de philosophie, peut passablement énerver.

    Mais les personnes qui aiment la poésie de Louis Aragon en subiront un choc. Certes il y a beaucoup à dire sur Louis Aragon, adhérent au PCF de 1927 à sa mort en 1982. Ce stalinien a trouvé le goulag admirable, défendu les purges de Moscou, défendu le pacte germano-soviétique, siégé dans les plus hautes instances du PCF, mais a fait des vers admirables (l’Escale, le Musée Grévin…). Découvrir qu’il a signé cette lettre rend infiniment triste.

    (Lang)

    Alain Robbe-Grillet, coqueluche du nouveau roman dans ces années-là, et dont on ne parle plus aujourd’hui, publie en 1973 un texte qui fait l’apologie du viol, pour accompagner des photos de David Hamilton, lui-même accusé d’avoir abusé de ses modèles…

    Le cinéma n’est pas en reste, avec entre autres le film « Le Dernier tango à Paris » qui met en scène un viol qui se passe devant les caméras. Mais personne ne dit rien.

    Libération publie sans honte en ces années-là des petites annonces de pédophiles en recherche de proies, et Pascal Bruckner avec Georges Moustaki publient un texte décrivant le bonheur de la pédophilie :  « un pédophile assumé s’en prenant à des fillettes de six à douze ans « dont l’air épanoui montre aux yeux de tous, y compris de leurs parents, le bonheur qu’elles trouvent avec lui » ».

    Bref toute la classe intellectuelle, enfin celle qui se prétend telle et fréquente le tout Paris germanopratin, prête à se vendre pour un plat de lentilles ou pour que son nom soit cité dans la presse, fût-ce ignominieusement, est mouillée ou presque.

    Quatre mois après cette tribune de 1977, une nouvelle tribune est publiée, dans Le Monde, signée par 80 personnalités qui se disent intellectuelles, demandant l’abrogation du crime de pédophilie. Parmi les signatures, Michel Foucault qui avait hésité la première fois (dont la philosophie morne et insipide est toujours encensée et enseignée par la plupart de ses pairs philosophes), et surtout, Françoise Dolto : pleurez, tous ceux qui ont érigé les thèses de Dolto en textes sacrés !

    https://www.huffingtonpost.fr/entry/comment-gabriel-matzneff-etait-celebre-dans-les-annees-70_fr_5e05ff17e4b0b2520d149952

    Le Huffington précise : « On retrouve à peu près les mêmes noms que dans la première tribune. Et bien sûr, Gabriel Matzneff. Ce texte-ci demande à ce que les lois régissant les relations sexuelles entre adultes et mineurs soient abrogées au même titre que celles qui réprimaient l’adultère, l’IVG, et les « pratiques anticonceptionnelles ». »

    Deux ans après les tribunes de Matzneff, Libération publie une tribune pour soutenir deux hommes qui ont vécu avec des fillettes de 6 à 12 ans et en sont très fiers, et 63 personnalités signent ce texte :

    « les nouveaux philosophes reconnaissaient toute la pertinence des livres de Tony Duvert et de son apologie de la sexualité avec les enfants, qui devait selon eux « stimuler, susciter des vocations, dessiller les yeux » (dixit Pascal Bruckner et Alain Finkielkraut dans Le Nouveau Désordre amoureux).

    https://www.letemps.ch/societe/revolution-sexuelle-mai-68-genere-un-tourbillon-dabus

    L’apothéose de la criminelle tartufferie est atteinte lorsqu’en 1982 l’ignoble, adipeux et libidineux Daniel Cohn-Bendit sur l’émission Apostrophe explique combien il est agréable de voir une fillette de cinq ans défaire sa braguette. Daniel Cohn-Bendit n’a jamais été inquiété. Il n’a jamais eu le moindre regret, lui non plus, même s’il a essayé de se défendre. N’oublions pas qu’il a failli entrer dans le gouvernement actuel.

    (Cohn-Bendit en 1982)

    https://www.dailymotion.com/video/x9jasr

    Gabriel Matzneff n’a dévoilé qu’en 2013 qu’il avait été l’inspirateur des tribunes précitées, ajoutant qu’il n’avait aucun regret d’aucune sorte sur son comportement de pédophile.

    C’est à se demander ce que ces intellectuels auto-proclamés ont d’intellectuel. Comme l’ignoble Tariq Ramadan, violeur en série, ils s’imaginent que cette étiquette trop souvent usurpée, les protège.

    S’ils étaient de vrais intellectuels, ils se rendraient compte de l’imposture, et du crime, et iraient se cacher. Mais visiblement leur intellect n’est pas à la hauteur. À la vérité, leur QI plus bas que celui d’une huître les autorise à défouler leurs plus bas instincts, et leur vanité inversement proportionnelle les fait s’imaginer en outre que leurs victimes ont apprécié.

    Pour ceux qui prétendent avoir ignoré l’abomination de leurs actes, l’ignorance n’est pas une excuse en droit pénal.

    Pour ceux qui ne les regrettent pas, et sont toujours extasiés par leur comportement, aucune sanction ne sera trop forte.

    Sophie Durand

    https://ripostelaique.com/


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique