• Vous avez dit démission ?



    Le simple mot « démission » a disparu du paysage politique.
    Nos gouvernants s’en fichent… Et pourtant !
    Pourtant, l’honneur de servir son pays dans un poste dirigeant requiert, d’abord et avant tout, la confiance de la majorité des gens à gouverner : c’est l’essence-même de la démocratie, ce mot magique dont les politiciens nous rebattent les oreilles matin, midi, soir et nuit, en ayant pris grand soin de le vider de son contenu.Lorsqu’est rompu ce lien de confiance essentiel entre un dirigeant et les dirigés, ce ne sont pas les dirigés qu’il faut changer !Pour de viles raisons mercantiles, la ministre du Travail retoque l’allongement du congé pour la mort d’un enfant.Tollé partout.Et cette dirigeante, plaidant une erreur, « collective » de surcroît – quel courage ! – retourne sa veste. Comment avoir confiance en Madame Pénicaud ?Elle a démontré à la fois son absence d’empathie envers les gens et sa servilité face au pouvoir du dessus.Si elle avait une once d’honneur, elle démissionnerait.Monsieur Castaner s’est vu refuser sa circulaire sur le trucage des résultats électoraux par le Conseil d’État.
    Après un tel désaveu, venant d’une telle autorité, comment n’est-il pas venu à l’esprit de ce monsieur, lesté d’un lourd passé d’incompétence, que, décidément, il n’était pas fait pour ce travail.S’il avait une once de lucidité, il démissionnerait.Alors qu’on ne lui a rien demandé, Madame Belloubet, ancien professeur de droit et actuelle Garde des Sceaux, réinvente le délit de blasphème.Devant la bronca généralisée, elle retourne sa veste en plaidant l’erreur.Mais, madame, lorsque le pilote de l’avion fait, lui aussi, une « erreur », on compte cinq cent morts.Il y a des postes où le droit à l’erreur n’existe pas.Le vôtre est de ceux-là.Désormais, tous vos propos seront teintés de défiance.Si vous aviez une once de bon sens, vous démissionneriez.
    Et l’homme des retraites, qui a passé deux ans à ne pas négocier au point de bloquer la France à peine son rapport remis !N’aurait-il pas dû démissionner de son propre chef au lieu d’être poussé vers la sortie pour cause de turpitudes administratives et de mémoire défaillante ?
    Ces politiciens, et bien d’autres que ceux-là, sont indignes que le pays continue de leur confier une mission : c’est l’exact sens du mot « dé-mission ».
    Yannik Chauvin

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  • Mila, 16 ans, menacée de mort, ne regrette pas ses propos sur l'Islam


    Mila, jeune lycéenne de 16 ans, est enfin sortie du silence, deux semaines après la fatwa dont elle a été la cible, suite à ses propos islamophobes sur les réseaux sociaux (voir ici).

    Et elle ne regrette rien :

    Thomas Joly@ThomasJoly60
     
     

    ne regrette pas ses propos sur l'Islam malgré les appels au meurtre et au lynchage de milliers de musulmans enragés sur les réseaux sociaux

    https://twitter.com/Qofficiel/status/1224418961649029120 

    Quotidien 
     
    @Qofficiel

    Mila est notre invitée dans #Quotidien pour sa seule et unique interview.

    Sauf peut-être que sa vie a complétement changé suite au déferlement de haine de milliers d'occupants musulmans à son égard sur les réseaux sociaux mais aussi dans son lycée :

    Mila assure que sa vie est « en pause ». Elle n’a pas pu réintégrer son lycée de Villefontaine (Isère), près de deux semaines après les faits. « Je n’étais pas en sécurité dans mon établissement. Vu les menaces que j’ai reçues des personnes de mon lycée, j’aurais pu être brûlée à l’acide, me faire frapper. J’étais menacée d’être déshabillée en public, d’être enterrée vivante. J’étais obligée d’abandonner mon lycée », a-t-elle déploré. (Source)

    Voilà comment ça se passe en 2020, en République « française » pré-musulmane...


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  • [TEMOIGNAGE] : « Les médecins ont tué ma fille par négligence et incompétence » a dit ma maman.

    L’image contient peut-être : 1 personne, debout et lunettes

    Union des Mamans d'Enfants Handicapés - UMEH

    Je m’appelais Lou. J’allais fêter mes 12 ans ce mois de janvier. Le 8.
    Mais la négligence doublée d’incompétences  médicales dans un très grand hôpital public de réputation mondiale, m’ont tuée en me laissant souffrir pendant plusieurs jours : j’ai été prise de douloureux maux de ventre avec des vomissements le jeudi 6 décembre dernier.
    Ma fièvre s’élevait à 38.
    Pour situer mon contexte, j’avais hélas déjà été victime de mauvais médecins à ma naissance, avec pour conséquence un manque d’oxygène à mon cerveau.
    Du coup j’avais eu une paralysie cérébrale bébé mais qui avait laissé intacte ma grande intelligence. Je vivais donc en fauteuil roulant et me battais depuis toute petite pour réussir à marcher :séances de kiné, d’ergotherapie .. ) pour m’intégrer dans notre société, ce qui n’était pas toujpurs facile !
    Mais j’avais réussi, j’allais au collège Buffon que j’adorais, je travaillais très bien et j’avais de très bonnes amies.
    Sur le moment maman a pensé à une gastro et m’a gardée à la maison en observation le lendemain. Mais le samedi matin, ma douleur était toujours aussi intense.
    Maman a appelé alors SOS médecins.
    Songeant à une colique néphrétique, la médecin qui m'a examinée nous a dit qu'il fallait faire une image de mon abdomen aux urgences.
    Vers 14 heures, nous arrivons donc aux urgences pédiatriques de l'hôpital Necker.
    A l'accueil, la dame m’ a interrogée sur l'intensité de ma douleur.
    J’avais très mal : elle a noté 10/10.
    Pourtant, j’ai attendu plus de 5 heures dans la salle d'attente.
    Je me tordais de douleur sur mon fauteuil.
    Ma mère essayé, en vain, plusieurs fois, d'attirer l'attention de l'accueil sur ma souffrance et la nécessité de me prendre en charge rapidement.
    On m’a dit que le médecin avait mon dossier donc que c’est lui qui décidait de l’ordre de priorité des patients…
    Pourtant des enfants étaient arrivés après moi sont passé devant. Pourquoi ?

    Enfin examinée, le docteur se limite à une simple palpation de mon ventre douloureux, une auscultation de mon cœur et de ma gorge.
    Pas de prise de tension, pas d'imagerie, ni prise de sang...
    Rien que la seule appréciation du médecin. « une belle angine ! » a-t-elle lancé.
    Pourtant c’est au ventre que j’avais très mal…
    Le médecin ne m’a pas écouté.
    Pas prise maman au sérieux. Maman a insisté pour faire une image du ventre demandé par SOS médecins.
    Mais elle a refusé net.
    Nous sommes rentrés chez nous avec une prescription de doliprane que maman me donnait déjà..
    Ma douleur au ventre étant encore plus intense le soir, nous revenons dès le lendemain à Necker. Bien que nous venions une deuxième fois, j’ ai attendu encore 6 heures, sans prise en compte ni prise en charge de ma douleur.
    Cette fois-ci, une échographie abdominale, une radio du thorax et une analyse urinaire sont effectuées.
    On nous dit que « quelque chose bloque » dans le colon, sans autre précision diagnostique.
    Le médecin préconise un lavement à la maison.
    Nous insistons pour qu'il soit réalisé à l'hôpital.
    Une fois fait, je souffre encore, mais nous sommes renvoyés chez nous.
    Aucun examen de contrôle n'a été fait après le lavement.
    Aucun examen complémentaire n'a été entrepris pour comprendre pourquoi je souffrais tant. Personne n'a montré mon échographie à un chirurgien viscéral.
    Ils m'ont laissée repartir alors que je souffrais atrocement.
    On m'a dit qu'il y avait trop de monde, qu'il fallait donc rentrer chez nous.
    Désemparée face à ma souffrance, mes parents prennent rendez vous en urgence lundi matin chez notre pédiatre de ville.
    Il fait confiance à Necker, hôpital de référence.
    Le mardi 10 décembre, souffrant encore plus terriblement encore, nous réalisons le matin une imagerie dans un cabinet privé.
    Le radiologue nous ordonne de partir en urgences à Necker en me voyant si dégradée, et appelle le service de chirurgie viscérale : j’étais en péritonité aiguee.
    Je suis enfin admise en chirurgie viscérale après 4 jours !
    Prise en charge à midi, je reste alitée sur un brancard, avec une sédation qui ne me soulage même plus.
    Je devrais encore attendre 17Heures pour avoir droit de passer un scanner abdominal avant mon opération.
    POURTANT JE SUIS URGENCE ABSOLUE. Pourquoi ?
    En plus le chirurgien était introuvable sur le moment, puis il manquait une clé...
    Je ne rentre au bloc qu'à 18h00 ( j’étais arrivée à midi…).
    L’opération durera 3h30.
    Au sortir du bloc, les médecins nous annoncent une gangrène de mon intestin grêle.
    Plongée dans un sommeil artificiel, je resterai encore 5 jours, ventre ouvert et sédatée.
    Je serai réopérée deux fois (alors que j’étais en septicémie en arrivant au bloc).
    J’ai dit à maman avant l’opération : « maman je vois tout noir ».
    Je suis morte dans les bras de mon papa le 22 décembre dernier dans le service de réanimation de l'hôpital Necker.
    Les chirurgiens n'ont pas pu me sauver.
    Car j’ai a été prise en charge trop tard...
    J’ai eu une torsion intestinale, à priori sur un fécalome non diagnostiqué à temps…
    J’ai souffert le martyre pendant plusieurs jours.
    Les médecins n’ont pas écouté ma douleur ni le désarroi de mes parents qui me connaissaient bien.
    Ma disparition a effondré toute ma famille et mon petit frère Aurélien en particulier.
    Mes parents pensent que ce qui m’est arrivée ne doit pas rester ignoré ou couvert d’un silence coupable.

    Informer le grand public de mon drame est une nécessité pour eux, mais aussi que ma mort aide à ce qu’aucune autre petite fille, aucun petit garçon ne finissent comme moi.. arrachée à mes parents en pleine puberté à cause de l’arrogance des médecins que j’ai vus qui ne m’ont pas écouté ni ma maman qui réclamait des examens, de l’accumulations  d’erreurs et de négligences coupable.

    A cause de cela, a Paris, à Necker ,j’ai perdu la vie à 11 ans et suis devenue une étoile.

    ©️Lou de S

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  • Affaibli sur les plans extérieur et intérieur, le chef de l'Etat accumule désillusions et impasses.

    Macron la chute !


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  • Dix-sept enfants de jihadistes Français ont été rapatriés, d’autres vont suivre ...

    Dix-sept enfants de jihadistes français ont d’ores et déjà été rapatriés en France, a déclaré ce dimanche 2 février le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian, ajoutant que la France voulait poursuivre ce mouvement de retour d’enfants “innocents”.

    “Nous avons rapatrié 17 enfants”, a-t-il déclaré lors d’une émission conjointe RTL/LCI/Le Figaro, après avoir dit que la France pourrait en rapatrier d’autres si elle a “l’occasion de le faire”.

    “La volonté de la France est de faire en sorte que ces enfants, qui sont innocents, puissent être rapatriés, sous réserve de l’accord de leur mère”, a-t-il expliqué. Concernant leur âge, “pour l’instant nous sommes limités à moins de 6 ans”.


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