• 49-3 : La NAUSÉE virale !

     
     
    Catherine Désert a partagé une publication.
     
    Voici une lettre ouverte au Gouvernement Macron, écrite par Framboise Chabanis, et qui résume brillamment la pensée actuelle de bien des Français, profondément révoltés :

    « Monsieur le Président,

    Monsieur le Premier Ministre,

    Aujourd’hui Samedi 29 février vous n’êtes pas avare d’une nouvelle perfidie !
    En pleine crise mondiale du coronavirus, vous nous avez trahi en dégainant le 49-3. Bravo !
    Aujourd’hui je conteste la Démocratie de mon Pays.
    Vous êtes la honte de notre Nation, le fossoyeur de nos acquis.
    Partout c’est la chianlit et vous en faites fi.
    Le 49-3 est l’arme des lâches, des gouvernements autocratiques.
    Ce soir j’ai mal à la tête mais pas à cause du Virus.
    Vous êtes les mal-aimés, les mal-élus, vous êtes les lâches de la République, les vaux-rien de cette Europe.

    De tous vos ministres je n’en vois aucun qui vaille et notre Grand Pays ne vous mérite pas.
    Soyez déshonorés de violenter ainsi un Peuple qui ne vous soutient pas.
    Et comme nous ne pouvons plus nous regrouper car nous allons bientôt être frappés par cette saleté, nous nous rassemblerons, ailleurs, autrement.
    Dans les urnes, au cours des élections nous vous désavouerons.
    Nous renverserons l’Assemblée et sa majorité.
    Nous voulons retrouver notre Pays, nos libertés et les avancées sociales que le monde nous envie.
    Vous êtes la République du dégoût, la gouvernance de la Honte.
    Vous n’avez aucune vision ni projet et le 49-3 en est notre plus grande certitude.
    Aux futures élections nous
    nous en souviendrons. »

    (Copier-Coller

    Site : L’Elysée - menu - Écrire au Président - Sujets d’actualité )

    © Framboise Chabanis
    https://www.facebook.com/framboise.chabanis

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  • Macron a choisi : 5 milliards pour les migrants, baisse des retraites pour les retraités

    Macron a choisi : 5 milliards pour les migrants, baisse des retraites  pour les retraités

    Yves Mamou, ancien journaliste du Monde, semble être passé dans le camp du mal puisqu’il collabore régulièrement à Riposte Laïque, Causeur, Le Figaro et Valeurs actuelles.

    Dans Le Grand Abandon, il dénonce la préférence de Macron et des élites française pour les migrants (et l’islam), nouvelles pépites censés payer nos retraites.

    « En 2018, l’État a su budgéter environ 5 milliards d’euros pour financer l’immigration, mais cherche désespérément une somme équivalente pour financer les retraites. »

    Y a plus de fric pour nos vieux mais on en trouvera toujours pour les envahisseurs…

    Les retraités, vaches à lait de l’immigration ?

    Alors que l’État n’a de cesse de chercher des solutions pour financer les retraites, il poursuit en parallèle une politique migratoire coûteuse qui vient toujours plus grever un budget déficitaire, dénonce le journaliste et essayiste Yves Mamou.

    Jacques Attali, Alain Minc, le Fonds monétaire international, etc. nous ont fait passer le message depuis plusieurs décennies : les immigrés doivent être bien accueillis car ils sont là pour payer nos retraites. La faible fécondité des populations européennes, le taux de chômage élevé en France rendent difficile le financement des retraites de la génération du baby-boom.

    Premier constat : quarante ans d’immigration continue n’ont en rien atténué le problème. Gouvernement après gouvernement, les mêmes réformes se poursuivent : hausse des durées de cotisation, report des années butoirs de départ à la retraite dans un processus qui apparaît sans fin.

    L’élection d’Emmanuel Macron ne déroge pas à la règle. Notre président a même entrepris d’aller plus loin que ses prédécesseurs en entreprenant d’unifier les 42 régimes de retraite existants. Un projet qui passe par la mission confiée à Jean-Paul Delevoye de négocier l’adhésion du patronat et des syndicats à cette volonté. La pierre d’achoppement de ce grand projet était la promesse formelle faite aux Français de ne pas toucher à l’âge légal de départ à la retraite fixé encore aujourd’hui à 62 ans.

    Mais, le 15 mars 2019, Édouard Philippe, le Premier ministre, a laissé entendre qu’il faudrait peut-être à nouveau reculer le curseur de l’âge légal de départ. Quelques jours plus tard, Agnès Buzyn, la ministre des Solidarités et de la Santé, est revenue à la charge sur RTL. Dans la foulée, Benjamin Griveaux, à l’époque porte-parole du gouvernement, s’est félicité de cette très bonne idée de reculer l’âge de départ à la retraite.

    En face, les partenaires sociaux sont aux cent coups et Jean-Paul Delevoye menace de rendre son tablier de grand ordonnateur de la fusion des régimes de retraite. Même les députés de La République en marche ont été choqués que le programme sur lequel ils ont été élus soit bousculé sans information préalable. Un risque de division que l’Élysée doit prendre en considération, compte tenu des tensions nées dans la majorité au sujet du projet de refonte de la loi de 1905.

    La raison officielle qui pousse le gouvernement à vouloir fusionner les régimes tout en reculant l’âge de départ à la retraite tient à un projet voulu par Sarkozy, annoncé par Hollande et jamais abouti en raison du déficit budgétaire et du déficit des comptes sociaux : un meilleur financement de la dépendance des personnes âgées.

    Un exemple : plus de 1 million de familles françaises ont un parent atteint de la maladie d’Alzheimer ou sont aux prises avec d’inextricables problèmes financiers en raison du coût élevé des maisons de retraite. Ces familles ont besoin d’aide, mais l’État et la Sécurité sociale sont impécunieux. Alors, c’est à ces jeunes vieux que sont les retraités que l’État va demander (encore) un effort.

    La demande d’asile baisse partout en Europe mais augmente en France…

    La démarche serait audible – et, qui sait, recevable – si elle n’avait une face cachée. Depuis plusieurs années, l’État invite tous les étrangers entrés en France sans visa – et sans intention de la quitter – à déposer une demande d’asile. Une générosité qui n’est pas passée inaperçue. Alors que la demande d’asile baisse partout en Europe, le nombre de demandeurs d’asile en France est, lui, en hausse quasi ininterrompue. « Notre pays demeure soumis à une pression migratoire intense, évolutive », déclarait à l’Assemblée nationale Christophe Castaner, le 6 novembre dernier ; “ évolutive” signifiant ici “en augmentation constante”. En 2017, l’Offi ce français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra) a enregistré 100 613 dépôts de demande d’asile, soit une hausse de 17,4 % par rapport à 2016. Pour 2018, l’Ofpra estime ainsi que le chiffre record de 120 000 demandes d’asile pourrait être atteint sur l’année.

    L’absurdité ne réside pas dans la pression migratoire, mais dans le fait que le gouvernement n’entend pas agir sur ces arrivées massives. Christophe Castaner s’est borné à déclarer à la commission des finances du Sénat : « Cet effet de “rebond” ou de “transfert” des demandeurs d’asile depuis les pays voisins, que nous constatons aujourd’hui, a vocation à être limité par la diminution du nombre de migrants entrant dans ces États. C’est le pari que nous faisons. » En d’autres termes, le nombre des migrants finira un jour par baisser, inutile d’agir directement.

    Cette inaction – volontaire – du gouvernement a évidemment un coût. Plus d’un migrant économique sur deux verra sa demande d’asile déboutée. Mais entre le dépôt et le rejet de cette demande, ce même migrant aura été hébergé, rémunéré et soigné plusieurs mois durant.

    Les dépenses liées au processus migratoire peuvent se décliner comme suit. L’exercice du droit d’asile représente 1,35 milliard d’euros en autorisations d’engagement et 1,21 milliard d’euros en crédits de paiement dans le projet de loi de finances pour 2019. Soit une hausse, par rapport à 2018, de 36 % en autorisations d’engagement et de 18 % en crédits de paiement. L’allocation pour demandeur d’asile (Ada) est budgétée dans le projet de loi de finances pour 2019 à 335,8 millions d’euros (+ 5,7 % par rapport aux 317,7 millions d’euros de 2018).

    À ces principaux postes (allocations et hébergement), il faut ajouter les frais de fonctionnement des administrations chargées de gérer l’asile : Ofpra, Cour nationale du droit d’asile (CNDA), Ofii et guichets de préfecture. Ces budgets ont beaucoup augmenté depuis 2015, notamment dans le but de réduire la durée d’instruction des dossiers. Car plus l’instruction est longue, plus les dépenses d’allocations et d’hébergement augmentent.

    Les clandestins ne sont pas seulement rémunérés et hébergés, ils sont également soignés quand ils apportent la preuve qu’ils résident depuis plus de trois mois en France. L’aide médicale de l’État (AME), financée sur le budget de l’État, n’a cessé, depuis ses origines, de coûter “un pognon de dingue”.

    Déjà, en 2003, à une époque où les dépenses de l’AME n’étaient que d’une centaine de millions d’euros, un rapport de l’Inspection générale des affaires sociales s’alarmait de « leur forte progression ». Les dépenses de l’AME sont aujourd’hui de l’ordre du milliard d’euros pour une distribution de soins qui touche 300 000 personnes environ. Les termes du débat sont connus : sans l’AME, les migrants clandestins envahiraient les hôpitaux et ceux atteints de maladies contagieuses pourraient contaminer les populations locales, disent les défenseurs de l’AME. Mais ceux qui luttent contre une politique de frontières ouvertes affirment qu’une action résolue contre l’immigration clandestine réduirait les dépenses de l’AME et les risques sanitaires qui lui sont liés.

    Dans la masse des clandestins, une sous-population mérite d’être distinguée : celle des mineurs non accompagnés. Depuis 2015, des “gamins” de 12 à 25 ans, venus généralement du Maroc et d’autres pays d’Afrique du Nord se multiplient sur le territoire national. Ils vivent en bandes, subsistent de rapines et sèment la terreur.

    Combien sont-ils ? Selon la Dépêche du Midi« certaines estimations parlent de 50 000 ». Sans papiers, mutiques sur leur pays d’origine, ils sont difficiles à expulser. Aujourd’hui, 40 000 d’entre eux seraient pris en charge par les départements au titre de l’aide sociale à l’enfance (ASE), contre 25 000 en 2017 et 13 000 en 2016. Sachant que le coût d’une prise en charge par l’ASE atteindrait 50 000 euros par an, la facture devrait frôler les 2 milliards d’euros à la fin de l’année.

    Étranglés par cette dépense, les départements se retournent vers l’État, estimant qu’ils n’ont pas à faire les frais de sa politique migratoire. L’État compenserait – très – partiellement en assumant 17 % de la dépense (340 millions) selon les dernières propositions de Jacqueline Gourault, ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales. À ces 340 millions s’ajoutent 240 millions d’euros de frais d’“évaluation” payés par l’État avant placement dans les services sociaux des collectivités. Lorsque les mineurs atteignent leur majorité, les départements sont parfois conduits à poursuivre leur accompagnement via des contrats jeunes majeurs (5 000 signés en 2017, environ 30 000 euros par an chaque).

    La morale de cette affaire est que, en 2018, l’État a su budgéter environ 5 milliards d’euros pour financer l’immigration, mais cherche désespérément une somme équivalente pour financer les retraites auxquelles ces mêmes immigrés sont censés contribuer.

    Et quand ce même État affirme vouloir financer la perte d’autonomie des personnes âgées, c’est encore vers les retraités qu’il se tourne. Il faudrait que l’État comprenne qu’il ne peut mener une coûteuse politique migratoire qui semble n’avoir d’autre but que de faire baisser les salaires des autochtones tout en exigeant toujours plus de taxes de ces mêmes autochtones et toujours plus de réduction des avantages acquis.

    La révolte des “gilets jaunes” est née d’une contradiction similaire.

    Le Grand Abandon, les élites françaises et l’islamisme, d’Yves Mamou, L’Artilleur, 576 pages, 22 €.

    François des Groux

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  • Qui gagne ou perd avec les nouvelles règles pour les pensions de réversion ?



    4,4 millions de personnes (à 88 % des femmes) touchent une pension de réversion. 
    Ce déséquilibre entre les sexes s’explique par l’espérance de vie des femmes supérieure à celle des hommes. En outre, les maris sont, en moyenne, plus âgés que leurs épouses.

    Actuellement, dans le privé, la pension de réversion des conjoints mariés (à l’exclusion des PACS et du concubinage) est de 54 % pour la retraite de la Sécurité sociale, avec un maximum de 935 € et en dessous d’un plafond de revenus de 21.112 € (établi suivant des règles complexes) d’une personne seule, et de 33.000 € de celle qui est en couple (revenus du nouveau conjoint compris).
    S’y rajoutent 60 % de la retraite complémentaire (pris en compte dans le plafond de 21.112 €), mais ce supplément est supprimé en cas de remariage.
    Dans le privé, la pension de réversion est payée à partir de 55 ans (51 ans si le défunt est mort avant 2009).
    Pour les fonctionnaires, la pension de réversion est 50 % de la retraite que percevait ou qu’aurait perçue le conjoint décédé, sans aucune condition d’âge.
    Mais le couple doit avoir un enfant ou, à défaut, avoir duré quatre ans ou avoir été célébré deux ans avant la retraite du défunt.

    Cette réversion est supprimée si le bénéficiaire se remet en couple, mais elle peut être rétablie si cette nouvelle union est dissoute.
    En 2016, les femmes touchaient (hors réversion), en moyenne, 1.065 € bruts, contre 1.739 € pour les hommes ; 35 % des femmes ayant une pension inférieure de 50 % à celle de leur mari.
    Cette inégalité a tendance à s’estomper et les différences seront moins choquantes en 2035.
    Selon les nouvelles règles (pour le privé et le public, valables pour les personnes nées après 1975), le survivant d’un couple (marié) touchera, à partir de 55 ans, 70 % de l’ensemble des pensions des deux membres du couple, comme le rappelle Capital.
    Dans les faits seront gagnants les couples dont la femme touche moins de 47 % de la pension de son époux dans le privé, et moins de 66 % dans le public.
    Le total des gagnants ne dépassera pas 35 %.
    Pour le privé, seuls les couples qui ont des pensions supérieures à la moyenne seront gagnants (du fait de la suppression du plafond de ressources).
    Par exemple, si les deux époux gagnaient chacun 1.250 € avant le décès de l’un d’entre eux (pensions inférieures à la moyenne), le survivant percevrait 1.950 € avec l’ancienne règle et 1.750 € avec la nouvelle : 200 € de perte par mois !
    Si le mari gagnait avant son décès 1.730 € et sa femme 1.035 € (pensions moyennes) la veuve percevait 2.038 € avec l’ancienne règle et seulement 1.935 € avec la nouvelle.
    En revanche, si l’épouse gagne 1.230 € et le mari 2.000 €, les chiffres respectifs seront de 2.075 € (ancienne règle) et 2.260 € (nouvelle règle).
    Les couples aisés sont donc largement gagnants au détriment des plus modestes.
    Les divorcées, pour finir, toucheront une réversion, alors qu’il était question de les priver de toute pension et de taxer le mari au moment du divorce.
    Elle sera de × 55 % de la pension de l’ancien conjoint, où a est la proportion de la carrière où le défunt était marié avec la bénéficiaire : si le mariage a duré 21 ans et que le défunt a travaillé 44 ans, a vaudra 0,47.
    On ne partage plus la pension entre les conjoints anciens et actuels, et c’est une bonne chose.

    Christian de Moliner

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  • Gare de Lyon : 23 interpellations après des incidents en marge d'un concert

    Par LEXPRESS.fr ,

    Des véhicules en feu aux abords de la Gare de Lyon à Paris le 28 février 2020.

    Des véhicules en feu aux abords de la Gare de Lyon à Paris le 28 février 2020.Julien Claus / AFP

    "Des exactions inadmissibles ont lieu dans le secteur de Bercy en marge d'un concert", celui du congolais Fally Ipupa ce vendredi soir, a tweeté la Préfecture de Police.

    Les images des incendies sont impressionnantes. Elles sont liées à des tensions entre des opposants à la tenue du concert de Fally Ipupa, une star de la rumba congolaise, et des forces de l'ordre qui ont eu lieu ce vendredi à proximité de la Gare de Lyon et de Bercy, dans le 12e arrondissement de Paris. Vers 18h30, la préfecture a annoncé que le feu était maîtrisé. Elle a également déclaré avoir procédé à 23 interpellations et 54 verbalisations pour participation à une manifestation interdite. 

    Le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, a condamné "les dégradations et violences commises dans le secteur de la gare de Lyon par des individus qui ont bravé l'interdiction de manifester." Il a également apporté son soutien aux pompiers et aux forces de l'ordre.


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