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  • Voiture électrique, vers un échec et le retour aux moteurs thermiques

     

    Cela fait plusieurs années que j’explique (analyse à l’appui et de manière argumentée) que l’électrification des voitures est une ânerie écologique, technique et que cela ne va pas fonctionner, parce que les pré-requis ne sont pas là. Je me suis fais insulter et traiter de tous les anathèmes d’usage, notamment de « climatosceptique »… comme si dire que la voiture électrique était une ânerie consistait à parler du climat en affirmant que tout irait bien ou pour le mieux. Mais avec les religieux de la sainte église écologiste nous avons droit au pire des khmers verts.

    Par exemple électrifier le parc de véhicule est possible avec la construction de 20 centrales nucléaires de plus et avec la mise en place d’un nouveau réseau de distribution électrique à la hauteur de la puissance nécessaire pour recharger rapidement des batteries de plus en plus grosses et puissantes. D’un point de vue écologique, la fabrication, la réparation et le recyclage des VE sont aussi polluants que couteux.

    Je ne parle même pas de la praticité de ces engins qui nécessitent des arrêts importants de rechargement, et la perte d’autonomie qu’ils impliquent.

    Alors oui, il y a eu un engouement. Celui de ceux qui avaient de l’argent ou qui voulaient s’acheter une « indulgence » climatique en se donnant l’illusion de la vertu.

    Une fois cette catégorie de clients équipée du saint véhicule électrique… il reste la masse sans argent et pour qui un sou est un sou et qui continue à acheter des voitures diesel… dont les ventes repartent à la hausse, d’autant plus que les voitures électriques sans les aides massives des États… ne se vendraient pas.

    Bref, c’est un immense gâchis et l’exemple même de ce que l’Union Européenne peut faire de pire en économie administrée.

    Un bel exemple de l’échec de l’UE.

    Charles SANNAT

     

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  • Les sanctions de l’UE contre la Russie : un échec cuisant qui coûte cher à l’économie européenne

    L'UE a imposé une treizième série de sanctions contre la Russie, ajoutant 200 noms à la liste des personnes sanctionnées et gelant leurs avoirs. Cependant, les sanctions ont un impact limité sur l'économie russe et coûtent cher à l'économie européenne. Les manifestations d'agriculteurs dans plusieurs pays européens démontrent que la crise économique en Europe est directement liée à la politique de sanctions et au financement du conflit en Ukraine.

    Fin février, les États membres de l’Union européenne se sont mis d’accord sur une treizième série de sanctions à l’encontre de la Russie, bien qu’ils soient de plus en plus critiqués pour l’incapacité des restrictions déjà en vigueur à mettre un terme à la guerre en Ukraine.

    Ce train de mesures a permis d’ajouter quelque 200 noms à la liste des personnes sanctionnées auxquelles il est interdit de se rendre dans l’Union européenne, tandis que les avoirs de ces personnes et de ces entreprises sont gelés.

    Par ailleurs, un certain nombre d’entités ont été nouvellement inscrites sur une liste qui leur interdit d’importer certains biens en provenance d’Europe.

    Selon les officiels de l’UE, les sanctions visent à perturber la chaîne d’approvisionnement pour le développement et la production de biens militaires. Des dizaines d’entreprises étrangères de pays tiers sont concernées par ces nouvelles restrictions. Ainsi, l’Union européenne a imposé des sanctions à dix entreprises étrangères, dont quatre chinoises et une du Kazakhstan, de l’Inde, de la Serbie, de la Thaïlande, de Singapour, du Sri Lanka et de la Turquie. Selon Bruxelles, toutes ces entreprises aident la Fédération de Russie à contourner les mesures de l’UE.

    Cependant, l’Occident admet directement que les sanctions de l’UE n’ont pas pu briser l’économie russe en deux ans. Les mesures préparées à la hâte à la veille du 24 février sont de nature symbolique et ne causeront pas de dommages sérieux à la Fédération de Russie.

    Selon les données de la Commission européenne, l’économie russe continue de croître malgré les sanctions économiques occidentales.

    Le célèbre musicien Matthias Moosdorf, membre du Bundestag appartenant à la faction Alternative pour l’Allemagne, a exprimé l’opinion selon laquelle les sanctions occidentales contre la Russie touchent principalement les économies des pays de l’Union européenne.

    Le parlementaire allemand a déclaré qu’« en Russie même, elles renforcent la mentalité d’une «forteresse assiégée». Le coût réel des sanctions pour l’UE a déjà dépassé les 500 millions d’euros ».

    Ainsi, les manifestations d’agriculteurs qui ont lieu en Allemagne, en France, en Italie, en Espagne, en Pologne, au Portugal, aux Pays-Bas, en Suisse, en Grèce, en Bulgarie, en Lituanie, en Roumanie, en Belgique et en République tchèque démontrent que la crise économique en Europe est directement liée à la politique de sanctions et au financement du conflit en Ukraine.

    Matthias Moosdorf a souligné de manière convaincante que « l’on ne peut pas gagner dans une confrontation directe avec une puissance nucléaire ». « C’est tout simplement ridicule et c’était voué à l’échec dès le départ », a ajouté Moosdorf.

    De l’avis de nombreux experts, le prochain train de sanctions de l’UE n’entraînera pas de pertes pour l’économie russemais pourrait avoir des répercussions négatives sur l’économie européenne et les relations politiques avec des pays tiers, tels que la Chine.

    Ainsi, dans sa politique de sanctions, l’Union européenne ne fait que renforcer les restrictions à l’encontre des pays tiers. Les analystes sont convaincus que les nouvelles mesures ont été adoptées relativement rapidement par l’UE et qu’elles sont de nature symbolique.

    Aujourd’hui, ces accords ne sont rien d’autre qu’une démonstration de la faiblesse de la position de l’UE.

    En outre, la situation pourrait se compliquer. La Chine pourrait réagir de manière très sensible à ce genre de choses. Bien sûr, les Européens et les Chinois ne sont pas prêts à sacrifier leurs liens aujourd’hui. Mais, comme c’est souvent le cas dans les relations internationales modernes, la politique l’emporte sur la rationalité économique. Par conséquent, si les entreprises chinoises sont incluses dans les nouveaux trains de sanctions, nous assisterons à une perplexité accrue de la part des dirigeants chinois, et un nouveau fossé sera creusé dans les relations entre l’UE et la Chine.

    Le représentant permanent de la Chine auprès des Nations unies, l’ambassadeur Zhang Jun, a déclaré que Pékin s’opposait à l’utilisation abusive du facteur ukrainien pour justifier des sanctions à l’encontre de la Chine. Il a ajouté que la Chine continuerait à prendre toutes les mesures nécessaires pour protéger les intérêts légitimes de ses entreprises et de ses citoyens.

    Les responsables politiques européens doivent peser soigneusement leurs décisions concernant les nouvelles restrictions, qui constituent un aller simple pour leurs économies.

    Adomas Abromaitis

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  • L’écologie punitive s’étend chaque jour à de nouveaux domaines.

     

    Les informations en provenance du terrain remontent petit-à-petit et l’horreur se précise, avec tout ce qu’elle peut comporter de scandaleux : l’écologie ne serait plus la préoccupation numéro un des Français et, par voie de conséquence insupportable, de toutes les entreprises en France !

    Oui, vous avez bien lu et même si certains ultralibéraux mangeurs de chatons communistes l’avaient pourtant prédit, tout porte à croire qu’à mesure que l’économie montre des signes clairs de toussotements catarrheux et que la lutte contre l’inflation s’impose à tous les commerces pour capter le peu de pouvoir d’achat restant aux Français, la nécessaire Écologie de la Rédemption Ultime quitte petit-à-petit le champ des préoccupations des entreprises et des commerces.

    Et donc, à mesure que les Français s’appauvrissent sous l’augmentation des prix, des taxes, des contraintes et des impôts, ceci se traduit inévitablement par une recrudescence de la publicité ciblée sur les produits bons marchés, à bas prix.

    Dans ces produits, on trouvera assez logiquement l’alimentaire et, plus récemment, l’habillement : le vestimentaire bon marché, pompeusement rebaptisé “fast fashion”, semble faire son entrée en force dans les ménages français qui semblent assez bien se satisfaire de vêtements à petit prix. Malheureusement, cette nouvelle tendance ne peut qu’irriter l’élite française car, comme chacun le sait, laisser tomber l’écologie, c’est contraire au dogme, à la religion, c’est véritablement une offense à Gaïa.

    Sans surprise, un nouveau combat apparaît : la lutte est lancée contre la “fast fashion”, cette abomination anti-écologique qui tue des ours polaires, provoque le réchauffement climatique et creuse les inégalités de genre. Cette lutte ne peut se comprendre qu’au travers d’un projet de loi que se sont empressés de déposer nos vaillants gaïatollahs législateurs, jamais en retard d’une vexation contre les Français modestes.

    Soyons clairs : on ne pourra pas gagner cette guerre contre les gens qui s’habillent pas cher et renouvellent trop souvent leur garde-robe sans préparer les esprits, sans les rendre malléables aux idées bienfaitrices de la décroissance et de la réduction vestimentaire essentielle. On pourra donc commencer par multiplier les articles et les reportages de sensibilisation visant à démontrer que cette “fast fashion” est une abomination de l’enfer contre laquelle il faut lutter pied à pied.

    Grâce à des messages niais simplistes clairs, notamment basés sur une écologie punitive, on pourra enfin mener le fer dans la plaie.

    Bien sûr, pour ceux qui ont encore un peu de lucidité en ces temps troublés, il ne s’agit rien d’autre qu’une nouvelle tentative d’emmerder les Français et de lutter contre les solutions apportées par le marché d’obtenir des biens et des services à pas cher : le capitalisme étant cette pluie qui provoque cette abominable sécheresse partout où elle ne tombe pas, il sera combattu par l’écologie qui entend non pas défendre la planète, mais défendre à tout le monde d’exister paisiblement dessus.

    Dès lors, les écologistes s’élèvent contre le “fast fashion” alors qu’il s’agit surtout de vêtements à petits prix. Notons le renommage, nécessaire, puisqu’il permet de stigmatiser le produit et la méthode de vente, même si elle permet pourtant à des gens modestes avec un petit pouvoir d’achat de s’habiller.

    Très concrètement, nos gaïatollahs veulent que les pauvres s’habillent pauvrement, c’est tout.

    On retrouve le même raisonnement idiot, les mêmes procédés rhétoriques, le même appel à l’écologie de bazar avec les camions à remorques longues, subtilement rebaptisés “méga-camions” : on assiste ici à la même méthode sémantique et publicitaire que l’accolage d’ultra, de turbo ou de giga sur un terme que les écolos veulent détériorer afin de le rendre péjoratif.

    Ces moyens de transports permettent une économie d’énergie de 21% par tonne transportée (selon l’agence américaine de protection de l’environnement), mais nos écolos de pénitence forcée sont révulsés à l’idée qu’ils puissent être autorisés sur les routes européennes : il faut contraindre voire faire disparaître ces abominations sur roues.

    Et tout comme pour la mode à petits prix ou les camions longs, ces mêmes écolos-bouffons se sont bruyamment élevés contre “l’artificialisation des sols”.

    Notez, là encore et sans surprise, cette expression débile pour transformer une réalité simple (l’exploitation d’un morceau de terrain et sa mise en valeur au travers de projets fonciers ou industriels) en abomination péjorative puisqu’on “artificialise” (?) des sols : tout projet de vie, toute velléité d’aménager son environnement pour simplement y vivre correctement est un affront, une offense à la Déesse Nature qu’il faut absolument combattre. L’Humain, cette plaie, doit expier la faute commise par sa propre existence.

    Le bilan est simple : après avoir sacralisé cette nature au point de ne plus pouvoir y toucher, les entreprises ne peuvent plus se développer, chaque extension, chaque tentative se traduisant par des casse-têtes fonciers, légaux et administratifs. Ces entreprises, ce sont des emplois, donc des individus qui voient leur avenir menacé par ces avalanches de normes et de contraintes qui sont bien plus artificielles que ces sols qu’ils aimeraient aménager.

    En réalité, cette surenchère dans les sujets écolos et cette lutte contre la simple amélioration du quotidien n’est pas un hasard : les âneries écologiques sont passées du domaine de l’idéologie à l’application concrète et se sont traduites par une explosion des prix de l’énergie, une crise de l’immobilier (merci le DPE), une augmentation de la pollution (l’Allemagne en étant la démonstration quasi caricaturale), des pertes d’emplois (dans les secteurs immobiliers et automobiles par exemple), des allocations massives et économiquement catastrophiques de capital dans des lubies et une diminution du niveau de vie qui amènent la misère pour tous, bref, un effondrement du bien être général en échange d’une nature même pas préservée

    Or, ne pouvant se dédire après des décennies à clamer que l’écologie était une solution permettant d’améliorer le sort de tous et de chacun, les intégristes de l’écologie punitive sont à présent coincés et ne peuvent plus guère que renchérir : si l’écologie provoque des problèmes de plus en plus graves, c’est bien sûr la faute du capitalisme et surtout… parce qu’on n’a pas fait assez d’écologie, pardi !

    parabole de l'aspirine (c) Maître Du Monde

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