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  • Attal ferait mieux de s’intéresser à la menace algérienne…

    La marine de guerre algérienne devient l’une des plus puissantes du bassin méditerranéen, affirme le site                          « Menadéfense », spécialisé dans les informations dans le domaine militaire dans la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord.

    Après avoir reçu son cinquième sous-marin, de type Kilo-636, de fabrication russe.

    Un sixième sous-marin, de même type a été livré également à l’Algérie, au cours de l’année 2018.

    (On peut s’étonner que, malgré les liens d’amitié paraît-il si étroits entre la France d’Emmanuel Macron et l’Algérie, ce pays « ami » commande des sous-marins à la Russie et non pas à la France).

    Actuellement l’Armée populaire algérienne est classée à la 23e place des armées les plus puissantes du monde, après l’Égypte (classée 10e) et l’Arabie saoudite (22e), selon le classement établi par le site « Global Firepower ».

    Dans ce classement mondial, les USA occupent la première place devant la Russie, la Chine et l’Inde. La France est au cinquième rang, précédant l’Angleterre et le Japon. À la huitième place se situe la Turquie puis vient l’Allemagne.

    Ce classement est sujet à caution car Israël, qui en occupe la 15e place, a certainement un potentiel militaire plus important (le plus important en tous les cas du Moyen-Orient) que la Turquie, l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, l’Iran et l’Égypte, qui est loin, actuellement, d’occuper ce dixième rang qui lui est attribué, et qu’elle méritait il y a quelques années.

    On peut comprendre que l’Arabie saoudite augmente son potentiel militaire, elle a des ennemis dans la région, notamment l’Iran.

    On peut comprendre que la Turquie augmente son potentiel militaire, elle peut tenter ainsi d’imposer les menaces de son dictateur, Erdogan, vis-à-vis de l’Europe, de tous temps contre les Kurdes et d’autres nations du Moyen-Orient.

    Mais l’Algérie, contre qui s’arme-t-elle ? Contre le Maroc, éventuellement, qui a déjà du mal à contenir les « Sahraouis », son « Front Polisario » et sa RASD (République arabe sahraouie démocratique), dont l’Algérie est l’alliée, pour le moment (en attendant le partage envisagé du Sahara occidental) ?

    Pas contre la Tunisie, qui, l’on s’en souvient, a préféré affronter l’armée française, en 1961 à Bizerte, plutôt que l’armée populaire algérienne, ce qui lui a d’ailleurs coûté une partie du sud saharien (et son pétrole) qu’elle revendiquait, baptisée « Borne 233 ».

    Pas non plus contre la menace existante et présente du terrorisme islamiste (Daech, Aqmi, et les djihadistes qui s’implantent progressivement dans le nord du pays et l’Afrique subsaharienne) car, que je sache, ils n’ont pas de marine de guerre !

    Alors, je pose la question : contre qui ?

    Peut-être que la réponse se trouve dans son hymne national :

    « Ô France ! Le temps des palabres est révolu. Ô France ! Voici le jour où il te faut rendre des comptes. Prépare-toi ! Voici notre réponse : Le verdict, Notre Révolution le rendra. »

    Ne serait-il pas judicieux, afin que toute cette jeunesse algérienne, qui ne rêve que de la France, ne soit pas « bercée » par ces paroles « inopportunes » de vengeance un demi-siècle plus tard, de les remplacer par des paroles d’espoir ?

    Le « jeune » Premier ministre Attal ferait bien mieux, au lieu d’insulter et d’accuser de trahison le RN et Marine Le Pen (au service de Poutine), de s’inquiéter davantage de la menace d’un pays voisin qui a déjà une importante armée à son service sur notre sol !

    Manuel Gomez


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