• Richard Roudier (70 ans) opéré en urgence après des violences policières (21 jours d’ITT)

    Richard Roudier (70 ans) opéré en urgence après des violences policières (21 jours d’ITT)

    26/07/2017 – 19h15 Montpellier (Lengadoc Info) – Le président de la Ligue du Midi, Richard Roudier, et son fils Olivier -porte parole du mouvement- étaient convoqués ce lundi 24 juillet au commissariat de Montpellier pour une simple audition. Aussitôt placés en garde à vue, ils sont sortis 30h après, avec un placement sous contrôle judiciaire et convocation au tribunal. Richard Roudier, quant à lui, a du être transféré aux urgences pour subir une opération chirurgicale suite à des violences policières en cellule.

    Le président de la Ligue du Midi passe 30 heures en garde à vue

    Richard Roudier et son fils Olivier, étaient convoqués ce lundi au commissariat de Montpellier pour une simple audition suite à l’occupation spectaculaire par des militants de la Ligue du Midi, des locaux d’une association subventionnée qui accueille des mineurs isolés étrangers. Des immigrés clandestins qui sont à l’origine de nombreuses agressions et violences dans le centre-ville de Montpellier.

    Arrivés au commissariat, Richard Roudier et son fils ont été immédiatement placés en garde à vue et ont passé la nuit en cellule pour être présentés devant le procureur le lendemain au Tribunal de Grande Instance.

    Au final, plusieurs chefs d’accusation ont été rapidement écartés, comme, par exemple, les accusations de racisme. Richard Roudier et son fils ont donc été libérés au bout de 30 heures de garde à vue mais placés en contrôle judiciaire et convoqués au tribunal début décembre. Ils sont poursuivis pour les faits de dégradations en réunion. « En guise de dégradations, on me reproche la casse de 4 tasses à café, c’est n’importe quoi ! » précise Olivier Roudier.

    Violences policières contre Richard Roudier et refus de soins pendant la garde à vue

    Mais l’affaire ne s’est pas arrêtée là puisque Richard Roudier a du être évacué par les pompiers et hospitalisé suite à des violences exercées contre lui par au moins un policier alors qu’il était en cellule. Les faits nous ont été relatés par Olivier Roudier, témoin direct de la scène, joint par téléphone et confirmés par une source policière présente dans le bâtiment au moment des faits.

    « Mais le pire est arrivé au moment où nous allions partir au moment de passer devant le Juge des Libertés et de la Détention (JLD). Un officier de police, qui s’est présenté comme étant le chef de la souricière, avait pris mon père en grippe et après lui avoir refusé son cachet d’aspirine, il lui refusait d’aller aux toilettes. Afin de mettre fin à la discussion, le policier a violemment fermé la porte de la cellule en coinçant les doigts de mon père dans la charnière. Il a même verrouillé la porte, les doigts de mon père encore coincés à l’intérieur ! Et pendant une ou deux minutes ! Il est ensuite parti au bout du couloir. Mon père hurlait de souffrance et moi je criai pour que quelqu’un vienne ouvrir la porte. Le policier est revenu et a enfin ouvert, juste le temps que mon père retire ses doigts. Il a ensuite refermé et est reparti. Mon père est resté sans soins pendant plus de dix minutes dans la cellule. Il y avait du sang partout et on croyait qu’un des doigts était sectionné. Mon père hurlait et moi je criai pour qu’on appelle les pompiers. Toujours le même flic, un gaillard de 100 kilos, nous a alors dit que si nous n’arrêtions pas de crier, il n’appellerait pas les pompiers… Hallucinant ! Même ses collègues étaient espantés. Les pompiers sont arrivés au bout d’un quart d’heure et mon père a pu avoir les premiers soins. La JLD était furax et elle a même du faire signer ses papiers à mon père dans le camion des pompiers. »

    Richard Roudier

    Richard Roudier a donc été transporté aux urgences de l’hôpital de La Peyronie. Il a été opéré avec succès durant 1 heure par plusieurs spécialistes de la main dans la soirée. Il est ressorti ce mercredi avec 21 jours d’ITT.

    La Ligue du Midi promet de ne pas en rester là et une plainte serait à l’étude.

    Richard Roudier

    Photos : Ligue du Midi/Roudier

    http://www.lengadoc-info.com/5352/politique/richard-roudier-70-ans-opere-urgence-apres-violences-policieres-21-jours-ditt/


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  • L’arrivée massive des migrants fait exploser le nombre d’excisions en Allemagne

    L’ONG Terre des Femmes estime à 58.000 le nombre de femmes vivant en Allemagne qui ont subi des mutilations génitales féminines (MGF), et à 13.000 supplémentaires les mineures à risque, des chiffres qui ont augmenté respectivement de 10.000 et de 4.000, depuis 2016.

    “À cause de l’afflux des migrants de pays comme l’Érythrée, la Somalie et l’Irak nous constatons une augmentation énorme du nombre de femmes et de filles vulnérables touchées”, s’inquiète Charlotte Weil, membre de l’ONG de défense des droits des femmes, rapporte le Spiegel.

    L’excision, pratique traditionnelle dans de nombreux pays d’Afrique et du Moyen-Orient, peut causer hémorragies, infections urinaires, règles douloureuses, douleurs chroniques, diminution du plaisir sexuel et problèmes durant l’accouchement, entre autres complications.

    Il y a au moins 500.000 victimes de ces mutilations et 180.000 supplémentaires à risque en Europe, selon les dernières estimations du Parlement européen, datées de 2009. Depuis, l’arrivée massive de migrants, notamment en Allemagne, a aggravé la crise sanitaire.

    Source : Valeurs Actuelles via Fdesouche


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  • Un policier lynché par une trentaine d’émeutiers dans l’enclave afro-musulmane de Sevran (93)

    Un policier motard de la Compagnie de Sécurisation et d’Intervention du 93 (CSI 93) a été violemment attaqué et lynché la nuit dernière dans l’enclave afro-musulmane de Sevran (Seine-Saint-Denis) vers 2h, par une trentaine d’individus qui avaient bel et bien décidé de s’en prendre à lui avec le maximum de violence.

    Actu17 (source) :

    Alors que la nuit a été particulièrement agitée en Seine-Saint-Denis, notamment à Aulnay-sous-Bois où un motard a trouvé la mort en prenant la fuite, refusant un contrôle de police, des incidents ont également éclaté à Sevran dans le quartier du Pont-Blanc, notamment. Poubelles incendiées et jets de pierres pour les policiers venus soutenir les pompiers, ces derniers ont été contraint de demander du renfort.

    Un policier a violemment été lynché par une bande ethnique :

    C’est alors que deux policiers motards de la CSI 93 se sont approchés des lieux et ont été pris violemment à partie, quartier de la Cité Basse à Sevran, par une trentaine d’individus. L’un des motards a alors chuté au sol devant le nombre d’agresseurs venus à son contact direct. Ces dizaines d’agresseurs, certains armés de barres de fer, ont alors encerclé le policier au sol qui a été très violemment roué de coups. Selon nos informations, la trentaine d’auteurs n’a pas hésité à casser une pierre de la taille d’un parpaing sur son casque, mais a également tenté de lui voler son moyen de défense lacrymogène. Le policier a été traîné au sol sur une trentaine de mètres alors qu’il recevait une pluie de coups.

    Le policier a pu être exfiltré in extremis par des renforts :

    Vu la situation critique à laquelle il était confronté, ce dernier a été contrait d’ouvrir le feu plusieurs fois avec son arme de service. L’un des agresseurs a alors été blessé au ventre. Selon le journal Le Parisien, le pronostic vital de ce dernier ne serait toutefois pas engagé. Le policier a alors pu être secouru par des renforts, le visage ensanglanté, présentant de multiples contusions partout sur le corps. Selon nos informations, ce samedi matin, il était toujours hospitalisé. Aucune interpellation n’a d’autre part eu lieu, pour l’heure, suite à ces faits.

    Sevran est une enclave afro-musulmane rongée par le salafisme grâce à la bienveillance de la municipalité écolo-gauchiste dirigée par Stéphane Gatignon. Le journaliste Bernard de la Villardière avait été violemment pris à partie par des allogènes alors qu’il faisait un reportage sur la progression islamiste sur la commune.

    Source : http://breizatao.com


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  • Justice immanente : A Colmar, une racaille tombe du troisième étage en voulant cracher sur des policiers

    Qui fait le malin… Un habitant de Colmar est tombé mardi matin du 3e étage de son immeuble. La raison de sa chute ? Il a tenté de cracher sur une voiture de police. Devant quelques amis qui passaient la soirée avec lui, il a pris de l’élan avant de s’élancer vers le balcon. Manque de chance, il a basculé de l’autre côté avant d’aller s’écraser dans les bosquets en contrebas. Il souffre d’un traumatisme crânien et de plusieurs fractures. Ironie de l’histoire, les policiers sont montés contrôler les amis de cet homme. L’un d’entre eux, condamné à plusieurs mois de prison, était en fuite. Il a donc été arrêté.

    Source : http://valeursactuelles.com


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  • Val-de-Marne : un fiché S travaille... au commissariat ...

    un fiché S travaille... au commissariat ....

    Deux hommes, bien connus des services de police, dont l'un d'eux fiché S, se sont rendus tranquillement dans un commissariat pour travailler.

    L'un est fiché S car on le suspecte d'être en relation avec la mouvance islamiste radicale. L'autre est très connu notamment pour braquage ou outrage. Voilà le profil des deux hommes qui ont travaillé jeudi dernier pour le compte d'une entreprise de nettoyage dans un commissariat du Val-de-Marne. Après avoir désinfecté une cellule, ce qui n'a pris que quelques minutes, ils quittent les lieux. Après coup, les policiers, intrigués par leur comportement, font part de leurs doutes à leur supérieure. Cette dernière leur demande de passer les noms à l'ordinateur. Et là, gros malaise.

    L'affaire est d'autant plus embarrassante que l'un des deux hommes, celui fiché S, avait présenté une carte de la préfecture de police, par laquelle il était mandaté. «Je ne comprends pas que cela puisse être possible, s'étrangle un policier. On passe notre temps à faire respecter des consignes de sécurité. On contrôle chaque visiteur. Mais là, il y avait une accréditation !»

    L'un a baissé la tête, l'autre paraissait nerveux

    «Les deux intervenants avaient, pour l'un, un badge périmé et, pour l'autre, une absence de badge», précise-t-on à la préfecture de police. Et d'ajouter que «les deux faisaient l'objet de signalements auprès des services de police [mais qu'un] des salariés s'était vu délivrer son accréditation avant l'existence de ce signalement».

    Les fonctionnaires du commissariat, eux, avaient tiqué dès l'entrée des deux hommes. Celui qui est très connu des services aurait baissé la tête en présentant son permis. L'autre aurait eu l'air pressé. Toujours est-il que pour «prévenir ce type d'incidents à l'avenir, la préfecture de police rappellera dès la semaine prochaine par courrier à toutes les sociétés intervenant sur ses sites que leurs salariés doivent être préalablement habilités par la préfecture de police». Les demandes d'habilitation doivent d'autre part «être régulièrement renouvelées». Si elles ne respectent pas ces conditions, ces sociétés «ne pourront être autorisées à pénétrer sur les sites de la préfecture de police».

      Le Parisien


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