Enquête par Elodie Guéguen
C’est une ville frappée de plein fouet par le djihadisme. Trappes, 30 000 habitants, à 25 kilomètres de Paris, et entre 60 et 80 habitants ayant cherché à rejoindre Daech en Syrie.
Trappes, bastion du djihadiste Français
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En France on n’a pas de pétrole, ou en tous cas pas beaucoup, mais en tous cas on a des idées ! Pas toujours les bonnes d’ailleurs… J’ai failli en tomber dans ma chaise quand j’ai entendu cette info hier matin sur Europe 1 !
Grâce à la réforme du collège voulue par Najat Vallaud Belkacem, qui impactera d’une part l’enseignement du latin et du grec mais qui aussi à terme pourrait provoquer la disparition de nos collèges de l’enseignement de l’allemand, alors que l’Allemagne est le premier partenaire commercial français, on apprenait hier matin que la Ministre de l’Education avait encore bien d’autres idées derrière la tête.
Il n’y a pas que les langues qui feront les frais de sa réforme ; il y a aussi l’histoire.
Il semblerait qu’à compter de la rentrée 2016, l’enseignement de l’histoire de l’Islam en 5ème deviendrait un « module obligatoire », alors que celui de la Chrétienté au Moyen Age deviendrait facultatif.
Certes, cela ne veut pas dire pour autant que les profs d’histoire feront l’impasse sur l’histoire de la chrétienté, mais nul ne peut nier le risque qui existe, à force de réformes et de refontes des programmes scolaires, que l’enseignement prévu aux cours d’histoire finisse à terme par écarter d’office toute discipline jusqu’à lors facultatives, par simple manque de temps. A raison d’à peine quelques heures d’enseignement par semaine, difficile de croire que les profs pourront balayer à la fois les modules obligatoires et les modules facultatifs… Du coup, à terme, l’enseignement de la Chrétienté au Moyen Age risque de passer à la trappe…. A la faveur de celui de l’Islam.
De manière subversive, ni plus ni moins, on cherche à relancer la question de la culpabilisation de l’Histoire de France… D’autant plus que les conquêtes coloniales et la traite négrière seront à terme privilégiés, au détriment de l’enseignement du Siècle de Lumières qui de son côté deviendra facultatif.
Seul point positif, le texte de cette réforme n’est pas encore arrêté et devrait l’être, si tout va bien, d’ici la mi-mai. C’est-à-dire dans vraiment pas longtemps. De quoi nous promettre des débats animés… Ou quand la gauche se sert de l’école pour faire passer son message idéologique tout en cherchant à creuser encore un peu plus le lit de l’extrême droite…
J’ignore exactement ce que recherche la Ministre de l’Education en voulant détruire notre école. Par ailleurs s’attaquer aux programmes est un faux problème puisque nul n’est dupe sur le fait que ça ne solutionnera en rien les maux dont souffre actuellement l’école de la République… Mais ça occupe… En s’agitant elle donne l’impression d’agir… Pourtant un jour il faudra bien s’attaquer au Mamouth…
Je disais l’été dernier, alors que Manuel Valls venait de dissoudre son Gouvernement, que je trouvais anormal qu’une femme comme Najat Vallaud Belkacem en soit déjà, à cette époque, à son 3ème portefeuille Ministériel en 30 mois à peine. On n’a pas le temps, à raison d’un Ministère nouveau tous les 10 mois, de se consacrer à sa tâche et à ses dossiers ; du coup on est obligé, lorsque l’on est nommé Ministre, de se reposer sur le travail des autres… Le problème dans le cas de figure que je présente c’est qui sont ces autres ?
Que lui avons-nous fait et quelle doctrine idéologique régie leur quotidien pour qu’ils en arrivent à vouloir radier, de manière très subversive, ce qui fait l’histoire de notre pays et sa culture, à la faveur d’une culture qui n’est pas celle de nos racines ?
On attend les réponses des grands penseurs… Pas celles de ces trous du cul qui hurlent au racisme dès qu’on s’attaque à ce genre de sujets histoire de mieux contourner le problème. Non on attend l’intervention de gens étant dotés d’une certaine capacité d’écoute, de recul et d’analyse.
Oui je sais… C’est trop demandé à des personnes de gauche… Mais gardons espoir !
Pour 1 euro de cotisation sociale des employeurs et des intermittents, l’assurance-chômage verse 4,10 euros d’allocations.
À l’heure où je vous écris, on tourne un film dans la rue d’à côté. Les voitures des riverains distraits (ceux qui n’avaient nul autre endroit où les garer) sont parties à la fourrière, remplacées par de gros camions qui laissent à peine le passage. Les trottoirs, eux aussi, sont envahis par une armée qui plastronne et toise les passants en tentant de les forcer au détour. À peine si l’on peut rentrer chez soi. Ces « intermittents du spectacle » ont posé là leurs fauteuils, à côté de la roulante. De temps en temps, un gros moustachu se relève pour bouger un câble, puis il se replante là avec sa grosse panse et sa bière. Et ce soir, peut-être, il ira soutenir les camarades de la CGT-Spectacle en lutte contre les cadences infernales…
Ils sont en effet une cinquantaine à avoir investi le théâtre de l’Odéon d’abord, la Comédie-Française ensuite, pour peser sur – on pourrait dire prendre en otage – les négociations en cours. Des artistes en danger de mort à cause d’un État qui veut tuer la culture, comme on voudrait nous le faire croire ? Pas franchement. Aux dires des participants qui campent derrière la banderole – « De l’argent, il y en a, construisons de nouveaux droits » – sur la terrasse de l’Odéon, ils seraient « une cinquantaine d’étudiants, de chômeurs, d’intermittents, de précaires, et de “nuitdeboutistes” ». La culture, on vous dit.
Réunis en assemblée « générale » (sic !), ils ont voté aussi l’occupation de la Comédie-Française. Cinq salles de province ont suivi, privant elles aussi le public de sa soirée. Car, bien sûr, les directeurs de théâtre, souvent tout aussi gauchistes que cette poignée d’intermittents du spectacle et permanents de la vacuité, refusent qu’on les évacue. Parlez-leur du théâtre populaire et gratuit car archi-subventionné, oui, mais pas de ces salauds de bourgeois qui achètent encore leurs billets ! Et qui paient des impôts pour entretenir des armées de planqués du spectacle qui, pour la plupart, ne sont pas artistes ni même souvent techniciens.
Car tout le monde – télés, sociétés de production et autres – déclare son personnel comme intermittent du spectacle. De la secrétaire au comptable en passant par le coursier. Résultat : le régime d’assurance-chômage du spectacle accuse chaque année un déficit d’environ 1 milliard d’euros, soit un quart du déficit global. Pour savoir ce que représente ce chiffre, c’est le coût total de la ligne Express Nord, le tramway du Grand Paris qui joindra à terme banlieues ouest et est, et dont le premier tronçon (Épinay-sur-Seine/Le Bourget) a été mis en tension ce matin.
Comme le rappelle utilement Le Figaro : « L’allocation journalière brute versée par l’assurance-chômage est de 62 euros en moyenne pour les ouvriers et techniciens du spectacle, et de 53 euros pour les artistes, soit une moyenne de 58 euros. C’est nettement plus que le montant moyen de l’allocation journalière pour l’ensemble des bénéficiaires de l’assurance-chômage, qui est de 38,40 euros. »
Autre précision d’importance : pour 1 euro de contribution sous forme de cotisation sociale des employeurs et des intermittents, l’assurance-chômage verse 4,10 euros d’allocations. En 2014, elle a versé 1,3 milliard d’euros. Faites le calcul.
Source : bvoltaire
Des terres agricoles rachetées par un mystérieux groupe chinois dans le Berry
Mesdames ,Mesdemoiselles,Messieurs
Voilà plusieurs années que nous dénonçons le risque que les terres agricoles Françaises (et européennes) soient convoitées et accaparées par des entreprises étrangères et/ où multinationales, et j'en ai déjà fait part dans mes commentaires a l'époque au FN avant 2010. comme sur la base industrielle de Déols Martinerie,région Châteauroux dans l'Indre, Ils doivent par la suite (en prévision) construire école, hôtel, restaurant a un prix à la consommation de toute compétitivité de son voisin locaux Castelroussins ..
Imaginez un monde où ces pieuvres contrôleront la production alimentaire d'un bout à l'autre de la chaîne, et dormez bien. Dont l'aéroport à proximité et par la forme verbale est un atout pour eux dont de gros porteurs peuvent y avoir accès sans se contraindre de la piste .
D'un côté l'Europe laisse notre agriculture sombrer sous le poids des normes et directives du tout venant , de l'autre la France ne fait rien pour empêcher que notre patrimoine et nos terres et commerces .
Recouvrons notre souveraineté, laissons aux agriculteurs les libertés nécessaires à l'accomplissement de leur travail, protégeons et valorisons nos terres pour retrouver notre indépendance alimentaire : en un mot, il faut remettre la politique au service des Français !La société Hongyang a acquis discrètement plusieurs terres agricoles dans le département de l'Indre...
DISCRÈTEMENT ! on se moque de qui ?
La moindre parcelle de terre ou vigne est suivie par la SAFER .dont bien responsable et complice de ce système .Safer et FNSEA deux fossoyeurs de l'agriculture Française ... Les SAFER n'ont plus lieu d'exister, elles coutent très cher à l'état et, n'ont plus aucun rôle à jouer, Sarko voulait les supprimer. Elles peuvent être remplacées par le notaire ! Mais tout cela est de la bonne combine.. où ? que je te tiens par la barbichette .
Dont bien sur que les agriculteurs n'y peuvent rien. Ils sont étranglés de toutes parts... Alors quand un Chinois (travail déjà avec sa propre famille) dont n'importe qui lui achète un hectare à 3 fois le prix. Ils n'hésitent pas. C'est humain, ces gens ont aussi des dettes et ont peu de salaires... C'est aux élus de s'alarmer, mais voilà nous avons eu des gouvernements de gauche ou de politique de gauche pour leurs bons pouvoirs (pouvoir se remplir les poches) ... On brade notre indépendance alimentaire. En tout cas, malin les Chinois, ils connaissent bien mieux nos lois que nos élus régionaux ! Ils viennent avec des hommes de conviction qui savent lire surtout entre les lignes ... Le prix des terres agricoles en France est notoirement bas en France, comparé aux prix mondiaux des terres agricoles. C'est un effet collatéral du statut du fermage qui pourrait bien se retourner contre l'agriculture Française. L'intervention étatique qui fausse les équilibres économiques finit toujours par avoir des effets négatifs. Et il n'y a pas que dans l'Indre.
Comment l'État Français abandonne la province Française en laissant fermer ses entreprises, commerces, industries et abandonner aussi ses transports et services publics, ou même la SNCF devient l'hécatombe du territoire. Je vous remercie Sylvestre Brunaud .
Un groupe chinois a acquis plusieurs centaines d’hectares de terres à céréales dans le Berry. Une première, qui provoque stupeur et colère dans le monde agricole. Une article de notre partenaire le JDLE.
«Acheter 1.700 hectares de céréales en France sans aucun contrôle, c’est possible!». C’est par un cri indigné que débute le communiqué de la Fédération nationale des sociétés d’aménagement foncier et d’établissement rural (Safer), qui dénonce l’achat de terres agricoles dans le Berry par un groupe chinois. Quelle est son activité dans l’Empire du Milieu? «Je n’en ai aucune idée», concède Emmanuel Hyest, le président de la FN Safer, contacté par Le journal de l’Environnement. Une rapide recherche sur internet sur la société Hongyang laisse penser qu’elle se consacrerait au commerce d’équipements pour stations-service. «Ce sont des sociétés qui ont réussi dans d’autres secteurs et cherchent à diversifier leurs activités», avance Emmanuel Hyest.
Financiarisation de l’agriculture
Car un investisseur qui se toque de foncier agricole, ce n’est pas nouveau : le vignoble français en sait quelque chose, qui a vu châteaux et domaines changer de mains par dizaines en quelques années, sans que leurs nouveaux propriétaires y connaissent forcément quelque chose à la vigne et à l’œnologie. «En plus d’être le premier cas pour du foncier ‘pur’, cet exemple est frappant car il s’agit d’un groupe chinois. Mais cette financiarisation de l’agriculture est le fait d’autres nationalités, voire de Français», constate le président de la FN Safer. «Il ne faut plus parler d’agriculture: c’est une vitrine, avec la vache bien peignée derrière, estime Christian Berdot, chargé de ces questions pour l’association Les Amis de la Terre. Aujourd’hui on a affaire à des grands groupes industriels et financiers, qui ont des intérêts sur tous les continents. L’agriculteur est le maillon faible, qui subit toutes les pressions en amont et en aval.»
Préemption impossible
Comment une telle vente a t-elle pu échapper aux radars des Safer? La loi d’avenir pour l’agriculture avait pourtant étendu leur droit de regard aux cessions de parts agricoles. Sauf que le droit de préemption ne peut être mis en œuvre qu’en cas de cession totale des parts. «Il suffit d’en garder une pour qu’on ne puisse intervenir», regrette Emmanuel Hyest. Il faut une réflexion pour éviter que les propriétaires qui transmettent en direct soient soumis à un contrôle et que ceux qui passent par le biais de cessions de parts sociales y échappent.» Et d’évoquer la possibilité de séparer l’exploitation (matériel, cheptel…) du foncier, afin de permettre aux Safer d’agir sur le second. Un rapport sur la financiarisation du foncier est en cours de rédaction et sera remis prochainement au ministre de l’agriculture. «Quand on voit ce que prépare le Tafta [l’accord commercial transatlantique en cours de négociation entre l’Union européenne et les Etats-Unis, ndlr], les Safer vont avoir du travail pour protéger les petits exploitants agricoles locaux», pronostique Christian Berdot.
Autonomie alimentaire
«Si cela devait se répéter de façon importante, c’est notre autonomie alimentaire qui est en jeu, craint cet administrateur de la FNSEA. L’équivalent de la production de 35 M ha sont importés chaque année en Europe[1].» Des chiffres battus en brèche par Les Amis de la Terre Europe. Dans leur rapport intitulé «Terres volées», l’association estimait en 2013 que l’Europe «importe l’équivalent de plus de 5 fois la superficie de la France, principalement de Chine et d’Inde.» Avec d’inévitables reports sur d’autres pays du Sud. Et vers l’Europe, désormais.