•   Le parfait Gigolo au service de ces dames  

    Ruinée, Linda De Suza accuse son ex-compa­gnon de s’être servi d’elle...

    « Il couchait avec moi pour le pognon »

    (((Pauvre innocente)))

    Actuel­le­ment en grande détresse finan­cière, Linda De Suza rumine sa rancœur. La chan­teuse en veut beau­coup à ceux qui ont profité de son argent à l’époque du succès, et qui l’ont lais­sée aujourd’­hui sans un sou, avec une retraite de misère.

    « Je n’ai rien. Je ne possède rien, confiait tout récem­ment Linda De Suza sur RTL. J’ai vendu des millions de livres, des millions de disques. Et puis je n’ai rien. Je n’ai même pas de quoi ache­­ter à manger pour mon chien. » La chan­teuse, star dans les années 80, connaît aujourd’­hui de grandes diffi­cul­tés finan­cières : ruinée, elle ne dispose que d’une retraite mensuelle de 400 euros pour vivre. Comment en est-elle arri­vée là ? Pour le comprendre, il faut déjà retour­ner à l’époque de son succès, lorsque son entou­rage n’avait, selon elle, pas que des bonnes inten­tions. « Quand on ne sait pas, on a tendance à faire confiance : comme au Dîner de cons, confie cette semaine l’ar­tiste à Télé Star. J’étais entou­rée de comp­tables et d’un homme censé proté­ger mes inté­rêts, Raymond, mon compa­gnon. Je l’ai quitté le 27 juin 1993, quand j’ai commencé à avoir des doutes. »

    Linda De Suza soupçon­nait son homme d’être surtout inté­ressé par son compte en banque : « [Raymond] est entré dans ma vie par Carrère (sa maison de produc­tion de l’époque, ndlr) afin que je ne m’oc­cupe de rien, et surtout pas d’argent. J’ai décou­vert qu’il couchait avec moi pour le pognon. » Une prise de conscience qui l’a donc pous­sée à le mettre à la porte. Hélas, cela n’a pas mis un terme à tous ses soucis. Ce n’est qu’au moment de prendre sa retraite que la chan­teuse a décou­vert qu’il y avait bien pire. Un gros souci d’ordre admi­nis­tra­tif qui est prin­ci­pa­le­ment à l’ori­gine de sa détresse finan­cière actuel­le…

    @Si elle en est là aujourd’­hui, c’est surtout à cause d’une très mauvaise gestion de sa carrière sur le plan admi­nis­tra­tif : « Depuis 1979, aucun de mes galas n'a été déclaré, explique-t-elle à Télé Star. Et sans fiche de paye, pas de retraite. Comment ai-je pu vendre autant de disques sans jamais être contrô­lée ? J'étais entouré de comp­tables, pourquoi n'ont-ils pas su comp­ter ? Qui a décou­vert cela ? A mon avis, ça vient de haut. » Linda De Suza est persua­dée qu’elle est prise au piège à cause d’une erreur datant d’il y a très long­temps : « J'ai décou­vert qu'il y avait un dossier sur moi aux Rensei­gne­ments géné­raux, avec une fausse date d'entrée en France, un faux numéro de Sécu­rité sociale, une usur­pa­tion d'iden­tité. Pour l'admi­nis­tra­tion, je n'existe pas. » Du coup, elle fait tout pour prou­ver qu’elle existe bel et bien : elle a d’ores et déjà solli­cité l’aide du président de la Répu­blique. « [Mon dossier est] sur le bureau de M. Hollande », a-t-elle prévenu. Pas sûr qu’il soit dans la pile des urgences.

    Voici


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  • Fêtes des Grands mères.. J-2  Dimanche 1 Mars

     

    http://media.paperblog.fr/i/247/2471974/mrs-calman-super-grand-mere-yoga-L-2.jpeg


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  •  Amiens : le couple touchait 1300 € d’allocations malgré six enfants placés sur huit

    Le siege de la Caisse Nationale des Allocations Familiales -   - SIPA                                  Le siege de la Caisse Nationale des Allocations Familiales SIPA

    Jeudi 5 février comparaissait pour des violences une mère de famille de huit enfants, dont six étaient placés en famille d’accueil, rapporte Le Courrier Picard. Lorsque ses revenus sont examinés, les juges découvrent qu’elle touche « le RSA couple (presque 1000 euros) et 1300 euros d’allocations familiales ». L’une des avocates ose même un « j’arrête tout de suite de travailler et je vais me mettre à pondre ».

    Aujourd’hui, la loi ne prévoit pas de supprimer les allocations familiales lorsqu’un enfant est placé en famille d’accueil, malgré le « non-sens » que cela implique, selon le président de la Caisse d’Allocations Familiales (CAF) de la Somme Philippe Théveniaud. « Je suis souvent interpellé sur le sujet mais on ne peut rien faire, déplore-t-il. En tant que CAF, je dois respecter la loi. C’est vrai, dans 80% des cas, les familles continuent à toucher les allocations. De la même manière, depuis huit ans que je suis président, jamais un préfet n’a demandé la suspension des allocations pour un enfant déscolarisé. Les politiques parlent beaucoup, mais c’est à eux de légiférer ! ».

    La moitié des familles dont les enfants sont placés touchent le RSA

    Maryline Vinclaire, directrice adjointe aux solidarités au Conseil général de la Somme, estime elle que « la règle, c’est de favoriser au maximum le maintien des liens et le retour éventuel des enfants à la maison (…) Le placement ne devrait pas être vécu comme une sanction et surtout, surtout, que c’est l’intérêt de l’enfant qui doit primer ».

    Cependant, les familles dont les enfants sont placés vivent souvent dans une extrême précarité, et la moitié sont au RSA, explique au Courrier Picard Laurence Rossignol, secrétaire d’Etat chargée de la famille. « Si l’on veut que les liens soient maintenus ou même que les enfants reviennent, les familles doivent garder ces revenus. La première condition par exemple, c’est d’avoir un toit au dessus de sa tête. Or, sans APL … ».


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  • La SNCF pourrait supprimer de 9 à10 000 emplois d’ici à 2020

    Demain la France sera Cuba par la force des choses manipulé par le système UMPS d'en faire des planqués à longueur d'année ..

    Supprimons la SNCF. Elle ne sera plus jamais en faillite. Supprimons l'humanité. Il n'y aura plus jamais de chômeurs. Ceci ne vaut que pour notre planète, évidemment.

    Le jour où la SNCF fera plus d'efforts pour faire venir au train de nouveaux clients que pour faire fuir les clients existants, le problème du déficit se réglera tout seul. Et ce n'est pas la demande qui manque!

    Ce ne sont pas les postes qu'il faut supprimer, ce sont les régimes spéciaux. Tous au même régime (ou alors ils se débrouillent eux même pour en assurer le financement) car il n'y a pas deux sortes de Français.les "investissements" a la SNCF se traduisent par une dette croissante et hors controle... Malgre des milliards de subventions chaque annee. Ca devrait faire TILT dans votre cervelle. Un bon investissement ca rapporte. Ca creuse pas la dette. Il est peut etre temps d'arreter les frais, avant que le pays soit au fond du trou..

    La SNCF a recu les 2 dernières années 118 et 177 millions grâce au CICE.... le fameux truc qui doit permettre d'investir et d'ambaucher (la prémice du pacte)... et malgré ces millions d'Euros que NOUS le citoyen donnons à la SNCF, ils vont continuer à licencier... J'attend des Laurel et Hardy qui nous gouvernent qu'ils fassent preuvent de responsabilité et d'autorité dans cette affaire.....


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  • Départementales : Valls fait du FN « l'adversaire principal »

    L'extrême droite « n'aime pas la République et sème le poison de la division et du racisme. L'extrême droite ne mérite pas la France », a dit Manuel Valls, à Palaja (Aude), le 26 février. L'extrême droite « n'aime pas la République et sème le poison de la division et du racisme. L'extrême droite ne mérite pas la France », a dit Manuel Valls, à Palaja (Aude), le 26 février. AFP/PASCAL PAVANI

    Lors de son premier meeting électoral en vue des éléctions départementales, qu'il a choisi de tenir dans l'Aude, le premier ministre, Manuel Valls a appelé, jeudi 26 février, les électeurs à la vigilance face à l'extrême droite.

    « Face à nous, il y a évidemment l'extrême droite, c'est notre adversaire principal. Ce n'est pas seulement l'adversaire principal de la gauche, mais du pays ».

    Et de mettre en garde contre le Front national, qui « donne l'impression d'avoir changé de vitrine ». L'extrême droite « n'aime pas la République et sème le poison de la division et du racisme. L'extrême droite ne mérite pas la France », a-t-il ajouté, jugeant que son programme menait à « l'affaiblissement » du pays.

    « Je lance ici un appel solennel bien sûr à tous les électeurs de gauche, à tous les républicains pour battre le Front national dans chaque canton pour faire vivre les valeurs de la République ».

    LA DROITE « PAS AU RENDEZ-VOUS »

    La droite n'a pas été épargnée : « La droite qui tient de grands discours mais qui depuis plus de deux ans n'a rien pu proposer », a déclaré M. Valls. Et, quand il s'agit de soutenir la compétitivité des entreprises, elle « n'est pas au rendez-vous », a-t-il ajouté, en apparente référence à la loi Macron. Il l'a accusée de ne pas avoir de position claire sur le plan politique, évoquant les élections partielles du Doubs il y a deux semaines, où le Parti socialiste s'était retrouvé contre le FN au second tour. Et de conclure : « La droite aujourd'hui, c'est une opposition sans aucune proposition. »

    M. Valls a défendu le programme de la gauche, dressant un bilan positif de l'action du gouvernement engagé dans des réformes. « La France, a-t-il dit, doit aller de l'avant, évoluer, s'adapter sans renier ce qu'elle est. (…) L'urgence, c'est l'emploi, mais c'est aussi le pouvoir d'achat. » Et il a énuméré une série de mesures adoptées pour le relancer, en particulier auprès des plus démunis. Il a présenté ce soutien aux plus pauvres comme de la « solidarité ». « Je n'aime pas l'assistanat. C'est la solidarité, parce que cela correspond à la réalité. »


     http://www.lemonde


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