• Lille : nouvelles et inquiétantes agressions, ce week-end, à Masséna-Solférino

    La bagarre a eu lieu rue Solférino à Lille ce samedi matin. © Google Street View

    Le secteur festif Masséna-Solférino a connu une série de vols avec violences, ce week-end, perpétrés par des bandes parfois organisées, qui s’attaquaient aux fêtards en fin de nuit. L’un d’eux a plusieurs dents fracturées.

    Vincent a 19 ans, habite Ronchin, et a un avis désormais très tranché sur le quartier Masséna-Solférino qu’il côtoie : « Ça craint. »

    « Donnez tout ce que vous avez sur vous »

    Dimanche, peu avant 5 h 30 du matin, le jeune homme s’y trouve encore avec plusieurs amis, quittant le Seven-Club. Mais à une cinquantaine de mètres de la boîte, à l’angle des rues Ratisbonne et Solférino, des inconnus l’attendent. « Ils étaient cinq, ils sont allés vers nous, un gars a sorti un couteau et ils ont dit : Donnez tout ce que vous avez sur vous. »

    Deux amis obtempèrent, lâchant notamment un téléphone, mais Vincent, lui, refuse. La sanction est immédiate. « Ils m’ont jeté au sol, et m’ont donné des coups de pied. Je me suis mis en boule. Et puis ils sont repartis aussi vite qu’ils étaient venus, en voiture. Ça n’a pas duré cinq minutes. »

    « Une bande organisée. Je pense qu’ils attendent les gens à la sortie des boîtes pour les racketter »

    La police est appelée, et interpelle un suspect mais qui ne sera pas reconnu ensuite par les victimes. Vincent, lui, est hospitalisé. Bilan : trois dents fracturées, une fissure au palais, et un traumatisme facial, occasionnant dix jours d’arrêt légal de travail. Et surtout, l’impression d’avoir été attaqué par « une bande organisée. Je pense qu’ils attendent les gens à la sortie des boîtes pour les racketter. Dans leur voiture, il y avait un chauffeur prêt à partir ».

    Déjà, la veille…

    Ces violences interviennent après d’autres, la veille, dans le même secteur. Samedi matin, vers 4 h, d’abord, une BAC patrouillant rue Masséna est appelée par un passant.

    Le jeune homme âgé de 18 ans explique qu’il s’est fait agresser avec des amis par quatre inconnus, alors qu’ils commandaient des sandwichs dans une baraque ambulante. Selon la victime, les agresseurs leur ont foncé dessus à coups de poing et jets de lacrymogène, dérobant un téléphone et un portefeuille. Là aussi, dans la foulée, les policiers interpellent deux suspects sur les indications des victimes. Mais ils sont libérés sans poursuites le lendemain, car pas formellement reconnus.

    Samedi, enfin, vers 4 h 30, un témoin appelle la police expliquant qu’il a reconnu les voleurs de son téléphone portable (le vol date du 12 décembre), et qu’il les suit. Les policiers s’élancent. Lorsque le témoin rappelle : les deux suspects viennent de commettre un nouveau vol de portable, rue Masséna, contre un jeune homme de 27 ans.

    Mais les amis de ce dernier ont immobilisé les deux suspects au sol, qui sont ensuite interpellés. Les deux mineurs sans domicile ont été entendus, puis libérés avec une convocation devant un juge pour enfants.

    La voix du nord

    © Gaïa pour www.Dreuz.info


    votre commentaire
  • Communiqué d’Yvan Benedetti

    Nous ferons plier le Système .

    Nous ferons plier le Système

    Sans surprise, car présidé par Jean Marc Sauvé qui fut il y a plus de vingt ans l’artisan de l’interdiction du journal de l’Œuvre française, le Conseil d’Etat confirme l’interdiction du mouvement que je préside. Cette institution, considérée comme la plus haute juridiction, conforte son rôle de simple chambre d’enregistrement des actes de forfaiture du gouvernement. Profitant d’un fait divers tragique, l’affaire Méric (à laquelle l’Œuvre française est totalement étrangère), le nouveau converti au judaïsme politique, Manuel Valls, a profité de ses fonctions de ministre de l’intérieur pour mener un combat personnel qu’il place dans la continuation de l’action de Léon Blum, du Front populaire, de la dissolution des ligues en 36, et de la guerre d’Espagne. Même s’il a revendiqué son acte, lors de son discours d’ouverture de l’Université d’été du PS à la Rochelle en 2013, qualifiant l’Œuvre française de « matrice de l’extrême-droite depuis 30 ans », Valls reste le petit commis des puissants qui mènent ce monde ; car le véritable donneur d’ordre est le président du Congrès Juif Mondial, Ronald Lauder, qui le 6 février 2013 a exigé d’Hollande lors de sa remise de la légion d’honneur à l’Élysée, la destruction de l’Œuvre française, seul mouvement politique en France à s’opposer au projet juif de domination mondiale. A Sauvé le complice ; Valls l’exécutant ; l’insignifiant et soumis Hollande, le signataire des décrets de dissolution ; à Lauder le donneur d’ordres, nous rajoutons sur la liste de ceux que nous tenons pour responsables de cet acte inqualifiable, le préfet de Lyon Carenco qui dans ses courtes périodes de lucidité mène une guerre sans relâche aux nationalistes ; et Mme Leglise que d’aucuns ont surnommée madame synagogue, qui en tant que directrice du Bureau dit des Libertés publiques au ministère de l’Intérieur a mené avec zèle et assiduité l’instruction du procès en sorcellerie aboutissant à l’interdiction de l’Œuvre française. En allant jusqu’à se présenter en personne devant le Conseil d’Etat lorsque fut examiné le référé en urgence contestant l’interdiction, elle a bien mérité sa légion d’honneur. 

    Cette interdiction nous conforte dans notre action. A moins de nous dissoudre dans l’acide, cette dictature socialiste nous trouvera toujours sur sa route. Ce n’est pas à un gouvernement qui n’a que trois ans de pénible existence d’interdire l’un des mouvements les plus anciens dans le champ politique, qui incarne la légitimité française, la France historique. Politiquement, l’Œuvre française a l’âge de la France ; comme la France elle ne peut pas disparaître, j’en suis, en tant que Président envers et contre tout, le garant. Chaque jour le système oligarchique s’affaiblit, chaque jour les nationalistes se renforcent. L’heure de la délivrance avance à grands pas. Avec le peuple, pour la Nation, nous continuons. Nous ferons plier le système ! Non pour nous, non pour les nationalistes, mais pour la France et ses enfants.

    Dissolution non !

    En avant la victoire ! Maîtres chez nous !

    Qui vive ? France ! Qui vive ? Œuvre française !

     


    votre commentaire
  • Morte à coup de tournevis à Paris : surtout, pas de stigmatisation !

    Publié par Thomas Joly....

    C’est rue de Lappe qu’une jeune femme a été assassinée il y a quelques jours après « une drague un peu [sic] agressive, d’un refus mal accepté [re-sic], voire d’une simple cigarette refusée »… En avril dernier, une association avait justement mené dans cette rue une opération « Zone sans relou » contre le harcèlement dont les jeunes filles et les femmes sont l’objet dans les rues.

    La posture du collectif féministe antiraciste Stop harcèlement de rue était très clair : « Nous dénonçons le harcèlement de rue, mais certainement pas en faveur du racisme et des propos généralisants »

    Shéhérazade, 22 ans, assassinée à coup de tournevis dans la tête, aurait sans doute beaucoup apprécié cette lâcheté qui a contribué à son meurtre. Son cadavre était encore tiède que la direction du collectif souhaitait une « Bonne trêve des confiseurs à vous tou-tes ! »

    Source


    votre commentaire
  • Villiers règle ses comptes avec Retailleau

    En Vendée, Brutus/Retailleau croyait avoir définitivement tué César/Villiers. Quatre ans plus tard, force est de constater que César bouge encore et se fait toujours entendre. Il ne s’est d’ailleurs pas privé de parler tout au long du mois de décembre, et pas seulement au sujet de son dernier livre sur Jeanne d’Arc…

    Le moins que l’on puisse dire, c’est que Philippe de Villiers n’a pas aimé, mais alors pas aimé du tout, que son suc­cesseur fasse retirer la crè­che du conseil général de Vendée au début du mois de décembre. Il l’a fait savoir, aussi bien dans la presse que via son compte Twitter. Une occasion également de régler des comptes avec son ex-dauphin, qui l’a poussé dehors il y a quatre ans déjà.
    A première vue pourtant, rien ne distingue la position de Villiers et celle de Retailleau lorsque le tribunal administratif de Nantes impose au conseil gé­néral de retirer la crèche qui trônait pour chaque Noël depuis plus de 25 ans dans le hall de l’hôtel du département. Le premier dénonce, chez Eric Brunet, sur RMC, le « laïcisme totalitaire » qui veut « éradiquer nos racines culturelles, notre identité, notre patrimoine ». Dans une tribune parue dans « Le Figaro », le second s’en prend au fondamentalisme de la libre pensée qui « nie deux dimensions essentielles de l’unité française : la laïcité, qui dessine la largeur de l’espace public ; et l’identité qui lui donne sa profondeur historique et culturelle ».
    Mais si on suit un peu l’actualité locale, c’est par médias interposés que les deux figures de la politique vendéen­ne ont d’abord montré leurs différences, avant de s’écharper publiquement.

    « Quel manque de courage »
    Sur Twitter, le 9 décembre, Villiers annonce la couleur : « Je vais à Béziers pour dire à Robert Ménard : n’enlève pas ta crèche, résiste. » Le 11 décembre, toujours sur son compte Twitter, il s’exclame : « J‘apprends que la crèche du conseil général a été enlevée : quel manque de courage. » Deux jours plus tard, il récidive chez nos confrères de « Ouest France » et dénonce « la grande faiblesse » du conseil général et… de son président. « Il fallait tenir […] Vous imaginez des gendarmes venant enlever une crèche dans le hall du conseil général, comme au temps des Inventaires en 1905 ? » Et de ressortir les vieux dossiers, sur le thème « moi, au moins, j’ai résisté contre les laïcards ».
    En 1996, en effet, la Fédération des Œuvres laïques, la FOL, avait cherché des noises au conseil général, à propos de son logo, le double cœur vendéen, surmonté d’une couronne et d’une croix. Villiers ne s’était pas laissé faire et le tribunal administratif de Nantes, en décembre 1997, puis la cour administrative d’appel, en mars 1999, lui avaient donné raison. Un vieux dossier, une affaire qui a presque 20 ans, mais qui permet aujourd’hui à Philippe de Villiers de faire valoir toute sa différence avec Bruno Retailleau et, tant qu’on y est, de l’égratigner au passage.
    Forcément, au bout d’un moment, tout cela a fini par agacer sérieusement l’actuel président du conseil général et président du groupe UMP au Sénat. Celui-ci ne regrette « absolument pas » d’avoir enlevé la crèche : « Pour l’autorité de la loi, c’est important. Je ne suis pas au-dessus des lois » (c’est beau comme du Chirac). Il a même expliqué à « Ouest France », légaliste jusqu’au bout de l’oreille de l’âne mâtiné d’un habillage chrétien : « La crèche renvoie à des symboles de paix et de douceur. Pas de conflit. Il ne faut pas souffler sur les braises. » Autrement dit, tendons la joue gauche après avoir pris une claque sur la joue droite pour rester dans un registre évangélique.

    On verra ce qu’on verra… à Noël 2 015
    En revanche, question « paix et douceur » de Noël, on trouve mieux. Car Retailleau va envoyer en mission ses seconds couteaux. Ainsi, Yves Auvinet, conseiller général des Essarts, s’en prend-il à son ancien patron, toujours dans « Ouest-France » : « Résister à qui ? Résister à quoi ? Villiers réécrit un peu l’histoire à son profit ! Il ne s’est pas opposé à une décision du tribunal administratif, pour la bonne et simple raison que le juge avait débouté l’association et donné raison au département. » Son collègue du canton de Moutiers-les-Mauxfaits, Marcel Gauducheau, se dit quant à lui « estomaqué par l’attitude de Philippe de Villiers, qui, une fois de plus, se jette sur l’actualité pour régler ses vieux comptes avec le passé ».
    Ces attaques n’ont pas calmé Philip­pe de Villiers, bien au contraire. Le 20 décembre, alors qu’à Béziers le tribunal administratif autorise l’installation de la crèche dans la mairie, il félicite Robert Ménard et ajoute : « Le conseil général de Vendée est ridicule. C’est une honte. » Et il insiste, histoire de bien marquer le coup : « Je demande à Bruno Retailleau de remettre la crèche pour Noël au conseil général de Vendée ». Une demande restée lettre morte, au moins pour cette année.
    Car Retailleau, qui a renoncé à faire appel de la décision du tribunal administratif, annonce maintenant une gran­de exposition de crèches dans le hall du conseil général, mais pour Noël… 2 015. Résultat : il le fait et Philippe de Villiers aura eu raison de tempêter ; il ne le fait pas et Villiers aura eu raison de tempêter. Ou comment perdre à tous les coups alors qu’il était si simple de tenir bon…    
    Jean Masson  http://www.minute-hebdo.fr/

     


    votre commentaire
  • Publié et posté par Thomas Joly..

    B6BfhgNIIAAql4s

    Maxence Buttey, l’islamiste du FN, invité d’honneur d’une manifestation communautariste ..

    Le conseiller municipal FN de Noisy-Le-Grand, converti à l’islam il y a quelques mois, a refait reparler de lui dimanche. Il a largement fait la publicité de sa participation aux Mokhtar Awards, une cérémonie islamiste qui ne cache pas plus son caractère prosélyte que sa vision politique conquérante de l’islam.

    La conversion du Français renié avait intéressé les organisateurs à l’époque, au point qu’ils lui ont confié un rôle dans le spot publicitaire d’un événement très «marketé» où l’appât du gain ne semble pas la dernière des préoccupations – le repas coûte 59 euros.

    « Maxime vient prier à la mosquée et il nous a rendu fiers lors de son passage au Grand Journal de Canal Plus. Il fait partie des nôtres. […] Si Soral ou Dieudonné relaient, nous acceptons, mais nous avons prouvé par l’action ce que nous faisons, pourquoi et pour qui […]. Si Julien Salingue relaie, si oumma.com relaie, si Edwy Plenel relaie, si TF1 relaie, si BFM TV ou Patrick Timsit relaie notre festival, c’est tant mieux. Si Chalgoumi relaie, tant mieux. […] Le discours nationaliste ou antinationaliste ne nous intéresse pas, ce qui nous intéresse c’est de ramener les gens à Allah (…) ». a précisé le président du festival Gibran Hasnaoui.

    Source


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires